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Mar 15 Mar - 15:48
Bruno BalderasYour future awaits

Bruno Madrigal de Encanto
29 Février 1986 (36 ans)

Masculin

Civil

SDF

Miraculous : [ ] Réservation [X] Aléatoire

Pas intéressé par un en particulier

Akumatisation : [X] Oui  [ ] Non

On t'appelle comment sur la toile ? Dust
Ton p'tit âge ? Trentaine
Comment nous as-tu connu ? Facile
Un commentaire ? Pwet

Caractère
Bruno est un homme qui a toujours été très simple, qui n'a pas spécialement d'ambition de réussir sa vie financièrement, même si cela aurait été très aisé pour lui vu sa situation familiale. Pour lui réussir sa vie serait synonyme d'avoir simplement une vie de famille heureuse et épanouie avec une femme et des enfants, rien de plus. Vivre de sa propre terre, l'amour d'une famille aimante, voilà tout ce dont rêve cet homme. Malheureusement pour lui, il a dû cacher cette part de lui pendant de très longue année à cause de la pression familiale.

Fils aîné des Balderas, c'est tout naturel qu'il doit reprendre l'affaire familiale, se comporter comme son père, tout faire pour évoluer, continuer de gagner de l'argent, faire fortune, quitte à délaisser sa propre famille. C'est donc tout naturel que Bruno s'est construit une carapace autour de lui afin de ne pas montrer sa véritable nature. Malheureusement pour son père, il décida de prendre le contre-coup de l'éducation de son père. Même si en sa présence, il fit le bon fils, futur dirigeant de l'emprise, en réalité il s'amusait à tourner en ridicule son propre nom en côtoyant « le bas peuple » comme son père aimait bien dire. Facétieux, c'est ce qu'on retient le plus facilement de Bruno.

Le jeune homme adorait, et adore toujours, faire des blagues, faire des petits jeux d'arnaque avec les gens, parier de l'argent, truquer ses jeux, etc.. Plus il grandissait et plus il comprenait facilement les autres personnes grâce à un sens de l'observation sans égal, même pour un Balderas. Il arrive à décrypter aussi bien un être humain que n'importe quel textile pour savoir exactement sa qualité. Un véritable prodige, même s'il ne l'utilise que très rarement désormais car il n'a plus spécialement l'occasion, mais c'est toujours là en lui. Grâce à son don d'observation, il arrivait facilement à manipuler, conditionner, les autres personnes pour qu'ils fassent ce qu'ils veulent, ou bien leur faire croire n'importe quoi ; comme quand il faisait semblant de savoir lire l'avenir pour duper tout le monde.

Malgré ce côté bout-en-train, Bruno est un être d'une gentillesse sans faille avec tout le monde, adulte, enfant, vieux, bébé.. Cela ne l'empêche pas de voir la noirceur chez les gens, mais il préfère être gentil envers tout le monde car il ne veut absolument pas leur faire de mal. Cela serait faux de dire qu'il est naïf car l'être signifierait qu'il fait confiance sans se rendre compte qu'on profite de lui, mais ce n'est pas ça. Même si on abuse de lui, il le sait et il l'accepte volontiers car il se dit que cela fera plaisir aux autres. En tout cas, c'est une personne qui a de l'amour a donné, surtout parce qu'il n'a plus vu sa mère, ses sœurs, sa femme et surtout son bébé depuis des années et il a besoin de faire sortir tout cela ; sûrement pour cela qu'il a un excellent feeling avec les bébés et les enfants.

Bruno a toujours l'air triste, en même temps, il l'est. Devoir quitter sa vie et surtout sa femme et son bébé qui venait de naître l'a profondément détruit. Il préfère se sacrifier pour éviter que ses êtres chers souffrent de ses propres erreurs. Il est prêt à tout pour que les autres se sentent bien et soit heureux, quitte à devoir se sacrifier pour réussir. Bruno ne pense qu'à lui qu'au dernier moment, c'est les autres avant tout !

En plus de tout cela, Bruno n'est pas matériel, en même temps, vivre depuis des années dans les rues de Paris lui a bien apprit cela. La seule chose auquel il tient plus que tout, c'est son médaillon en or qui contient la photo de lui, sa femme et de son bébé. C'est son bien le plus précieux et son seul bien également.
Physique
Bruno n'en a pas l'air, mais c'est une homme avec une bonne carrure physique, il légèrement musclé et il s'entretient comme il peut. Même s'il n'a pas de domicile, ou qu'il n'a aucun moyen d'avoir accès à un centre spécialisé, Bruno aime entretenir son corps et se dépenser en faisant des tractions, des pompes et tout ce qu'il faut pour garder une forme physique convenable. Ce n'est clairement pas une montagne de muscle, en même temps il n'a pas l'énergie ni les moyens pour se faire, mais la puissance de cet homme s'est bien développer depuis qu'il se trouve dans les rues de Paris. Heureusement qu'il possède une carrure plutôt satisfaisante car il n'est pas bien grand pour un adulte vu qu'il fait un peu moins d'un mètre soixante dix, ce qui est plutôt petit pour un homme. Il profite de ses dons de manipulations pour pouvoir manger à sa faim et obtenir un peu d'argent, suffisant pour pouvoir s'acheter à manger dès qu'il y a besoin, quitte à user de ses talents pour des petits jeux d'arnaques afin de récupérer de l'argent ; lui permettant d'éviter de trop être maigre, du moins d'éviter les maladies. Il n'en ai pas fier, mais il faut qu'il faut pour survive, pour pouvoir retrouver sa famille qui doit souffrir de son absence, surtout son enfant.

Bruno est un homme à la pilosité plutôt développer. Une barbe qu'il essaye d'entretenir tant bien que mal, cela se voit qu'elle est négligée à cause du fait qu'il essaye de le faire lui-même avec une paire de ciseaux qu'il peut trouver. Il y arrive tant bien que mal, mais il s'en sort. Une légère pilosité au niveau du torse se fait également sentir ; celle-ci n'est pas un jardin, mais un léger duvet qui peut se montrer doux quand il peut se laver, sinon c'est assez peu agréable il faut dire. Sa chevelure est plutôt longue, lui arrivant au niveau de la nuque, une longue chevelure noire, à l'image de tous ses poils, et très gras vu qu'il peut malheureusement pas les laver très souvent. Hormis les poils, Bruno n'a aucune cicatrice sur son corps, aucun bijou, en même temps il n'a pas les moyens de s'en offrir. La seule chose qu'il possède au niveau quincaillerie, c'est un collier en or avec des initiales d'incruster dessus "BB" (pour Bruno Balderas), un pendentif qui contient une photo de lui, sa femme et de sa petite fille. C'est son bien le plus précieux et il ferait sûrement tout pour le garder car c'est tout ce qui lui permet de ne pas oublier sa vie d'avant.

Il y a une dernière chose qui permet de distinguer cet homme, c'est son nez plutôt imposant et assez atypique. Il en a un peu honte, mais ce n'est rien, avec le temps il a fini par s'y habituer. Il y a également ses yeux, au début, on pourrait croire qu'ils sont verts, mais en réalité ils sont bien marrons, même s'ils virent très souvent au vert grâce à la lumière environnante, ce qui est souvent le cas.

Néanmoins, il cache malheureusement, si on peut dire, son physique sous tout sous ses vêtements. En même temps, il n'a pas trop le choix. Vu qu'il vit dans la rue, il porte des vêtements larges, confortable et surtout chaud, toujours avec un poncho vert, avec une capuche, ce qui lui permet de rester au chaud. C'est un peu les seuls vêtements qu'il possède, en même temps, où est-ce qu'il pourrait garder d'autres habits ? Néanmoins, il n'a jamais été compliqué niveau vestimentaire, toujours aimé porter des vêtements simples et rien d'extravagant. Même s'il adore se déguiser, porter différent type de vêtements, que ça soit homme ou femme, ce ne sont que des déguisement après tout, il n'y a aucun mal.

Histoire
Qui ne connaît pas les Balderas ? Il faut dire que c'est un nom qu'on retient facilement au même titre que les Agreste en France ou bien les Tsuguri au Japon. Les Balderas ont fait fortune au Mexique grâce au textile. Depuis des générations, la famille Balderas possède des doigts de fée et un savoir-faire unique qui permet de créer différents textiles, des matières différentes, tout ce qui faut pour créer de magnifiques vêtements, fournissant le monde entier s'ils sont capable d'y mettre le prix, fournissant les plus grands créateurs de mode.

Tout commence donc bien avant la naissance de Bruno Balderas car cette famille remonte à des générations très ancienne, au point de ne plus savoir à quelle génération on se trouve actuellement. Comment cette famille s'est fondée ? Cela remonte à trop longtemps pour retrouver une personne qui s'en souvient encore, mais il n'y a rien d'exceptionnel, la simple union de deux êtres, deux génies qui formèrent non seulement une famille, mais un empire par la suite. Génération après génération, chaque enfant aîné reprit l'affaire familial, ayant toujours eu ce don de ses doigts pour permettre de créer la matière première des plus beaux vêtements qu'on peut trouver dans le monde.

Bruno est né à l'intérieur de cette famille exceptionnelle, l'aîné de cette génération. Aîné parce que quelques années par la suite, le jeune garçon eut deux jeunes sœurs. La naissance d'un Balderas est toujours un événement grandiose, surtout pour le premier enfant, au pays. La naissance de Bruno fut donc fêté dans les grandes pompes où des personnalités influentes du monde fut confiés afin de faire connaissance avec le futur patron de cette entreprise. Bien sûr le jeune Bruno ne pouvait savoir ce qui se passait, étant qu'un bébé à cet époque.

Bruno, comme tous les Balderas, eut une très bonne éducation. Néanmoins, il faut dire que le jeune garçon ne grandit pas dans le moule que sa famille aimerait pour lui. Il désirait une vie plutôt simple, avoir des amis, s'amuser, grandir, trouver l'amour, une petite maison tranquille et vivre en paix, pourquoi pas de ses récoltes en devant agriculteur. Il faut dire que le monde de la mode n'a jamais été sa priorité. Malheureusement, ses parents attendaient beaucoup de lui et forcément ils firent tout pour le forcer à accéder à son destin.

Grandissant dans le mal de la solitude, de la pression, le jeune homme développa un mental et surtout un attrait maladif pour le comportement humain, prenant un malin plaisir à décrypter les émotions des gens, utiliser absolument tout ce qu'il pouvait pour réussir à manipuler les gens afin d'avoir ce qu'il veut. Apprenant tout seul l'art du mentalisme afin de préparer mentalement les gens pour qu'ils puissent faire ce qu'ils désirent sans que les personnes s'en rendent réellement compte. Ayant un certain don pour l'analyse dans la mode, avec une vision particulière, il grandit dans l'illusion parfaite qu'il allait reprendre l'affaire familiale, même si au fond de lui, il n'en ferait rien car il savait très bien que l'une de ses sœurs serait bien meilleure que lui pour être la prochaine dirigeante de l'affaire Balderas.

Plus les années passèrent et plus Bruno s'amusait à manipuler les autres personnes. Au début ce fut des petites arnaques, rien de bien compliqué, c'est très facile de rentrer dans la tête des gens, surtout quand ces gens font une confiance aveugle envers un Balderas. À force des années, Bruno passa à l'étape suivante en leur faisant croire qu'il était capable de voir dans le futur en leur dictant leur destin. Des choses très simple, facilement réalisable dans le temps qui suivit et à chaque fois il tapait juste. Que la personne trouvera le grand amour d'ici quelques temps parce qu'il avait vu des signes d'amour chez une autre personne. Qu'une autre aura bientôt une maladie des os car il avait vu des signes d'arthrose dans les doigts. Bref, rien de bien sorcier pour une personne qui sait analyser les autres personnes. De ce fait, tout le monde se mit à le croire dès qu'il disait quelque chose alors forcément, emporter par cet élan, Bruno se sentait de plus en plus confiant, mais se comportait également d'une telle façon que tout le monde commençait à avoir peur de lui car forcément il s'amusait à force à donner des destins funèbres.

Même si certaines prédictions n'étaient prévus que pour dans quelques années, il lui arrivait également de faire des destins macabres assez proche comme la mort d'un poisson rouge. Facile à prévoir, mais plus compliqué à deviner quand exactement, n'est-ce pas ? Sauf si quelqu'un s'en charge ! Afin que cette prédiction fonctionne, il s'est infiltré chez la fameuse personne avec un poisson rouge mort pour échanger les deux poissons pour donner l'illusion que ses prédictions sont toujours véridiques. Malheureusement il se passa une chose horrible cette nuit dans cette demeure. Il ne fut pas le seul présent dans les lieux à s'y être faufiler discrètement. Bruno ne remarqua pas la personne qui était là, debout devant lui, de dos, un couteau à la main qui pendait le long de cette personne. Bruno prit de panique n'osa rien dire, paniqué car il vit également un peu derrière, le corps d'une personne recouvert de sang. Voulant s'enfuir, Bruno fit du bruit en se percutant contre une table ce qui alerta forcément le tueur.

Immédiatement, le tueur prit la poursuite de Bruno, mais heureusement pour lui, le Balderas réussit à fuir les lieux pour se réfugier chez lui. Pensant avoir trouver refuge dans un endroit sûr, il ne reçu absolument pas le réconfort qu'il désirait. Il raconta absolument tout à ses parents, mais même eux ne le croyaient pas spécialement. Bruno est un pro pour la manipulation et le mensonge et ils le savent très bien. Cela fait des années qu'ils ont compris son manège, donc forcément pour le croire, c'est compliqué. Même s'ils ont toujours espoir en lui, c'est l'aîné après tout, ils se méfiaient, mais lui laissait le bénéfice du doute.

Malheureusement, changement de plan. Le lendemain, la police débarqua chez les Balderas afin d'arrêter Bruno pour le meurtre d'un chef d'entreprise influent de la ville. Pourquoi Bruno ? Il y a quelques jours, il avait annoncé à la victime que son destin va être sombre et empli de sang et qu'il finira sa vie à l'ombre. Mais surtout, ils ont retrouvé des empreintes de Bruno partout dans le salon où se trouvait la victime. Tout fut contre lui, alors qu'il n'a rien fait, ces petites blagues ont finit par le dépasser et se sont retourner contre lui. Son père se retourna immédiatement contre son propre fils, afin d'assouvir ses fantasmes de diseur du futur, il était prêt à tuer pour que ses prédictions se réalisent.

Le paternel Balderas laissa la police entrer pour qu'ils puissent arrêter Bruno. Heureusement, sa mère ne croyait en rien dans cette histoire, sachant que c'est impossible que son petit Bruno puisse tuer quelqu'un. Il est peut-être facétieux, mais ce n'est pas un monstre. La douce mère lui donna l'occasion de s'enfuir en lui disant qu'il devait aller très loin, échapper à tout ça. Même si cela lui faisait de la peine, il savait que personne ne le croira et qu'il doit fuir son pays natal. Néanmoins, il y a une dernière chose qu'il doit faire avant de quitter définitivement son pays.

On pourrait penser qu'une personne comme Bruno ne possède aucune attache, pourtant, c'est tout le contraire. Car il avait réussi à se créer la vie qu'il a toujours voulu, dans le petit village d'à côté. Une petite maison, qu'il avait construit lui-même, ayant même trouver une petite femme qui le comprenait et surtout qui l'aimait comme il était réellement. Avant de partir, et il savait qu'il devait malheureusement partir seul, ne voulant pas faire subir tout ceci à sa femme, mais surtout parce qu'il était père et il ne fallait pas que son petit bébé subisse un sort terrible. En restant ici, la mère de Bruno fera tout son possible pour qu'elle ne manque de rien, elle et le bébé. C'est d'ailleurs la seule à connaître l'existence de la famille cachée de Bruno. Avant de partir, il expliqua toute la situation à sa femme, la serrant fort dans ses bras. Faisant la même chose avec son bébé. Ce fut un moment déchirant pour lui, n'arrivant pas à lâcher son petit bébé, surtout que pour accompagner le tout, la pluie battait son fort, le ciel fut sombre, en même temps, même si c'est le matin, le soleil n'est toujours pas levé.

Réussissant à lâcher son bébé, Bruno quitta l'endroit en pleure avec pour seul souvenir un médaillon avec une photo de la petite famille, lui, sa femme et son petit bébé. La fuite fut longue, très longue, pour au final trouver refuge en France, à Paris.

Usant de son statut, le patriarche, sous la demande de sa femme, réussi à tasser l'affaire pour éviter qu'elle prenne une trop grande ampleur. Cela se déroule souvent ainsi en Mexique, l'argent reste roi et cela permet d'éviter que ça prenne de trop grande ampleur. Malheureusement, tout ne dure éternellement et les recherches de Bruno continuèrent avec le temps. Les recherches du suspect numéro reste aux alentours de la Mexique, sortir du pays est complexe, surtout sans laisser de traces, mais heureusement qu'il ait prit la fuite assez tôt, avant qu'il y ait un avis de recherche sur lui. Les recherches n'ont pas encore commencer outre le continent Américain.

Depuis combien de temps Bruno est à Paris ? Dix ans peut-être, quinze qui sait. En tout cas cela fait un bout de temps et il faut dire qu'on perd assez vite le compte du temps quand on vit dans la rue. Faisant de son mieux pour se nourrir comme il peut, dormir au chaud dès que possible, pouvoir se laver, arnaquant parfois les gens pour gagner un peu d'argent. C'est plutôt difficile, même pour le célèbre Bruno Balderas, de gagner de l'argent quand on essaye de vivre cacher de tout pour ne pas se faire trop remarquer ayant trop peur que les forces de l'ordre retrouver sa trace et que sa famille soit en danger. En tout cas, il accepte son sort, c'est pour le bien de tous. Si son sacrifice permet que tout se déroule bien, il acceptes sans rechigner cette fatalité qui lui est destiné. En plus grâce à ceci, il sais très bien que sa sœur, qui a voulu devenir la chef de l'entreprise Balderas l'est devenue comme il lui avais promis tout petit. Même si il ne peut pas prendre des nouvelles d'elle, il le vois simplement grâce aux articles la concernant et cela le rend en joie.

Qui pourrait penser que Bruno est aujourd'hui un simple SDF, traînant dans les rues de Paris, ne faisant pas parler de lui ? Personne ne se préoccupe réellement d'un sans-abri. Surtout qu'avec le temps et la saleté, il a bien changé. Seul une personne qui l'a très bien connu pourrait le reconnaître juste de visuel, a moins qu'un indice pourrait le lié à son passé.

Depuis un an environ, la vie de Bruno a un peu changé, enfin pas vraiment car il est toujours à la rue, passant de refuge à d'autre, traînant là où il pouvait pour rester au chaud et faire ce qu'il faut, mais il y a surtout ce que les infos appellent des attaques d'Akuma, orchestré par un certain Papillon. Un grand nombre d'héros également rivalisent contre lui. D'un certain côté, il admire ces gens, héros comme Papillon pour avoir le courage de faire ce qu'ils ont envie et surtout d'avoir le courage d'exprimer leur sentiment de la sorte. Peut-être qu'avec un pouvoir comme eux, il aura le courage de rentrer au pays pour expliquer la situation et se sortir de cette histoire, retrouver sa femme et son enfant. Dans tous les cas, pour l'instant Bruno évite ces histoires, après tout, ce n'est pas du tout un héros, c'est même le contraire. En tout cas, il faut dire que dès fois il peut en profiter car depuis ces histoires, la ville est un peu plus sympa envers les sans-abris pour les protéger en leur proposant refuge et nourriture plus simplement, surtout depuis l'ouverture d'un centre spécialisé pour aider les sans-abris comme lui.

Crédit by Alya Césaire

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Mar 15 Mar - 15:53
Noctis BarbasL'habit ne fait pas le moine

Noctis Lucis Caelum - Final Fantasy XV
Noct (civil) et Pipistro (vilain)

30 août 1997 (24 ans)

Masculin

Vilain

Livreur

Miraculous : [X] Réservation [ ] Aléatoire

Baat, la chauve-souris

Akumatisation : [X] Oui  [ ] Non

On t'appelle comment sur la toile ? Silas
Ton p'tit âge ? + que mon perso
Comment nous as-tu connu ? Via une pub sur un autre forum
Un commentaire ? Des calins à tous

Caractère
Noctis est quelqu'un de serviable et vous aidera si vous le lui demander gentiment et qu'il n'as rien à faire au même moment. Néanmoins, il n'est pas impossible qu'il vous demande à son tour un service en retour si l'occasion se présente. Il est aussi très joueur et ne perdra jamais une occasion de lancer un défi, surtout si il est sûr de le remporter. Noctis est également quelqu'un qui analyse fortement son environnement, chose bien utile pour ses livraisons, mais aussi pour lancer ses défis. Mais ne vous fiez pas à sa gentillesse, car derrière cela, se cache quelqu'un qui ne manquera aucune occasion de s'emparer de ce qu'il désire.
Physique
Noctis est un homme fin et de grande taille, frôlant les 1 mètre 90. Ses cheveux sont noirs avec quelques petits reflets bleutés, tandis que ses yeux sont simplement bleus. Souvent habillé de noir ou de gris, il aura toujours sa veste sur lui, ainsi que ses bottines. Il ne possède ni tatouage, ni piercings, du moins pour le moment.

Histoire
Il y a de cela un peu plus de vingt-quatre ans, Noctis naquit à Paris, d'une mère infirmière et d'un père policier. Le jeune homme est l'aîné d'une fratrie de trois enfants. Il a une soeur de deux ans sa cadette, ainsi qu'un frère un an encore plus jeune. En dehors des voyages scolaires, il a vécu toute sa vie à Paris, ne quittant la capitale que lors de vacances familiales.
Sa vie fut assez banale jusqu'à l'année de ses 15 ans, année durant laquelle son frère de 12 ans disparu mystérieusement en revenant de chez l'un de ses amis. Malgré de longues recherches menées par la police avec son père, aucune trace ne permis de le retrouver, et à l'heure actuelle, cette enquête est toujours non-résolue. On ignore même si son frère est toujours en vie ou non.
La disparition de son frère à beaucoup affecté Noctis, qui s'est beaucoup refermé sur lui-même pendant plusieurs années. C'est d'ailleurs à la suite de cette période qu'il adopta son look actuel et son attrait pour le noir. Il lui fallut plusieurs années pour s'en remettre et à présent, Noctis vit sa vie un peu comme si c'était son dernier jour. C'est ainsi qu'est né son attrait pour les jeux en tout genre, trouvant finalement qu'il n'avais rien à perdre avec cela, sans compter le côté amusant de la chose. Même quand il perd, il s'amuse.
Niveau scolarité, il fit ses études au Collège Françoise Dupont, mais lors de son passage au lycée, il changea d'établissement pour un lycée au parcours plus général. Ses études terminées, après avoir fait une année supplémentaire pour cause de redoublement, Noctis ne se projetait pas continuer des études supplémentaires et stoppa donc là sa scolarité. Il vécu d'abord de petit boulot en tout genre avant de trouver, deux ans plus tard, une place fixe comme livreur. Il faisait également quelques heures de livraison pour un restaurateur quand celui-ci avait besoin de renfort. Cela fait donc maintenant 3 ans qu'il arpente les rues de Paris en camionnette pour les colis la journée ou à moto pour les repas en soirée.
Quand il a vu l'arrivée des super-héros au fil des années dans Paris, Noctis était de prime abord assez inquiet par rapport à cela, craignant que la ville se transforme au fur et à mesure en un énorme champ de bataille. Mais tout revenant dans l'ordre à chaque fois, le jeune homme n'en as donc pas grand chose à faire au final. Cela est juste ennuyant quand une attaque se passe là où il se trouve. Néanmoins, il s'est toujours dit que cela pourrais être cool d'avoir lui-même des pouvoirs afin de faire tout ce qui lui plairais. Il espère donc au fond de lui obtenir un pouvoir permanent un jour.

Crédit by Alya Césaire

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Mar 15 Mar - 16:00
Thorn SolbergLe temps est précieux, bien plus que cela même.

Sigma dans Overwatch (BLizzard)
Nom quotidien : Thorn, mais beaucoup m’appelle « l’automate »

Le 05 juin 1983 à 3h17

masculin

civils

Anciennement Astrophysicien puis reconverti aujourd'hui en bijoutier horloger

Miraculous : [ ] Réservation [X] Aléatoire

Peu m’importe, tant qu’ils ne me font pas perdre mon temps.

Akumatisation : [X] Oui  [ ] Non

On t'appelle comment sur la toile ? Nadelya
Ton p'tit âge ? 24 ans
Comment nous as-tu connu ? je votais pour le top site de Pokemon rebirth pis, j'ai vu votre fofo, sans prise de tête et très chaleureux visuellement et cela m'a donné envie de tester, après réflexion car je ne serais sans doute pas toujours dispo.
Un commentaire ? J'aime beaucoup le visuel et la simplicité du forum, j'hésite vraiment entre civil et impartiaux, je n'arrive pas à distinguer réellement la différence entre les deux... Un petit avis ? (je penche plus du coté des impartiaux tout de même !) Autre remarque : Le personnage que j'incarne se base beaucoup sur celui de Thorn dans la passe-miroir et que j'apprécie énormément ! ainsi que Sigma dans Overwatch.

Caractère
Ne perdons pas de temps, de toute façon cela ne vous regarde pas…
— Exigent
— Associable
— Rabat-joie
— Maniaque
— Pressé
— Hautain
— En aucun cas je suis égoïste !
— Protecteur
— Calme, posé
— Minutieux, surtout dans mon travail
— Observateur, aucun détail ne m’échappe, ou presque…
— Solitaire
— Strict
— Froid et Réservé
Rien qui puisse être attrayant, je vous l’ai déjà dit, tentez de retenir la prochaine fois.
Physique
Thorn est un homme grand et imposant d’1m98, et son physique n’a rien qui puisse être attirant. Son visage anguleux et creusé est allongé et rasé. Son âge, (dont ses traits de caractères le vieillisse) et ses heures de travail marquent les dessous de ses yeux et forment des rides peu communes, remontant presque jusqu’aux oreilles. Son nez est vraiment grand, busqué et pointu. Thorn n’est pas très chevelu et une calvitie élargie la taille de son front. Ses cheveux sont encore noirs de jais -sauf la partie inférieure- et très peu coiffé. Ses longs sourcils arqués soulignent son regard sévère et ténébreux, contrastant ses iris d’un gris lumineux.

Son buste est très large et imposant contrairement à ses jambes peu musclées. Son dos est musclé et ses épaules larges. Cette forme physique en surpris plus d’un et ne lui rend pas forcément la vie plus facile. Obligé de se plier en deux pour passer dans un endroit à un autre, pour prendre les transports ou bien coincé dans des sièges bien trop étroits pour lui, Thorn s’y est habitué contre son gré.
Bien que ses jambes soient la contrepartie de ce buste musclé, elles tiennent très bien le sol et rare sont ceux qui arrive à le faire trébucher. Nous pourrions les comparer aux jambes de danseurs professionnels, bien que la danse soit pour lui un calvaire.

Vestimentairement parlant, Thorn porte des tenues sombres et d’un style que l’on ne voit plus en grande majorité : Un corset homme noir avec une chemise blanche qui souligne les traits de sa musculature ainsi qu’une cravate d’homme d’affaires. Sur ce fameux corset, est accroché à l’intérieur un gousset en lorsqu’il utilise très souvent. Il peut également être vêtu d’un haut manche long à la texture des tenues de sport : moulant et respirant, qu’il trouve très confortable.

Histoire
Thorn a toujours eu l'habitude d'attendre.

Il était devant la brasserie "Grand Café Café Capucine" debout à attendre l'arrivé de cet individu auquel il avait promis de raconter son histoire. Thorn pesta intérieurement d'avoir eu à parier ce genre de chose, mais surtout d'avoir perdu. Parler de soi n'était vraiment pas quelque chose qu'il appréciait. Il préférait être celui qui écoute, celui qui observe en hochant la tête. Malheureusement, ce ne sera pas le cas aujourd'hui. Vêtu de sa tenue de bijoutier-horloger et d'un manteau le protégeant du froid, il ne passait pas inaperçu des passants et sa grande taille et sa prestance intimida les futurs clients de cette brasserie. Les serveurs et serveuses étaient venus plusieurs fois le voir pour lui demander gentiment de se décaler ou de venir s'asseoir s'il désirait boire quelque chose. Mais lui, il resta comme un piquet, à attendre son arrivée.
Quand on parle du loup...


Il glissa sa main à l’intérieur de son veston et sorti son inséparable gousset. Il lu l'heure et le referma dans un cliquetis aigu.
"Tac-tac".

Vous voilà enfin, vous êtes en retard de 5min et 42sec. Cela me fera moins d'une heure à vous raconter mon histoire, comme je vous l'avais promis, Invité.

Il fronça les sourcils et grimaça légèrement. Il n'appréciait pas les personnes en retard, mais pour une fois, cela lui arrangeait bien de parler moins que prévu. Une heure. C'était la promesse de ce pari stupide et enfantin. Puis tous les deux entrèrent à l'intérieur de cette brasserie. Il faisait froid en cette fin d'année 2021, ils s'étaient donc réfugiés à l'intérieur, au chaud. Thorn s'assied tant bien que mal dans ce siège en velours, bien trop étroit pour lui. Il cogna ses genoux au-dessous de la table, ce qui eut pour effet de la soulever légèrement, attirant les regards des plus distrait et curieux. Il ne s'énerva pas. Il regardait son invité d'un visage neutre, difficile à cerner. Il ne prit même pas la peine d'observer la carte que leur avait tendue le serveur. Il savait déjà ce qu'il allait prendre. Le temps lui sembla être une éternité jusqu'à ce que Invité se décide enfin à choisir. Pas trop tôt, pensa-t-il.

Un café au lait, s'il-vous-plait. Dit-il poliment.

Thorn appréciait l'amertume du café mélangé à la douceur sucré du lait. Il observa son interlocuteur et se fut comme une évidence. Ce dernier était impatient d'entendre ce que Thorn avait à dire. Il soupira et décida de commencer. Pourtant, Thorn n'a rien d'attirant ou d’intéressant. Ce n'est pas un super-héros, ni un vilain, seulement un simple citoyen travailleur.
Son café ne devrait pas mettre longtemps à arriver.

présentaaaaaation - Page 2 Separa10


Thorn a eu une enfance des plus banale. Ayant une sœur, un frère aîné et un dernier plus jeune que lui, il se retrouve entouré d'une famille chaleureuse et vécu une enfance mouvementée aux Pays-Bas. Réservé dès le plus jeune âge, cela ne lui a pas empêché de vivre sa vie correctement. Seuls certains cours exigeais de lui des efforts considérables pour prendre la parole, mais c'était toujours de manière réfléchie et posée. Thorn était le type d'élève discret et assidu, aucunement perturbateur. Il eut quelques amis, cinq ou six, mais des amis fidèles lui permettant une scolarité sans trop de problèmes et il en garde un souvenir plutôt positif.

Ses études supérieures le firent voyager vers Paris et l'orientèrent dans le domaine de la physique et des mathématiques, plus précisément dans la filière de l'astrophysique. Devenue une passion, ses résultats excellaient et il fut facilement pris en tant que stagiaire de thèse après son master. Après la présentation finales de ces recherches au sein de cette thèse et la validation, il fut pris sans difficulté dans d'autres laboratoires astrophysiques. Il ne maîtrisait pas totalement le français, mais son anglais était irréprochable et bien plus que cela même, il était indispensable pour ses recherches. Il travailla sur des thèses telles que sur "les contributions et études de la formation des grandes structures de l'univers, résultats exacts en mécanique statistique sur réseau" ; " l'instrumentation astrophysique et optique active" et enfin sur " les sources et détection d’événements cosmiques de haute énergie." . Du charabia scientifique pour les communs des mortels. Mais pour lui, cela représentait bien plus que de simples recherches scientifiques, cela représentait l'avenir.

Ses travaux reconnus, Thorn reçut une invitation à l' IRAP (Institut de Recherches Astrophysique de Paris. Car oui, pendant que certains se battent avec des pouvoirs, d'autres bosses avec leurs savoirs. Thorn avait 30 ans lorsqu'il rejoignit une équipe de 11 chercheurs.
C'est en acceptant l'offre que la vie de Thorn allait prendre un autre tournant.

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Thorn vêtu de sa blouse entrouverte, sorti son badge qui était accroché autour de son cou et le posa sur la borne permettant d'ouvrir la porte d'entrée des chercheurs. Il était 8h50 et l'air frais accompagné de son flux d'énergie lumineuse annonçaient l'arrivée du printemps. Aujourd’hui, il était un peu nerveux mais également très impatient de commencer son projet. Ses émotions n’étaient pas traduites sur son visage, ce dernier était toujours neutre, « fermé » et selon des moments, un peu ennuyé.

Il grimpa les marches menant au deuxième étage de l’institut, pour rencontrer son équipe de recherche. Chaque étage de l’IRAP avait une affiliation spéciale, celle du deuxième étage tentait d’élucider "la maîtrise de la force des trous noirs et des éruptions solaire". La maîtrise d'une force qui nous est encore lointaine ferai un tournant. Pour quelles utilisations ? A qui appartiendra t'elle ? Des questions que l’on retrouve régulièrement. Leurs réponses feront un tournant historique, à la fois grandiose mais assurément dangereux…

Il passa la porte 202A, une large salle de repos pour l’équipe. Elle était équipée d’appareils électroménagers tels que plusieurs micro-ondes, d’un frigo, d’une cafetière un lavabo. Il y avait une table pour manger et un coin plus tranquille avec des sièges et un canapé confortable. Elle était également équipée d’une armoire et de casiers personnels. Cela se rapprochait beaucoup d’une salle de professeurs, mais en bien plus grande.

Bonjour et bienvenu ! Dit un homme souriant et accueillant. Vous êtes le premier, et à l’heure qui plus est ! Vous êtes ?

Bonjour, Thorn. Thorn Solberg. Cela me parait comme une évidence. Et vous ? Répondit-il d’une voix grave et neutre.

L’homme à qui il s’adressait était le chef du projet. Ce dernier ne savait pas si Thorn plaisantait ou s’il était sérieux. L’observant de haut en bas, il ne resta pas plus longtemps perturbé.

Richard Dumont, chef du projet de cette année. Nous allons devoir attendre les autres avant de vous expliquer en quoi il consiste, en attendant, je vous sers un café ?

Thorn n’était pas le plus doué et le plus chaleureux pour converser. Ceci dit, cet homme le faisait très bien tout seul et était capable de combler le temps. Une quinzaine de minutes s’écoulèrent avant que toute l’équipe ne soit au complet. Il y avait des chercheurs et chercheuses de tout âge et de toute origine. Certains semblaient déjà se connaître depuis longtemps, d’autres étaient déjà rivé sur leur téléphone et d’autres attendaient patiemment, sortant de leur sommeil pour certains. Thorn, discret, les observa sans rien dire.

Bien, comme tout le monde est présent, nous allons pouvoir commencer les explications du projet. Tout d’abord, je me présente pour ceux qui ne me connaissent pas encore, je m’appelle Richard Dumont et j’ai la charge de cette équipe et du projet. S’il y a le moindre problème ou si vous avez une demande particulière, c’est à moi qu’il faudra s’adresser en premier.

Le brouhaha des retrouvailles avait disparu et tous les membres du projet avaient les yeux rivés sur Richard. Sa voix d’orateur était persuasive et accrocheuse. Même Thorn ne pouvait se détacher les yeux de lui, totalement concentré sur ses paroles. Après une profonde inspiration, Richard reprit.

Cette année est une année chargée, nous allons travailler sur un projet des plus intéressant mais des plus fastidieux.

Thorn regarda son gousset, beaucoup de « blabla » pour pas-grand-chose. Allons à l’essentiel.

En effet, au vu des résultats peu concluant des autres équipes de l’IRAP, le président nous a à l’œil pour cette année et n’hésitera pas à licencier. Pas seulement les nouveaux, mais aussi les plus anciens et les plus habitués… Nous devons tout mettre en œuvre dans ce projet, qui sera… Peut-être le dernier dans cet institut pour certains ou certaines d’entre vous…

Il bu une gorgée avant de reprendre. Certains avaient les muscles tendus, sans doute concernés par le manque de résultats concluants pensa Thorn.

Nous allons travailler sur « l’évolution sous rayonnements des poussières cosmiques ». Pour cela, nous allons nous répartir en 3 équipes, déjà composées par vos affinités techniques. Vous trouverez toutes les informations nécessaires, que cela soit sur votre travail ou les membres de votre équipe.

Il distribua à chacun d’entre nous un dossier d’une dizaine de pages. Les dossiers étaient différenciés par leur couleur en fonction de leur équipe. Le dossier de Thorn était vert sapin. Il commença à le feuilleter et à analyser les informations du projet dans les moindres détails. Tandis que la partie « membre de l’équipe » lui importait peu, les autres scientifiques commençaient à discuter et essayaient de voir avec qui ils ou elles seraient.

Richard avait continué d’expliquer comment allait se passer l'année, il nous fit visiter les différentes salles disponibles et répondait avec bienveillance aux éventuelles questions. Le même jour, Thorn fit la connaissance de ses trois collègues, Karl un Alsacien souriant et convivial, Aylin une Irlandaise raffinée et qui semble prendre les devants de l’équipe et enfin Léopaul, un homme tout aussi silencieux que Thorn, mais ce dernier semblait ailleurs, sur une autre planète. On ne choisit pas son équipe, on doit faire avec. Ce n’était pas la première fois pour Thorn qu’il travaillait en groupe et cela ne le dérangeait pas plus que ça. Tant qu’on ne lui prenait pas la tête et qu'on ne lui faisait pas perdre son temps.

C’était ainsi que pendant plusieurs mois, Thorn travailla avec son équipe. Il fit des expériences de laboratoire en utilisant des sources plasma à basse pression pour produire des analogues de poussière, de la spectrométrie IR, de masse. Leur équipe était également chargée d'expérimentations sur des accélérateurs pour utiliser des faisceaux d'ions permettant la simulation des rayons cosmiques galactiques, la source de rayonnement complémentaire présente dans l'espace interstellaire. Des termes et des techniques plutôt complexes qui peuvent en faire perdre plus d’un. Cependant, leur objectif final était d'effectuer des analyses et les comparer avec des spectres astronomiques d'observation.

Il avait également pris le temps de faire plus ample connaissance avec son équipe. Karl avait proposé de terminer certaines journées dans des bars-restaurant de Paris, Thorn s’était ouvert de plus en plus et prenait part aux discussions. Il accompagnait Aylin dans un parc où elle fumait et discutait de tout et de rien. Plus Thorn y allait, plus elle tenta de poser des questions personnelles à son sujet, répondant bien souvent avec un rictus sur le visage… Mais Aylin le mettait tellement en confiance qu’il fut surpris lui-même un jour de lui poser des questions et demander son avis.

Quant à Léopaul... Aux heures de pause, Thorn appréciait de prendre un café au lait. Un jour, il crut apercevoir Léopaul l’observer en mâchonnant une touillette en bois. Thorn avait simplement entendu le craquement et s’était retourné vers lui. Ils s’étaient fixés du regard sans rien dire, avant que Léopaul ne disparaisse, sortant de la salle, comme une ombre. Ce jour-là n’a pas été des plus agréables pour Thorn et depuis, il se méfait un peu de la présence de ce mystérieux Léopaul…

Cinq mois s’étaient écoulés, leurs travaux avaient bien avancé. Un jour, Thorn travaillait sur une équation. Ses sourcils étaient froncés et sa concentration à son apogée. Pendant toute la matinée, il avait cherché, quelque chose n’allait pas, quelque chose clochait. Un détail qui lui était passé inaperçu. Il relisait, effaçait, recommençait, recalculait. Rien. Il arrivait toujours à la même conclusion. Était-ce donc irrésolvable ? Cela allait-il se terminer par un échec ? Soudain, il senti une douce odeur, moelleuse, de fleur telle que de jasmin, de Jacinthe ou d’iris. Thorn ne savait pas trop. Il fut sorti de ses pensées lorsqu’un bras passa du côté gauche et qu’un doigt fin pointa un endroit précis de ses calculs.

Peut-être devrais-tu prendre en compte la force de traîné neutre produite par les collisions des atomes ? Dis une voix d’un timbre grave et caractéristique d’un esprit vif et légèrement sournois…

Thorn resta silencieux bien qu’une contraction du coin de ses lèvres se fût formée. Il se remit à réfléchir. Avait-il oublié de prendre ceci en compte dans son équation ? La main s’était retirée et Thorn s’était remis à gribouiller dans un langage incompréhensible pour les non-connaisseurs. Il pouvait toujours sentir ce parfum enivrant. Il tenta de rester concentré tant bien que de mal à ses calculs d’astrophysicien.

Ça fonctionne.

Il se retourna s’extirpant tant bien que mal dans ce siège étroit, se cognant un de ses genoux. Sans se plaindre de la douleur qui venait progressivement, il leva la tête vers celle qui venait de résoudre son problème. Elle le regardait, un peu trop près au goût de Thorn, avec un sourire aux lèvres. Il ne savait plus quoi faire. Il voulait la remercier de l’avoir aidé, de l’avoir « débloqué » dans son calcul, mais pas un geste ni une phrase ne sortit de sa bouche. Pourtant, ce détail, qui lui échappait, leur permettait de faire un grand pas. Un pas qui pourrai bien aboutir à une découverte dont le prix est immensurable aujourd’hui. Seul un mot.

Merci.

Une main se posa sur son épaule gauche.

Tu me remerciera en m’offrant à boire la prochaine fois.

Elle fit un clin d’œil et reparti, comme si rien de tout cela ne s’était passé.

Tac-tac.

Thorn n’oubliera pas.

Une fois son travail terminé, il rangea ses précieuses recherches dans la pochette vert sapin qui leur était confié lors de leur premier jour dans cet institut.

Alors que Thorn rangea le dossier dans le casier, il se retourna et fut surpris de se retrouver face à Léopaul. Ce dernier le regarda. Thorn eut l’impression qu’il voulait lui dire quelque chose, mais, ce dernier se contenta de l’observer sans un mot ou presque. Rare était les fois où il parlait, il était tellement discret, bien plus que lui, que Thorn fut surprit d’oublier sa présence lors des repas de groupe. Pourtant, il ressentait de temps à autre sa présence, comme s’il était suivi en permanence par un esprit. Thorn n’était pas superstitieux.

Demain réunion avec M. Dumont. 11h.

Puis il reparti. Bien.



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Le lendemain, toute l’équipe du deuxième étage s’était réunie pour discuter de l’avancée. Tous assis autour d’une table en U, Thorn observait avec attention chacun des membres. Il ne fut pas surpris de voir Léopaul le regarder tel un aigle observant sa proie. Chaque chef d’équipe discutait à tour de rôle des différentes hypothèses et expériences qu’ils avaient menées avant d’annoncer un résumer de leurs résultats. Richard Dumont répondait de son point de vue et avec un sourire solaire bien à lui, à chaque dossier qui lui était rendu. Il signala que chaque dossier serait rendu le lendemain pour la suite de leur projet respectif. Pour l’équipe de Thorn, c’était Aylin qui s’en était chargée. Au fur et à mesure qu’Aylin parlait, son visage semblait devenir plus fermé. Karl, plein d’entrain tendit le dossier vert à M. Dumont, fier de leur travail d’équipe. Thorn observa le changement d’attitude chez Richard. Une fois le dossier en main, il le feuilleta rapidement. Puis, avec ce même sourire, il remercia Karl et regarda de nouveau Aylin. Un regard profond envers elle qui fit serrer les poings de Thorn.

Quelque chose à l’air de vous contrarier. De quoi s’agit-il ? Dit-il d'un ton acerbe.

Richard se tourna vers Thorn. Un peu gêné.

Non, disons que je suis plutôt surpris par vos résultats, je ne pensais pas que vous avanceriez aussi vite ! Mes félicitations.

Puis il rangea le dossier dans sa pochette.

Un autre membre de l’étage interrompit leur conversation pour s’adresser à Richard. Ce dernier se concentra donc sur cet autre membre et le cours des conversations reprit. Léopaul et Karl curieux, demandèrent pourquoi Thorn avait parlé de la sorte à Richard. Il répondit sans vraiment donner de réponse et de justification à son comportement. Aylin, inquiète, le regardait comme si elle essayait de lire en lui. Peut-être effectivement, s’était-il emporté ? Il ne put s’empêcher de regarder Richard d’un œil qu’il pensait discret.

Tac-tac.

Puis il se mit à discuter avec Aylin. Il discuta de leur avancée, de leurs futurs objectifs. Il hésita à plusieurs reprises de lui demander ce qu’elle pensait de cet homme, mais il se tut. Son comportement était stupide et bien trop accusateur. Il devait se reprendre et se concentrer sur son travail uniquement. De plus, le coté social n’était pas son domaine de prédilection, ce n’est pas aujourd’hui qu’il allait s’en mêler. Il ne fit pas attention au regard de l'irlandaise, qui semblait lui dire quelque chose qu'elle ne pouvait dire à voix haute.

Une bonne demi-heure s’était écoulée depuis le début de cette réunion. La salle se vidait petit à petit, certains discutaient encore. Karl et Léopaul partaient devant et Thorn les suivit lorsqu’il sentit une main sur son épaule le serrer fermement.

Vous savez M. Solberg, j’ai beaucoup entendu parler de vous et de vos précédentes thèses. Ce n’est pas pour rien que nous vous avons choisi. Peut-être que mes réactions n’ont pas échappé à votre regard et n’étaient pas celles que vous espériez. Mais… Ne soyez pas aussi ferme et méfiant. Il tapota son épaule comme pour lui montrer à quel point il était tendu. Vous vous trompez de personne…

Thorn resta silencieux un instant. Aurait-il perdu la maîtrise de ses émotions ? Sa méfiance, était-elle flagrante ?

Je vous remercie de vous être autant intéressé à moi. Mais je ne vois pas de qui faites-vous allusion.

On est souvent trompé par trop de méfiance. Je suivrai avec attention vos avancées M.Solberg, vous pouvez vous reposer un peu.

Sa réponse n’avait aucun sens et ne répondait pas à la question qu’il avait posée. Il n’aimait pas ce genre de comportement indécis, trouble, qui lui faisait tourner beaucoup trop l’esprit. Il lui répondit par un simple acquiescement puis sorti de la salle pour de bon. Il avança tout droit et évita les quelques personnes qui restaient dans ce couloir. Il jeta un dernier coup d’œil en arrière et vit Richard discuter en privé avec Aylin. Thorn poursuivi sa route en silence, méditant sur les dernières paroles de Richard. Il n’avait rien signalé d’anormal pour se méfier de quelqu’un autre que lui et rien d’important pour s’en préoccuper. Il effectuait son travail, avec rigueur sans embêter qui-que ce soit. Où était le problème ? Qui ?

Alors qu’il se déplaçait au premier étage de l’IRAP, ses pensées furent stoppées par la rencontre imprévue de ce cher Léopaul. Il ne l’avait pas vu et s’était rentré dedans.

Désolé. Dit Léopaul d’une voix presque inaudible.

Ce n’est rien. Alors que c’était entièrement de sa faute s’ils s’étaient rentrés dedans.

Ils échangèrent un regard et chacun parti de leur côté. Serait-ce lui dont parlais le chef de projet ?

Il termina sa journée et se reposa chez lui. Après avoir mangé et s’être lavé, il s’allongea dans le lit et scruta une dernière fois son téléphone. Sans nouvelle, il l’éteignit et relâcha toute la tension de la journée en se mettant sur le dos, pour de bon. Il soupira en ressassant sa journée, il avait beau essayer de les chasser, ses pensées étaient tournées vers une seule personne.



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Le jour suivant, Thorn comme d’habitude, sorti son badge pour entrer dans l’institut. Le soleil hivernale n'était pas encore levé complètement, il faisait plutôt sombre et l'air était glaciale. Il salua le personnel de l’accueil et monta les marches direction le bureau de l’équipe. Toujours le premier à l’heure, il eut le temps de sortir ses affaires de son casier et d’allumer les machines nécessaires à leurs expériences. Karl arriva avec Léopaul. Ils se dirent bonjour et racontèrent un peu leur fin de journée. Thorn sorti son précieux gousset et la consulta. Dix minutes. Karl raconta ses soirées de folies, « fêteur » comme il était, sous l’écoute de Léopaul, qui lui posa de temps en temps des questions. Vingt-deux minutes. Tous les trois étaient plongés dans leurs recherches. Léopaul parti préparer du café pour tous et remonta le moral de Karl, pour ses conquêtes qui ne se résumaient qu’à des échecs cuisants. Trente minutes. Aylin n’était toujours pas là.

Avez-vous eu des nouvelles d’Aylin ? Elle n’est toujours pas là, ce n’est pas à son habitude. Dit-il soudainement d’une voix grave.

Ses deux amis et collègues relevèrent soudainement la tête, surpris par la prise de parole de Thorn.

Aucune nouvelle. Répondit Léopaul.

La dernière fois que je lui ai parlé c’était par sms, hier soir. Et-

Qu’a-t-elle dit ? Lui coupa Thorn.

Euh… Elle me parlait de la réunion et de l'échange qu'elle a eu avec "le chef de projet talentueux" comme elle dit… Ainsi qu’elle était heureuse des résultats et qu’elle était plutôt agréablement surprise par tes compétences d’astrophysicien et ta perspicacité…

Thorn entrelaça ses mains et les mirent devant son menton, coude sur le bureau. Son regard était sérieux et il semblait analyser la moindre information que pouvait lui dire Karl.

Tu sais… Tu ne devrais pas t’en faire, ça arrive d’être absent pour une maladie, pour un imprévu ou pour-

Elle m’aurait prévenu et ce n’est pas le cas. Dit-il sèchement.

Karl fut pris de court. Lui et Léopaul se regardèrent. Karl se retourna vers Thorn et plissa les yeux, un sourire en coin. Les yeux presque mis-clos, réduit à deux fentes très minces, il regarda ceux de Thorn, des yeux bleus gris et brillants, comme ceux d'un oiseau de nuit. Un regard perçant accentué par ses sourcils naturellement froncés. Si Karl ne le connaissait pas, il aurait déjà prit la fuite.

Dis-moi… C’est que tu m’as l’air inquiet, mon automate adoré ! Dit-il sous le ton de la taquinerie. Il est vrai que ce n'est pas l'habitude de la douce et cruelle Aylin d'être en retard. Envoie-lui un message ou appelle la au cas où !

Thorn lâcha un soupir qui se rapprochait presque d’un grognement. Il n’avait pas tort. S’il voulait être sûr qu’Aylin aille bien, il n’avait qu’à l’appeler ou à l’attendre encore un peu. Pourquoi était-il inquiet ? Foutu pressentiment. Il se leva de son bureau, prit son téléphone pour appeler. L’appeler… Il n’avait jamais eu trop l’occasion de le faire, seulement des sms pour prendre des infos de leurs recherches ou pour lui apporter son paquet de cigarettes qu’elle oubliait de nombreuses fois dans la salle de repos. Il chercha son numéro et mit son téléphone contre son oreille. Il resta droit comme un piquet juste devant la porte, à l’extérieur de la salle. Il tomba sur le répondeur.

Il retenta sa chance et, se dit qu’elle était peut-être passée par cette salle de repos ! Il se dirigea donc à de grades enjambés vers ce lieu. Encore le répondeur. Il retenta une dernière fois puis, entra dans la salle de repos. Il scruta les personnes présentes, cherchant le visage familier de l’Irlandaise. Rien. Même son paquet de cigarette n’était pas à sa place. Il sortit et décida de contourner de l’autre côté avant de retourner à son bureau. Le téléphone toujours en main, il décida de laisser un message, la voix neutre, tentant de ne pas montrer son inquiétude qui devait certainement être vaine d’ailleurs. Thorn et les relations sociales, ce n’était vraiment pas son fort.

Alors qu’il marchait, il fut intrigué par l’entrouverture d’une porte. Il s’arrêta brusquement et fit face à cette salle. La lumière était éteinte. Sa grande taille lui permit de voir sans problème discrètement à travers les fenêtres qui se trouvait en hauteurs, de chaque côté de la porte. Personne, trop sombre.
Il posa la main droite sur la poignée et ouvrit lentement la porte. Lourde et épaisse, assez pour isoler du bruit, il la repoussa une fois entrer. Il décida de ne pas allumer la lumière pour être le plus discret. La pièce était un bureau dont ce dernier se trouvait presqu’au centre de la pièce. Deux fenêtres faisaient passer la lumière. Il était encore trop tôt pour que la lumière du soleil puisse traverser et les lampadaires de la ville s’étaient éteint automatiquement, encore réglés sous l’heure d’été. Il y avait un tableau ardoise et un autre tableau de liège dont était accroché diverses informations. Il avança, doucement et le plus discrètement vers le bureau. Il était vraiment grand et en désordre, tout un tas de documents étaient disposés les uns sur les autres. Des bouquins étaient accumulés et certains tas de papiers tenaient en équilibre, sur le point de tomber. Plein de paperasse, avec un PC et un cadre. Il le prit dans les mains, les yeux habitués à la pénombre, il put le lire clairement. Le certificat de doctorant.

C’était le bureau de Richard.

Il ne put s’empêcher de jeter un coup d’œil aux documents qui s’y trouvaient et ouvrit sans gêne les tiroirs. Le premier contenait tout le nécessaire pour écrire, agrafer ou faire des liasses. Le second fut bien plus surprenant.
Il sortit un document qui lui était familier. Un document sombre, il l’ouvrit et le feuilleta pour s’assurer qu’il ne s’était pas trompé. Non, c’était bien ça. Avait-il oublié de leur rendre ? Peut-être. Il posa la pochette vert sapin sur le bureau et découvrit dans ce second tiroir d’autres documents. Des enveloppes, dont une ne semblait pas encore sceller. Curieux et ne maîtrisant plus le temps autour de lui, il sortit l’enveloppe et la lis.

Son regard se fit plus sombre et ses muscles se tendirent. C’était donc pour cela.

Pathétique.

Thorn venait de comprendre l’intérêt qu’avait porté Richard à leur projet. Et bien plus que cela même. Il voulait le détruire. L’anéantir. Pourquoi ? Par simple jalousie ? Par orgueil ? Pour tirer profit envers le président de l’institut ? Thorn décida de garder l’enveloppe ainsi que son contenu et de le glisser dans une de ses poches de sa blouse. Une preuve qu’il comptait bien présenter à ses camarades et bien plus que cela même.

Clic-

Thorn se retourna furtivement vers la porte. Quelqu’un était entré et il ne vit que le dos de celui-ci. Cet homme venait de s’enfermer, lui et Thorn dans cette pièce. Quelques mètres les séparaient.

Je me disais bien que j’avais oublié quelque chose d’important. Oublié de fermer mon bureau pour éviter que des curieux ne s’y glissent et ne fouillent dans mes affaires.

Sa voix était sombre et sérieuse, irritée. Il mit la clef dans la poche de son pantalon et se retourna lentement vers Thorn. Ce dernier se mit instinctivement sur ses gardes, méfiant. Il avait compris et lui savait qu’il avait compris.

Cela me déçoit, venant de vous qui semblez être si parfait. Tellement apprécié par la communauté scientifique, tellement modeste… Que cela en devient agaçant.

Aylin n’est pas là, savez-vous si elle va bien ?

Richard se mit à rire nerveusement.

Alors que vous êtes dans une situation bien délicate, c’est d’elle que vous vous préoccupez le plus ? Mon pauvre.

Les poings et la mâchoire de Thorn se contractèrent. S’il apprenait qu’il était responsable de la moindre chose auprès d’elle… Que ce soit elle ou un de ses collègues, Thorn était assez protecteur envers ses amis. Richard soupira et regarda Thorn avec pitié, sincèrement désolée.

Aylin avait bien plus d’un tour en avance que vous, mon cher Thorn. Et c’est grâce à vous. Lorsqu’elle vous a vu résoudre l’équation, elle m’a tout de suite averti. Malheureusement, je ne pouvais cacher mon désarroi, qu’elle fut tout de suite méfiante, comme vous l’avez été lors de la réunion. Elle était bien informée, la garce. Elle a vu clair dans mon jeu et ma menacé de le reporter.

Vous avez agi bien trop vite pour me persuader de me méfier de quelqu’un d’autre que vous. Vous n’êtes assurément pas doué pour cela.

Thorn le fusilla du regard. S’il avait mieux agi, il aurait pu soupçonner en quelques jours seulement Léopaul de quelque chose, vu qu’il ne cessait de l’observer. Richard bouda.

Quoi ? Bien sûr qu’il fut facile de la persuader. Nous sous-estimons souvent le pouvoir d'un contact, d'un sourire, d'un mot gentil, d'une oreille attentive, d'un compliment sincère, ou d'une moindre attention ; ils ont tous le pouvoir de changer les choses à notre avantage. En plus de mon statut de supérieur, cela m’a bien facilité la tâche pour la persuader de « se reposer ». Finit-il en détachant chaque syllabe.

Je n’ai pas le caractère à me faire avoir par vos belles paroles Richard. Je compte bien sortir d’ici et tout dévoiler sur vos mauvaises intentions. Vous ne pouvez vous attribuer le travail des autres et faire bon ce qui vous semble. A votre profit.

Il se mit à rire.

Faites-donc, tenez, les clefs.

Il avança dans la pièce pour laisser la place à Thorn et lui tendit les clefs qui se trouvaient dans la poche de son pantalon quelques minutes plus tôt. Thorn un peu surpris par ce changement d’attitude ne perdit pas une seconde pour les prendre. Après l’avoir regardé, Richard ne réagit point. Les clefs en main, Thorn les inséra dans la serrure et déverrouilla la porte.

Soudain, une douleur terrifiante apparue au niveau de ses côtes et le fit basculer avec violence sur le côté. Il trébucha et se plia, la main sur l’origine de la douleur. Richard soupira.

Comme vous êtes naïf, M. Solberg.

Puis il s’approcha de lui, le saisit par le col et fut forcé par sa grande taille de se pencher en avant. Il le frappa de sa main droite au visage. Thorn fut secoué par cette violence, ici dans cette pièce. Qu’espérait Richard à le frapper ? Il allait forcément sortir de là et en parler à la police, lui donner des coups ne lui faisait que porter préjudice. Quel était donc ce changement de comportement, était-il devenu fou ?! Toujours saisit par le col, les cheveux blonds si bien coiffé de Richard étaient ébouriffé, son regard remplir de colère et de haine contre Thorn qui lui, n’avait rien demandé de tout ça. Il avait perdu toute sa splendeur et son humanité. Bien que du sang commença à couler de son nez, Thorn resta silencieux et ne détacha pas son regard de celui de son agresseur. Les bras le long.

Quel pédant ! Vous vous retenez par dignité… Votre attitude m’énerve encore plus. Vous me faites vomir… Mais je vous connais, des hommes comme vous, vous avez toujours des faiblesses !

Je ne frapperai pas quelqu’un comme vous, incapable de se contrôler et qui laisse place à la folie.

Richard se mit à rire gras. Il savait.

Vous savez… Les femmes fortes et vives d’esprit ont plutôt tendance à être attiré par des hommes de caractère…

S’il pensait que Thorn allait se faire avoir par ces puériles provocations, il se trompait. Il garda les bras badant. Néanmoins, Thorn commença à s’inquiéter de la douleur qu’il ressentait au niveau des côtes et qui se propageait dans son corps.

Avez-vous senti son parfum ? Et sa peau… Quelle douceur…

Thorn grogna. La douleur se fit plus intense dans sa poitrine. Il devait agir. Il attrapa les deux mains de Richard et les écarta avec force.

Aylin n’a rien avoir là-dedans, cessez donc de l’impliquer, cela vous rend ridicule, Richard. Dit-il en crachant son prénom comme si le prononcer lui devenait difficile.

Il le repoussa de toutes ses forces en arrière. Puis, se dirigea vers la sortie, mais Richard récupéra bien plus vite et se rua vers Thorn pour le plaquer. Bien qu’il fût plus grand que Richard, il tomba sur le dos. Thorn vit la folie dans le regard brillant de ce scientifique corrompu. Il n’avait donc pas le choix. Richard et Thorn respiraient fort, prit par l’adrénaline. Richard au-dessus de Thorn, il dit haletant :

Je dois récupérer quelque chose qui m’appartient.

Puis il glissa sa main gauche dans la poche de Thorn et prit la lettre. L’automate réagit et l’empoigna également. C’était un combat de force, d’endurance. Des coups bas, il en avait connu, mais des cas comme celui-là. Cela lui était inimaginable !

Richard réussit à délier sa main droite de celle de Thorn et la plaqua sur son visage, l’écrasant de toutes ses forces. Thorn lâcha un grognement puis donna un coup de pied féroce dans son ventre, qui eut pour effet de les séparer tous les deux. Richard avait lâché un son de douleur puis il se mit encore à marmonner. Thorn crut entendre « Voilà, votre véritable visage se dévoile enfin ». Décidément, Thorn s’était mis sur le dos une sacré énergumène. Il soupira exaspérer puis essuya le sang qui coulait de son nez et renifla. Le scientifique corrompu se jeta de haine, préparant un coup-de-poing, mais Thorn anticipa et lui balança ce qu’il avait le plus proche de lui. D’un coup de bras large, il donna un violent coup sur le bureau pour projeter les bouquins qui s’y trouvaient. Cela ne suffit pas à l’arrêter, il fit un pas sur le côté et prit la plante d’intérieur qui se trouvait sur une étagère et lui lança. Le fou se le prit de plein de fouets et vacilla. Bien qu’il n’eût que trente ans, son agresseur était coriace et plus sportif que Thorn. Ce dernier frappa d’un coup-de-poing vers le visage de Thorn, il esquiva de justesse, mais son agresseur était plus rapide et lui donna un fulgurant coup de genou dans l’abdomen. Le coup fut si agressif qu’il était ravageur. Thorn vit flou, secoué par la douleur qu’il n’avait jamais connue jusqu’à présent. Richard se rua sur lui, le plaquant au sol. Il lâcha l’enveloppe pour ne se préoccuper que de Thorn. Ses mains empoignèrent son cou, l’affolement le saisit lorsqu’il rencontra des difficultés à respirer. Les mains de l’automate tentaient tant bien que mal d’extirper celle de Richard. Ce dernier le regarda avec des étincelles dans les yeux.

Cette fois votre compte est bon.

Privé d’air, la vision de Thorn s’affaiblissait a vu d’œil et il n’entendait presque plus ce que pouvait lui dire ce cinglé. L’espoir qu’il avait de s’en sortir diminuait au fur et à mesure que ses mains perdaient en force. Elles lâchèrent prise. Thorn commençait à perdre la prise qu’il avait sur le monde. Tout ça pour ça ? Qui l’eut cru qu’il avait à faire à un psychopathe ayant des problèmes d’infériorité ? Le pire était qu’il n’était même pas akumatisé. Thorn n’aurait pas dit non à l’aide des supers héros. Il avait du mal à réfléchir, mais une dernière pensée lui traversait l’esprit. Avait-il fait la même chose à la belle Aylin ? Le fou se débattait et n’hésitait pas à reprendre le dessus lorsque Thorn eut l’occasion de s’échapper de son emprise. Son esprit se perdait, il ne voyait plus, comme si toute la pièce était immergée dans un immense brouillard épais. Il n’eut même plus la force de prononcer le moindre mot, l’air était absent.

Il entendit un bruit étouffé, comme si quelqu’un faisait l’effort de soulever quelque chose de lourd. L’air avait brusquement envahi les poumons de Thorn. Il aspira, toussa et mis sur le côté, toujours allongé au sol. Il tenta de récupérer tant bien que mal. Il fut brusquement ébloui par la lumière, l’empêchant de retrouver une vue convenable. Il se redressa, assis sur le sol ravagé par les documents et la paperasse. Quelqu’un l’avait aidé à se redresser.

Dis donc, t’es salement amoché toi ! Et dire que Léopaul avait raison depuis le début, je ne le pensais vraiment pas... Heureusement qu’il était là, à tout me dire celui-là !

La voix chaude lui était familière et le rassura. Thorn aurait voulu se relever, mais tout son corps était engourdi. Il tourna la tête vers la sortie. Plissant des yeux par ce changement brutal de luminosité, il vit les formes de Léopaul, extincteur à la main ainsi que Richard, étalé au sol, sonné. L’avait-il observé tout ce temps parce qu’il savait ? Était-ce donc la raison de cette ombre constamment présente auprès de Thorn ? Sa timidité l’avait empêché d’en parler au grand et imposant Thorn, mais ce dernier avait prévenu son camarade Karl, quand il était parti téléphoner à Aylin. Depuis le début, il observait avec attention. Ne le retrouvant pas depuis un moment, ils avaient fait le tour de l’étage, demandant au passant s’il n’avait pas vu un grand gaillard. Cela les avait amenés ici. Karl s’était précipité pour signaler le problème à la sécurité pendant que Léopaul se débrouillait par ses propres moyens pour intervenir. Il avait dosé le coup pour empêcher de lui faire saigner au niveau de la tête. Thorn pointa du doigt l’enveloppe froissée qui se trouvait parmi les dossiers au sol. Karl la ramassa et lui rassura que tout était fini, qu’il n’avait plus à s’inquiéter. Il dit également que Léopaul avait prévenu par sms Aylin sur toute cette histoire et qu’elle pouvait revenir, que c’était sans danger. Ils avaient à présent toutes les preuves pour l’inculper, le président de l’institut IRAP sera également prévenu. Leur projet sera mis en pause d’ici là. Thorn ferma les yeux et se reposa dans les bras de son ami Karl.


présentaaaaaation - Page 2 Separa10



Thorn fini de boire son café au lait, en soupirant. Il ne voulait plus rien dire de plus, il avait déjà un effort pour en parler, cela était simplement suffisant. Il n'aimait pas ressasser le passé,surtout que cette histoire là datait d'au moins une dizaine d'années. Il regarda son gousset et contempla l'heure.

Les unes heure se sont écoulées. Je n'ai plus rien à ajouter de plus mis à part qu'aujourd'hui, j'ai quitté le milieu des sciences pour m'occuper pleinement d'une boutique dont je suis le propriétaire. Une bijouterie-Horlogerie. N'hésitez pas à venir me voir si vous en avez l'occasion.

Il demanda l'addition et paya. Se relevant en faisant grincer la chaise trop petite pour lui, il salua son invité et parti. Il aurai pu raconter pleins d'autres choses car cette histoire datait d'il y a au moins dix ans ! Il aurait pu discuter de ce qu'il pensait des évènements récents à Paris. Pour lui, Papillon est une menace qu’il faudra vite arrêter. Utiliser son pouvoir pour akumatiser des innocents est quelque chose qui répugne Thorn, voire, le met en colère. Comment ose-t-il se servir des autres ?! Thorn a horreur des manipulateurs et des personnes qui se croient tout permis. Le pire, c’est de ce qu’il a pu voir ou entendre, les victimes sont forcées de suivre ses ordres, du moins, c’est ce qu’il pense. Forcer quelqu’un a faire certains actes contre son gré… Thorn n’ose pas imaginer et espère sincèrement que cela ne lui arrivera jamais ! Il avait suivi aux informations les attaques de Papillon et elles étaient bien trop nombreuses à son gout. Heureusement, il était bien content que des héros puissent intervenir et contrer ces attaques pour que tout puisse bien se terminer et retourner à la normale. Le mois de décembre venait à peine de commencer qu’une autre attaque surgit encore ! Décidément, Thorn ne savait pas trop s’il était vraiment en lieu sûr dans Paris. Que se passerait-il si les héros échouent ? Si Papillon parvenait à ses fins ? Et si un de ses clients venait à se faire akumatiser dans sa boutique ?! Parfois le calme lui manquait. Que pouvait bien faire un civil comme lui pour aider les héros ? Thorn se sentait bien impuissant face à cette menace, il serait prêt à les aider si cela permettrait de faire le ménage plus facilement et sans perdre de temps. Car le temps est précieux, et plus il passe, plus la menace grandit…
Des héros et des vilains, il n’en avait jamais croisé, Paris est tellement grand ! Qui sait comment il réagirait face à l’un d’entre eux, vilain ou héros !

Pour l’instant, ces attaques n’avaient pas trop joué sur sa vie privée et sur ses ventes de bijoux et montres, au grand bonheur de Thorn ! Il espère que la fin d'année va bien se passer car c'est en parti à cette période qu'il fait le plus de vente. Il s’était déjà converti une fois, il ne se voyait pas le faire une seconde fois…

Crédit by Alya Césaire

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Mar 15 Mar - 16:06
Armel Le Gall"Parce que je suis libre."

Metal Bat (One Punch Man)
Mel pour les intimes.

29 mai 1997 (24 ans)

Masculin

Héros

Master archiviste-paléographe (alternance aux Archives Nationales)

Miraculous : [ ] Réservation [X] Aléatoire

Canard ou araignée

Akumatisation : [X] Oui  [ ] Non

On t'appelle comment sur la toile ? Canardman
Ton p'tit âge ? 22 balais, bientôt 23 et ça commence à ne plus rentrer dans le placard.
Comment nous as-tu connu ? Top site.
Un commentaire ? Très hâte de pouvoir jouer avec vous :3

Caractère
Vous le saviez ! Il était louche ce type qui regardait une petite mamie de travers depuis qu'elle était montée six stations plus tôt. Il préparait un sale coup c'était sûr ! Et vos craintes se confirmèrent à l'arrêt suivant quand il s'approcha de son aînée une fois les portes ouvertes. Il passait à l'attaque. Quelle ne fut pas votre surprise en le voyant aider cette dame à descendre à son arrêt et l'accompagner dans la cohue du métro parisien, laissant son train partir sans lui. "Tant pis" s'était dit Armel, il prendrait le prochain. Le jeune homme se souciait plus des autres que de lui-même. Illuminer la journée des autres le rendait heureux. C'était un bonheur simple mais qui suffisait à le faire avancer car il était un homme avec des goûts relativement simples. Prendre un petit café dans le cinquième arrondissement, passer dans une librairie pour en ressortir avec un livre ou une bande dessinée ou visiter un des nombreux musées de la capitale étaient ces petites choses qui contribuaient à sa bonne humeur.

Et heureusement qu'il avait ces petites choses pour lui permettre de décompresser, car si Armel n'avait besoin que de peu de choses pour être heureux, un rien pouvait le faire stresser, notamment toutes les procédures administratives qui lui donnaient des sueurs froides. Il pouvait également perdre son sang froid assez rapidement, bien qu'il en fallût un peu plus que pour le faire stresser. De ce fait, il décelait une impulsivité qui ne collait guère à la bonne patte qu'il pouvait être.

Très ouvert et amoureux de la culture, il adorait côtoyer des gens brillants intellectuellement, ceux dont il disait qu'on n'en rencontrait qu'une seule dans toute une vie. C'était ça de vivre parmi les cercles étudiants et intellectuels de la capitale française, et ce malgré sa timidité bien cachée, voire une certaine angoisse à s'adresser à des inconnus, faisant de lui un solitaire naturel.

S'étant pendant très longtemps occupé de sa petite sœur, il était très protecteur envers elle voire trop, mais on ne se refait pas après tout.
Physique
Rue des Archives, troisième arrondissement, une pluie battante et pas un chat pour affronter les éléments hormis cette silhouette de haute stature abritée sous un large parapluie tartan à fond beige. Cette personne n'était pas étrangère au quartier, on pouvait même dire que c'était un habitué qu'on avait appris à côtoyer. Ses cheveux noirs étaient coiffés en arrière pour dégager un visage à l'allure bougonne, matérialisée par ces yeux sombres qui perçaient sous des sourcils apparemment constamment froncés. Pourtant, dès qu'on croisait ce regard peu amical, son expression se décontractait pour se montrer plus avenant et souriant. Large d'épaules, il fallait bien souvent se pousser de l'étroit trottoir qui montait depuis la place de l'hôtel de ville, quand il ne se poussait pas lui-même. Ce n'était qu'une fois arrivé sur son lieu de travail qu'il referma son parapluie et ôta son pardessus imperméable qui cachait un ensemble habillé moderne et élégant, bien adapté à la vie parisienne.

Informations chiffrées :

Histoire
Armel Le Gall : un prénom qui sentait bon la marée et le varech. En effet ce fut sur les côtes iodées de la Bretagne qu'Armel était né, dans une maternité du Finistère, non loin du Morbihan. Il avait grandi dans le petit port du Brigneau, un coin de paradis méconnu et peu visité, loin de la cohue parisienne. Il ne resta que quelques années à Brigneau, et déménagea à en Charente-Maritime où son père venait de se faire muter. Après des années collèges tranquilles, il effectua un cursus spécial au lycée, lui donnant à la fin un double diplôme français et allemand, qu'il utilisa pour se lancer dans des études de droit franco-allemand. Un échec monumental, la mentalité et la matière ne lui plaisant pas du tout.

Armel termina tant bien cette année de droit à Cologne avant de se réorienter en histoire. Il intégra une université de province, certes moins reluisante que celles qu'on trouvait à Paris, mais pas moins reconnue pour la qualité de son enseignement. Il obtenu sa licence avec brio avant de se relancer dans la voie franco-germanique à la capitale. Un Master de recherches qui le fit passer par Paris puis Munich. Durant ses semestres à la capitale française il entendit parler de ces histoires de papillons, de pouvoir maléfiques et de Miraculous. Pourtant, in ne s'en préoccupa pas plus que ça au début, étant concentré sur ses études et sa nouvelle vie parisienne, bien différente de celle qu'il avait pu vivre jusque-là, re trouvant d'anciens amis qui avaient continué leur cursus en droit. Mais à force d'entendre parler de ce fameux Papillon et de ses attaques qui étaient désormais confirmées, il sentit comme un danger planner au-dessus de chacun.

En partant à l'étranger, il fut libéré de cette impression, bien que toujours hanté par une inquiétude qui ne faisait que croître à mesure que les attaques de Papillon s'enchaînaient.

Diplômé d'un double Master franco-allemand, Armel retourna à Paris pour suivre une nouvelle formation, celle-ci avait pour but de le faire devenir archiviste-paléographe, lui permettant de prendre son indépendance avant de commencer une thèse, objectif ultime du jeune homme. Cependant, avec les attaques de Papillon qui continuaient, il avait aussi comme but de protéger les victimes innocentes de ses méfaits. Ayant travaillé comme aide à domicile lors de ses étés, il était hors de question que les petites mamies qu'il adorait tant fussent en danger, et pour cela il comptait sur les héros, car de son côté il n'allait pas défendre grand monde avec seulement une raquette de badminton. Il faisait cependant le minimum pour aider, peu importe ce que cela pouvait lui coûter.

Crédit by Alya Césaire

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Mar 15 Mar - 16:09
Miki AkitoraSi tu passe ton temps à regarder en arrière comment veut tu avancer ?

Imaushi Wakasa de Tokyo Revenger
Mike

17/05(17 ans)i

Masculin

Impartiaux

Lycéen / Délinquant

Miraculous : [X] Réservation [ ] Aléatoire

Crocodile

Akumatisation : [X] Oui  [ ] Non

On t'appelle comment sur la toile ? Deppressivbirdy
Ton p'tit âge ? 25 ans
Comment nous as-tu connu ? Top-site
Un commentaire ? PERRY THE PLATYPUUUUUUS !

Caractère
Savez vous ce qu’est un Bosozoku ? Les Bosozoku sont les gang de jeunes motards japonais ces gangs ont de nos jours pratiquement disparue mais il reste certains qui croient encore en ces derniers et dan ceux qui y croient il se trouve une légende un garçon qui acquis un surnom et une réputation dans le Kansai Miki “The Deva King of Nishikyō-ku” ce jeune homme connue pour avoir unis le Kansai en 3 ans a malheureusement vus ces rêves brisé par le problème nommer une famille inquiète mais nous y reviendront…
Toujours est il que voici un résumé du caractère de Miki:
Qualité:
-Intelligent
-Charismatique
-Fidèle
-Dévoué
-Reconnaissant
-”Honorable”(Selon son propre code)
-Inventif
-Travailleur(dans certains cas)
-Fier
-Déterminé
-Fougueux

Défaut:

-Arrogant
-Têtu
-Violent
-Intimidant
-Froid
-N’en a riens a faire des Loi
-Rigide
-Capricieux
-Autoritaire
-Trop Fougueux

Aime:
-Sa moto
-Les souvenir de son gang
-Se battre
-Les gens(à sa façon)
-L’Amaikazu(Loisir)
-Cuisiner
-Les Onigiri aux œufs de poisson

N’aime pas:
-Sa famille
-Les Européen en général(en therme de première impression après cela peut changer au cas par cas)
-Les petit toutou docile
-Les flics
-Les faux-jeton
-L’alcool
Physique
La pluie tomber aujourd’hui sur les rue D’osaka, laissant un territoire sombre et brumeux à cause de la chaleur folle de cet été, les lumière allumé laissait dans la rue une ambiance glauque et mystérieuse, les genre d’ambiance ou des idiots superstitieux aurait crus voir des spectres, oui le mystère recouvrait la ville donnant naissance à une ombre que nul ne pouvait comprendre… Une prélude parfaite à un affrontement qui se profiler depuis bientôt un an…

Non loin des quartier commerciaux se trouvait un chantier pour un immeuble et c’est dans ce chantier que la guerre se profiler, un an d’agression et de dispute de territoire avait aboutie à ce résultat entre deux gang de motards, venue tout droit de Kyoto les envahisseur appartenait aux Tokyo Kuro Ryu alors que le Gang qui régnait sur Osaka avait pour nom The Deva…

Ainsi sur le champ de bataille choisie ce tenait 35 hommes fièrement prêt à défendre leur territoire, vétu d’uniforme noir aux marques travailler certains porter des barres de fer ou d’autres objets dangereux et tous patienter docilement pour les ordres de leurs chef dans une tension digne de celle qu’avait dut ressentir les soldats sur un vrais champ de bataille…

Alors que la tension monter et qu’en face se profiler 50 jeunes hommes et femmes un bruit résonna, le moteur d’une moto qui arrivait dans un rugissement digne des cris d’une bête sauvage, se stoppant derrière les Deva, à cet instant dans une discipline digne de soldats tous s'écartèrent et s'inclinent alors que le chef de cette cohorte de jeune démon se profiler, avançant fièrement une mains dans la poches son autre sortie tenait un étendard sur lequel se profiler un des Douzes Deva et les Kanji 暴力, 誇り, 自由 et 破壊 placer aux quatre points cardinaux de l’étendard…

Le jeune homme qui avancer avait un look intimidant pour ces adversaires, trop grand pour un japonais il devait mesurer aux alentours de 1 mètre 80 alors qu’il n’avait que 16 ans visiblement, il possédait un visages aux trait froids et méprisant regardant le monde de ces yeux verts sombre comme si il était indigne de lui et de ces hommes alors qu’il avancer lentement aux milieux de cette haie d’honneur que lui faisait ces hommes, son physique tout entier semblait conçu pour intimider l’adversaire que ce soit dans sa tenue sombre aux motif élaboré qui aurait pus rappeler le Haori d’un samurai ou ses cheveux décoloré de façon alterné blanc et noir finissant sur une queue de cheval, il arborer à la fois un look rigoureux mais pourtant parfaitement adapter à son statut de seigneur des voyous…
Face à ceux qui le regarder le jeune homme eu un sourire mauvais crachant le bâton de sucette qu’il arborait toujours qui se planta dans le sol alors qu’il se tourna vers ses adversaire, à cet instant l’atmosphère changea, malgré son jeune âge le jeune homme dégager la même pression qu’un chef Yakuza, oui dans ces yeux se lisait la soif de combat et le besoin d’en découdre tel un prédateur maintenue trop longtemps dans sa cage, lentement il planta la bannière dans le sol avant de pousser un cris de guerre qui fut repris par ces amis raisonnant avec force avant qu’il ne lâche finalement un:

-Charger…

Le combat s’annoncer sanglant...

Histoire
Le démon du Kansai, Le Devha Gardien, Shin Bishamonten des titres, des noms acquis dans une vie en simplement 3 ans de vie sans compromis, une vie qui d’après toi a démarré à ce moment…
Néanmoins regardons donc cette période avant ta “renaissance” …
Né dans un quartier assez beau du nom de Nishikyō-ku appelée aussi le quartier Historique d’Osaka tu est le fils d’une française interprète pour une grosse société et d’un salaryman japonais traditionnel…
Jeune enfant dans une famille moyenne à cause du travail de ses parents il fut surtout élevé par son grand cousin un jeune homme tenant un garage autrefois membre des gang de rue.
élevé par son cousin il a appris à monter et à démonter le moteur d’une moto avant de savoir lire, ainsi sans vrais modèle d’ordre le jeune homme se mis à idolâtrer son grand cousin rêvant du monde “D’honneur, de violence et de conquête” que lui vendre son grand cousin.
À 13 ans il reçut en toute illégalité de son cousin une moto, un chopper américain que son cousin avait récupéré auprès d’un immigrant américain afin qu’il puisse fonder son propre gang.
C’est à cet instant que la légende commença, le jeune homme fonda son propre gang par son charisme et par la violence qu’il manifester, si jusqu’à ces 14 ans il ne s’agit que d’une simple bande d’amis, à 14 ans le jeune homme dominer déja toute la ville D’Osaka et posséder un gang de 25 personnes à ses ordres, à 15 ans un tier du Kansai lui appartenait déjà et son gang avait dépassé les 35 membres et enfin ce fut pour ces 16 ans qu’il devint le légendaire “Shin Bishamonten” d’après le nom du dieux de la guerre après le combat contre les Tokyo Kuro Ryu ou il mis K.O le chef de gang d’un coup de pied d’une rare violence envoyé droit dans la tête de l’adversaire le plaquant dans le sol et lui cassant la mâchoire.
Si il ne fut pas arrêter tout de suite ce fut grâce a une astuce particulière, en effet en stratège Miki finis par lui même dissoudre son gang Officiellement donnant naissance à une foule d'autres gangs plus petit respectant ces valeurs et si ces derniers semblait tous libres et indépendant les supérieurs de ces petits groupes eux était fidèles aux Deva dans l'ombres les rapports étant transmis indirectement à Miki et lui permettant de tenirs biens plsu longtemps qu'il n'aurait dut renforcant son ego et le convainquant qu'un jours le japon tomberait à ses pieds...
Malheureusement le règne du Devha King fut de courte durée, chopper par les flics alors qu’il buvait un bubble tea avec son cousin 2 semaines plus tards il passa en procès et fut jugé coupable et condamné à un an en centre de détention pour mineur qui furent réduit à 6 mois pour bonne conduite lui permettant de sortir assez facilement sans avoir eu le temps de s’attirer d’ennui néanmoins il eu le droit à une mauvaise surprise…
Sa famille morte de honte avait décidé de l'emmener de force en France partant vers ce pays pour vivre chez sa famille maternel à sa plus grande colère…
Ainsi commença sa nouvelle vie d'ennui et d’errance, le jeune homme fut inscrit de force à la fac et commença à sécher recevant de par son cousin les pièces de sa moto une par une pour la reconstruire…
Aujourd'hui c’est le grand jours, Mikki a enfin finis de la reconstruire et il ouvre le Hangar ou il l’a caché, il se fout des super héros, il se fout des akuma ou de toutes ces conneries, non ce que Miki veut c’est tout simplement être libre…

Les Avis du partis politique de Miki "Le Front de Cassage de Figure De Petit Malin" ou FCFPM:

Les Héros: Casseur de couille, faux-jeton qui se drapent d'un "héroïsme" de circonstance pour montrer que leur cœur vaut mieux que le notre ce sont des gens qui jouent les petit malins mais si ils sont utile à la société ils méritent tout de même un peu de respect tant qu'ils ne se foutent pas sur ma route sinon ce sera le traitement habituel...
Avec un tel pouvoir je ne serait pas du genre à changer, protéger ce qui me plais et défoncer le reste sans le moindre remords.

Les Akuma et papillon : Une forme d'honnêteté dirait certains mais ce que je vois c'est des idiots répugnant qui ont besoin d'un autre pour s'exprimer, ils me répugnent et méritent de se faire défoncer comme leur boss, je me fiche d'avoir un pouvoir ou non si j'en vois un mon pied ira droit dans sa gueule sans aucune pitié.
Leurs attaques touchent les gens qui n'ont riens a voir et qui ne les ont même pas prononcer et ca en temps que chef de gang c'est impardonnable.

Paris: Je n'aime pas cette ville, ni ce pays, ils me saoulent et le japon me manque, les habitants sont grossier et n'ont aucun respect même quand on est mieux qu'eux, hier un pickpocket m'a voler mon portefeuille et ont m'a amener au commissariat parce que je lui est défoncer la gueule, franchement je serais plus heureux n'importe ou ailleurs je pense...(avis qui changera au fur et a mesure des rp)

Crédit by Alya Césaire

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Mar 15 Mar - 16:12
Rose-Marie LeblancCommence par faire le nécessaire, puis fait ce qu'il est possible de faire et tu réaliseras l'impossible sans t'en apercevoir.

Hatsune Miku (VOCALOID)
Rose, Marie, son surnom de romancière est Molly Flynn et en super héro cela sera Sheppy (si un jour cela arrive)

22 mars (19 ans)

Féminin

Héros

Étudiante en médecine et romancière

Miraculous : [X] Réservation [ ] Aléatoire

OVVIS

Akumatisation :  [X] Oui  [ ] Non

On t'appelle comment sur la toile ? Sunshine, Octavia, Félix, j'ai plein de petit surnom car j'aide beaucoup les forums dans le besoin. Mais le plus connue est Sunshine et Octavia
Ton p'tit âge ? 30 ans
Comment nous as-tu connu ? Top-Site
Un commentaire ? Déjà, je suis tombé amoureuse de vous, ça, c'est dit. J'adore la série et je vous ai trouvé. (J'ai vu toutes les saisons et les films.) Ensuite, j'ai quelque difficulté en français, car ce n'est pas ma langue maternelle, mais j’essaye de faire au mieux. Pour finir, j'ai craqué sur le Kwami Ovvis, dommage que cela soit un serre-tête, car ce n'est pas facile à trouvé un personnage avec un serre-tête et aussi de le porter tous le temps comme ladybug. Mais je l’adore, il est trop mignon, donc je croise les doigts pour l'obtenir un jour =)

Caractère
Quand on regarde Rose-Marie, on voit tout de suite que c'est une fille facile à vivre, qui aborde toujours un large sourire sur ses lèvres rosées ou rouge selon son humeur. La demoiselle est, certes, très douce, sachant se faire discrète, voir un peu trop. Parfois ont ne la remarque même pas. Très calme, bavarde et amicale. Sous ses airs de bonne fée, il ne faut pas oublier qu'elle ne fait pas partie des héros, donc mademoiselle à deux facettes. Mais aussi parce qu'elle fait partie d'un groupe fermé les romancières célèbres, de ce fait, sa personnalité change en fonction de son univers dans lequel elle est présente. Trois mondes, trois personne, mais toujours Rose-Marie enfin sauf quand elle est en mode héros.

L'une de ses principales facettes est visible quand elle est étudiante ou qu'elle est avec des personnes dites normal. Elle est gentille et possède une grande bonté, elle aide les personnes qui l'entoure. Dans ce cas de figure, elle passe pour une fille simple, un peu naïve qui se laisse faire, mais qui a des limites. Vous pouvez la voir faire les devoirs d'une camarade, mais elle le fait pour donner le change. Se faire passé pour une fille trop naïve, pour cacher sa vraie personnalité, voici l'objectif. Après, il y a cette facette, froide, effacé, courageuse, méfiante et prudente. Cette facette où elle vous snob si vous ne faites pas du bon boulot en tant que héros ou si vous faite partie de son staff, où elle vous rendra la vie dure, où elle ne cessera de vous taper sur le système si vous ne l'écouté pas. Elle déteste quand on ne l'écoute pas, surtout quand elle a raison ou qu'elle souhaite aider avant que la situation ne devienne trop grave.

En réalité le seconde facette, c'est un peu comme un bouclier qu'elle à construit elle même. Quand il y a des méchants qui menace la vie des habitant de Paris ou du monde ou quand elle est entourée de riches qui ne voyant que l'argent, elle doit être comme cela. Mais en réalité, ce n'est pas vraiment elle. Elle est plus douce et plus gentille qu'ont le pense, c'est vraiment qu'un mur cette personnalité, juste pour la protéger des méfaits des gens qui pourrai essayer de l'atteindre pour un seul but, l'argent. Car oui, madame possédé une petite fortune grâce à ses romans à succès.
Physique
Taille : 1m60.
Poids: 52 kg.
Corpulence : normale.
Cheveux : Longs, de couleur bleu clair suite à une teinture, ses cheveux sont blond à la base.
Peau : Pâle qui attrape des coups de soleil rapidement
Yeux : Bleus, mais elle porte des lentilles de contact. De base, ses yeux sont marrons foncé.
Style : Simple et mignon.

Histoire
Rose-Marie est la fille d'un Français et d'une Canadienne. Deux pays qui se sont rencontrés lors d'un procès. Ses parents sont tous les deux avocats, son père travaillé pour l'ambassade et sa mère pour la justice canadienne en tant qu'avocat de la défense. Ils se sont rencontrés lors de nombreux procès et d'affaires, entre deux procès. Et cela à était le coup de foudre, enfin, il n'a pas été fulgurant ce coup de foudre, mais il est venu.

Ils se sont mariés au Canada et je suis née au Canada il y a 19 ans. On vivait heureux et dans une petite maison au bord du lac. C'était le paradis. Mais quand j'ai eu 10 ans, on a dû partir pour s'installer à Paris. J'ai dû quitté tous mes amis et prendre l'avion. Cela a était dur pour moi, mais c'était pour une bonne raison, mon père pouvait devenir juge et ma mère pourrai s'occuper des ressortissant canadien vivant en France. Ils ont un peu échanger leurs rôles en réalité. Donc ont est partie pour la France.

Je n'avais aucun ami en France et dans l'école où j'étais. C'est comme cela que j'ai commençais à écrire des romans. Et un jour, j'en ai posté un sur un site internet de lecture gratuite de roman et j'ai connu un immense succès. C'était un site américain, donc ici en France, je n'étais pas connu, mais aux États-Unis, j'avais fait la une. Et j'ai eu des mails de la part des grandes maisons d'édition américaine. Ma mère à pris en charge les contrats pour mes livres avec mes droits d'auteur et tous. Mais elle et moi ont à mis une condition, pour que je puis vivre normalement mes livres devait rester anonyme enfin cachés mon identité, car j'étais jeune à l'époque. C'est comme cela que je suis devenue Molly Flynn, l'adolescente anonyme romancière à succès. J'ai gagné beaucoup d'argent et un ou deux de mes livres ont était repris pour devenir des série et un film. J'écris des livres fantastiques, féerique dans des univers inventé. Je construis des mondes, des personnages et un tas de choses et j'adore faire cela.

Le temps est passé, j'ai grandi sans vraiment me faire des amis. Comme mon père à décider de se lancer dans la politique, je suis devenu rapidement la fille du procureur, car oui, il a eu des promotions mon père, enfin une devenir procureur était son rêve et il y était parvenu ont à tous était fière de lui. Être procureur pour lui, c'est une étape avant de devenir ministre. Donc, je n'ai pas eu beaucoup d'amis encore une fois. Puis j'ai vu aux informations quelque chose qui m'a fasciné, Ladybug et Chat Noir ainsi que les autres héros qui affronter le papillon noir. J'étais admiratif et je voulais faire quelque chose qui aide les gens en plus de mes livres.

Tous en suivant leurs aventures, je suis rentré à l'université en médecine. Je voulais soigner les gens, les enfants, tout le monde. Je voulais travailler dans les urgences pour soigner les petits et gros bobos. Ont ma dit que les urgences était dur, mais quand on veut vraiment, on peut. Je veux vraiment aider le plus de monde autour de moi. Un peu comme les héros que je suivais à la télévision dans les informations, je suis une grande fan de chat noir. Je l'ai même en fond d'écran sur mon pc et mon portable. Je l'adore et j'adore le voir à la télévision. Enfin, je dois être comme toutes les fans des héros.

Donc me voici, Rose-Marie Leblanc, étudiante en médecine en première année rêvant de rentrer en urgence pour soigner ceux qui en ont besoin ou qui sont blessé suite aux actions des héros et des vilains. Je veux les protéger à ma manière, car je n'ai pas d'utilité en tant que civils. Mais j'admire les héros qui nous protège.

Crédit by Alya Césaire

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Mar 15 Mar - 16:16
Théoxane de Salois"La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil"

Ciri de The Witcher
Théo (bien que sa mère déteste ce surnom) ou Mademoiselle

24 août 2002 (19 ans)

Féminin

Civile

Officiellement égérie pour la marque "Agreste" (côté parfum féminins), officieusement étudiante en licence de musicologie

Miraculous : [ ] Réservation [X] Aléatoire

Si j'en trouve un je prends, sinon pas particulièrement.

Akumatisation : [X] Oui  [ ] Non

On t'appelle comment sur la toile ? Chrisedge
Ton p'tit âge ? 24 ans
Comment nous as-tu connu ? Héhé
Un commentaire ? Yé souis Danitza et Hélène ~

Caractère
Mademoiselle est… compliquée. Pour être franche, elle joue un double jeu. Je suis sa nourrice et sa plus grande confidente alors je connais ces petites choses… Cette enfant a toujours été adorable avec le personnel de maison ; elle nous a toujours traité avec respect contrairement à sa jumelle qui se comporte comme une vraie petite peste ! On dirait que Théoxane ne fait pas partie de cette famille tellement qu'elle dénote du paysage… En public, avec les autres membres de la haute, elle se comporte comme une petite bourgeoise ; elle est hautaine, cassante et est capable de piquer une vraie crise si l'on tâche sa robe ! Pourtant, dès que vous regardez ailleurs… Elle vient s'excuser de vous avoir aussi mal parlé et s'occupe de nettoyer elle-même ses vêtements. Elle m'a toujours dis que ses parents n'étaient pas prêts à accepter une personnalité aussi simple car il n'étaient pas des gueux.
Mademoiselle a toujours été une personne douce, aimante, compréhensive et patiente. Depuis qu'elle est née, elle s'est toujours montrée curieuse concernant tous les sujets ; ses parents tenaient à ce qu'elle ait une bonne éducation alors elle serait capable de reconnaître n'importe quelle œuvre d'art et n'importe quelle œuvre musicale. Elle a également appris à joué du piano et de la harpe mais elle m'a apprise récemment qu'elle préférait la guitare ou chanter… Sa mère la tuerait si elle venait à apprendre une telle absurdité ! Elle danse également : du classique, du modern jazz et du contemporain. Elle fait beaucoup de sport pour maintenir sa ligne et ses relations avec les autres personnes de la haute : équitation, du polo, de l'escrime et de l'aviron.
Les amours de Mademoiselle... Voilà un sujet bien houleux ! Ses parents ont décidé, bien avant sa naissance, qu'elle devra se marier avec le fils des Agreste, ce Adrien... Mais ce que Mademoiselle n'a jamais dis, c'est qu'elle préfère la compagnie des femmes. Néanmoins et encore une fois, elle m'a fait promettre de ne jamais rien dire à sa famille qui serait capable de la mettre à la porte ! La pauvre enfant vit continuellement dans la peur d'être découverte. Elle cache son caractère d'ange à sa famille et doit se comporter comme un démon  lorsqu'elle croise un ami qui n'est pas de son rang ; évidemment, cela lui attire quelques ennuis, personne ne comprend pourquoi elle devient soudainement méchante !
Si Mademoiselle est gentille avec les humains, c'est un véritable ange avec les animaux... Cette petite a le cœur sur la main ! Un jour, elle m'a ramenée une portée de chatons qui avaient été abandonnés par leur mère, depuis ce jour, elle s'en occupe tous les jours. Sa mère ne supporte pas qu'elle s'approche des animaux, au risque de lui déclencher des crises d'asthme mais Mademoiselle sait se montrer têtue pour aider les autres êtres de cette Terre !
Quant aux événements qui se déroulent depuis une année en ville... hum... Je dirais que Mademoiselle ne se rend pas réellement compte de ce qu'il se passe. Ses parents ne lui parlent jamais des attaques de Papillon et préfèrent zapper la télévision lorsqu'une telle chose arrive ; ils se croient intouchables dû à leur rang mais je crois que cette enfant se sent inquiète et inutile face à tous ces événements.
Avec tout ça, j'espère sincèrement que Mademoiselle trouvera une amie ou un proche à qui elle pourra sincèrement se confier sur ce qu'elle ressent au quotidien ; je sais que je suis une bonne oreille mais je ne suis pas de son âge ! Je voudrais qu'elle ait des amis sincères et qu'elle arrête de fréquenter les personnes ayant de mauvaises influences sur elle.
Physique
Mademoiselle n'est pas très grande, elle doit être à peu près grande comme ça (environ 1m65) mais elle met souvent des talons afin d'arriver au mètre 70 ou 75 parfois. Elle suit un régime strict alors elle est svelte, il n'y a pas un gramme de trop ni un gramme de moins ; Mademoiselle a des formes généreuses pour son âge et dieu sait qu'elle attire l'œil des garçons. Bien qu'elle n'ait pas beaucoup de poitrines due à ses années à pratiquer la danse.
Elle possède de longs cheveux blancs, une décoloration de naissance et pourtant, les médecins avaient assuré qu'elle retrouverait un peu de couleur au fil des années ! Ses parents l'ont souvent caché avec des teintures mais quand elle a été en âge de réagir, Mademoiselle a assumé ses cheveux blancs. Ses yeux sont naturellement verts mais elle a décidé de porter des lentilles de contact de couleur jaune pour changer d'identité lorsqu'elle va à la fac.
Son beau visage est fin et souvent maquillé par les demoiselles de maison lorsqu'une réception est prévue, sinon, elle se contente de porter un peu de mascara et de rouge à lèvres. On remarque tout de suite que Mademoiselle a la peau très blanche ; en vérité, cette enfant ne sort pas beaucoup et manque cruellement de soleil. Elle ne sortait pas beaucoup petite et je crois que c'est trop tard maintenant pour retrouver un peu de couleur ! Elle est sensible au soleil et rougis rapidement, elle ne bronze jamais mais devient écrevisse comme elle aime le dire.
Quand à ton style vestimentaire… Mademoiselle porte des vêtements de la marque Agreste mais je l'ai déjà surprise porter des vêtements plus… simples dira-t-ton. Elle m'a, un jour, confiée préférer un jean simple qu'une robe de soirée mais elle m'a fait promettre de garder le secret ! Elle porte souvent des talons pour paraître plus grande mais elle s'empresse de les troquer contre ses chaussons ou ses baskets lorsque sa famille n'est plus sur son dos.

Histoire
Comme je vous le disais plus tôt, Mademoiselle n'est pas toute seule. Aînée d'une dizaine de minutes, elle a une petite sœur répondant au nom de Marie-Alice, Raphaëlle de Salois ; et contrairement à ce que l'on pourrait penser des jumelles… Celles-ci n'ont jamais été proches. En effet, Théoxane est née malade contrairement à sa sœur, alors ses parents l'ont rapidement délaissée ; sans vouloir me vanter, j'ai été une meilleure mère pour cette demoiselle. Ce n'est pas pour rien que j'ai tout le temps des cadeaux à la fête des mères ! Mais le sujet n'est pas là. Alors que sa jumelle est née brune, Mademoiselle est née avec les cheveux blancs… Une carence en je-ne-sais-quoi qui devait s'améliorer avec le temps mais qui est encore présente aujourd'hui. Les jumelles ont un frère de 7 ans leur aîné.

En plus de ce petit soucis physique, Mademoiselle est asthmatique. Je lui interdis de se balader sans son inhalateur ! Pauvre enfant, que se passerait-il si elle venait à faire une crise en pleine rue ? Ces crises se sont déclenchées lorsqu'elle avait 5 ans et ses parents se sont davantage désintéressées d'elle ; la trouvant trop faible. Mais je me suis bien occupée d'elle ! Mademoiselle n'a jamais été dans une école, elle faisait les cours à la maison et était très douée, notamment dans le domaine des arts. Ses parents ont insisté pour qu'elle fasse de la musique très jeune, tout comme Marie-Alice mais Mademoiselle était clairement la meilleure des deux ! Ce qui a toujours rendu Marie-Alice jalouse si vous voulez mon avis...

Les parents de Mademoiselle sont très connus. Son père est un juge renommé, ayant travaillé sur de grandes affaires médiatisées tandis que sa mère est une actrice ayant joué dans plusieurs pays et ayant remporté beaucoup de récompenses ! Et puis, Monsieur de Salois descend du Roi Soleil, Louis XIV, et il est très fier de ses racines. Son nom est présent dans chaque soirée mondaine et elle a presque grandis avec les Agreste, les Bourgeois ou les Tsurugi. Elle s'est contentée de copier le caractère de sa sœur qui était plus intégrée : c'est-à-dire faire des caprices pour demander quelque chose ou parler comme du poisson pourri aux employés lorsqu'ils ne faisaient pas correctement leur travail !

J'ai vu Mademoiselle grandir mais surtout s'affirmer au fil des années. C'est à 14 ans que je vis le premier vrai et gros caprice de Théoxane : elle voulait assumer fièrement sa couleur de cheveux et refusait les teintures qu'elle devait faire chaque semaine ! Je l'ai encouragée pendant des jours et des jours afin qu'elle ne laisse pas tomber cette idée et affirmation et vous savez… Mademoiselle est sortie gagnante de ce combat ! Il lui ait arrivé de regretter lorsque ses parents l'ont ignorés mais aujourd'hui, elle dit que c'est la meilleure décision de sa vie.

C'est à 16 ans que Mademoiselle est venue me demander de lui acheter une guitare, m'expliquant qu'elle avait entendu quelqu'un en jouer lorsqu'elle avait été faire un tour en ville. Elle trouvait le son de cet instrument harmonieux et voulait absolument apprendre à un jouer ! Ni une ni deux, j'avais foncé au magasin pour dépenser toutes mes économies dedans. Elle a été obligée de se débrouiller pour apprendre seule grâce à des tutos sur internet et quelques livres que je lui ai acheté mais sachez qu'elle s'en sort vraiment bien ! Elle m'a déjà fait écouter quelques morceaux et je suis réellement fan de sa manière de jouer et sa voix... oh quelle voix ! Cette enfant est faite pour la musique.

A 17 ans, j'ai surpris Mademoiselle embrasser une de ses camarades d'équitation ! Je ne sais pas laquelle des deux étaient la plus surprises mais cela fit rapidement place à de la fierté : Mademoiselle semblait avoir trouvé l'amour et cette amie était une adorable demoiselle, elles avaient l'air si heureuse ! Néanmoins, elle m'avait fait promettre de ne jamais révéler ceci à ses parents… Ils s'empresseraient de la déshériter et de la mettre à la porte de la maison, la traînant même dans la boue. Evidemment, je m'étais engagée à garder le secret pour elle, pour ma petite Théoxane.

Mais le plus fou que Mademoiselle m'ait fait est cette décision d'entrer à la faculté ! Evidemment, c'était encore un secret que je devais garder car ses parents n'auraient pas appréciés qu'elle fréquente la plèbe comme ils aimaient le dire. Elle ne voulait pas être reconnue par ses camarades, c'est pour cela qu'elle changeait physiquement. Elle prenait soin d'avoir une tête différente en commençant par changer la couleur de ses yeux (ce n'était pas naturel mais ça l'amusait !) et ne portait jamais de vêtements de marque pour être intégrée parmi les autres élèves. Elle laissait ses cheveux tantôt détachés, tantôt attachés et parfois même en pétards ! Et puis, elle avait également l'espoir que ses camarades de classe ne s'intéresse pas à la mode !

Elle a un emploi du temps qui est organisé par ses parents ; ainsi, elle doit jongler entre ses activités sportives, son éducation dans les arts et les soirées où elle doit se préparer. Néanmoins, depuis qu'elle est entrée à la fac, Mademoiselle a mis de côté certaines activités pour pouvoir assister aux cours à la faculté... Malheureusement, elle doit également louper quelques cours pour assister à ses activités afin que ses professeurs n'alertent pas ses parents. Elle rattrape donc ce retard tard le soir ou pendant ses heures de pause.

Il s'agit de la première année où Mademoiselle sera en compagnie d'autres personnes en classe ! Je crains que ses manières et sa façon de parler dénote aux autres étudiants et je sais qu'elle fait des efforts pour paraître "d'jeun's" comme elle dit mais je crains qu'elle ne soit déjà considérée comme bizarre ! Mademoiselle a déjà réussi à se faire quelques amis mais ils ignorent son rang et tout ce qu'il y a autour... J'espère qu'elle pourra se confier à l'un d'eux et qu'ils seront compréhensifs.

Je ne sais pas combien de temps Mademoiselle sera capable de mener cette double vie ; elle continue d'aller aux soirées chics où sa présence est requise. Elle continue de fréquente les enfants Bourgeois et Agreste, avec qui elle semblait réellement bien s'entendre pour ce dernier… Il est vrai que ce garçon est également adorable avec les autres personnes, contrairement à cette Chloé. La maman de Théoxane ne cesse de lancer des sous-entend aux enfants concernant leur futur mariage mais je n'ai pas l'impression que l'un ou l'autre ne soit favorable à cette union.

Crédit by Alya Césaire

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Mar 15 Mar - 16:19
Théa RolzLes flammes ont léché mon corps au même titre que la vengeance vous consumera

Erza de FairyTail
17/08/2001 | 21 ans

Féminin

Vilains

Étudiante en psychologie

Miraculous : [ ] Réservation [X] Aléatoire

Aukk ; Surri ; Sciuss

Akumatisation : [X] Oui  [ ] Non

On t'appelle comment sur la toile ? Aihle
Ton p'tit âge ?19 ans (2002)
Comment nous as-tu connu ? Par une amie qui est tombée sur le forum et me l'a partagé, car elle sait que j'adore Miraculous ^^
Un commentaire ? Merci de votre accueil, je vous adore déjà <3

Caractère
-Rancunière -haine contre les héros de Paris-
-Très observatrice
-Joue un double jeu
-Réservée
-Aimable
-Fort caractère, mais essayer de maîtriser au mieux ses émotion
-Loyale -envers Papillon-
-Très tourmentée
-Tendance à l'anorexie
-Insomniaque
-À l'écoute
-Ne supporte pas les moqueries
Physique
Théa est une jeune femme qui pourrait sembler ordinaire. Elle a une peau claire, ne mesure que 1m64, elle est maigre, même trop de par sa tendance à l’anorexie. Ses yeux sont d’un marron si foncé qu’on ne distingue à peine sa pupille, mais elle s'amuse parfois à mette des lentilles de couleurs.
Ses cheveux lui arrivent en bas du dos et sont souvent attachés en queue de cheval haute. Ils sont d’une couleur rouge vif.
Son visage arbore des traits fins, des joues creuses par son anorexie.
Le côté droit du visage de Théa est brûlé depuis une petite partie de son front jusqu'à descendre dans son cou qu'elle cache par ses cheveux. La brûlure au troisième degré qu’elle a subit court le long de son bras.
Elle porte un tatouage sur son flanc droit, au niveau de ses côtés. Celui-ci représente un ange aux ailes déployées avec écrit sur 3 plumes différentes le prénom de ses parents -Aurélie et Adel- et de son petit-frère -Malo- décédés.
Théa porte généralement des habits noirs à manches longues pour cacher ses brûlures. Elle ne se sépare jamais de sa veste en cuir. Elle porte des Doc’s Martens noirs mats à huit trous.

Histoire
Théa est née dans une famille aimante, elle était très proche de son petit-frère Malo avec qui elle n’avait que 5 ans d’écart. Elle s’entendait également très bien avec ses parents, Aurélie et Adel. Théa avait toujours été une petite fille joyeuse, elle était le rayon de soleil de la famille Rolz.
Sa mère, Aurélie, était hôtesse d’accueil et son père, Adel, travaillait dans une banque. Ils ne croulaient pas sur l’or, mais vivaient convenablement et avec bonheur.
Un samedi, alors que la famille partait pour un parc d’attractions il y a 3 ans de cela, un terrible accident a eu lieu. Un chauffeur, qui s’était endormi au volant de son tracteur, a dévié de sa voie et est rentré en collision avec la voiture où Théa et sa famille se trouvaient. La voiture a fait de nombreux tonneaux avant d’arrêter sa course plusieurs mètres plus loin les quatre roues en l’air. Aurélie et Adel furent tués sur le coup. Malo succomba à ses nombreuses blessures lentement et dans la souffrance sous les yeux de sa sœur, qui en état de choc, n’a pas pu intervenir pour l’aider.
Théa est sortie de sa torpeur quand les flammes ont commencé à lécher sa main gauche puis son bras. Elle hurlait, appelait à l’aide, essayait de se libérer de sa ceinture restée coincée, mais les flammes eurent raison d’elle et consumèrent une partie de son visage. Elle s’évanouit avec la certitude qu’elle allait mourir.
Aujourd’hui, Théa a 21 ans. Elle est passée par une très longue convalescence et a subi de nombreuses opérations, mais les séquelles sont bel et bien présentes que soient physique, mentale ou psychologique.
Théa vit avec son oncle et sa tante -David et Marie-Louise-. Ils viennent de déménager en région parisienne sous l’insistance de Théa. Depuis qu’elle a appris que des héros aux pouvoirs magiques déambulaient dans les rues de Paris pour sauver les citoyens des akumatisations du Papillon, une haine profonde a commencé à se former en elle.  
Pourquoi les héros ne sont-ils pas venus les sauver, elle et sa famille ? Pourquoi ont-ils dû mourir ? Théa se pose sans cesse ses questions en rejetant la faute sur ses soi-disant héros. Quand bien même, ils n’existaient pas encore lors du tragique accident, pour Théa ça ne fait aucune différence, elle les considère pour responsable et fera tout ce qui est en son pouvoir pour les détruire jusqu’au dernier.
Son intention première en venant vivre sur Paris est de se rapprocher desdits héros pour collecter le maximum d’informations afin de les donner à Papillon. Pour ça, Théa peut compter sur son grand sens de l’observation, sa passion pour l’écriture et le journalisme.
À côté de cette haine et cette souffrance qui la rongent de l’intérieur, Théa est étudiante en psychologie.
À la mort de sa famille et aux nombreuses épreuves qu’elle a dû traverser : dépression, anorexie, cauchemars… Elle s’est prise d’affection pour la psychologie et les personnes aux personnalités parfois multiples. Théa dévore de nombreux livres qui portent sur cette thématique. Elle espère un jour pouvoir venir en aide à toutes ses personnes qui semblent bien trop souvent rejetées de la société.
Dans son temps libre, Théa écrit des histoires en tout genre, elle se passionne pour les enquêtes policières et le journalisme.

Crédit by Alya Césaire

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Mar 15 Mar - 16:23
Victoria DurandMaybe I'm a princess, but treat me like a queen

Rin Tohsaka (Fate/stay night)
Vic, Vicky, "princesse"

Vic, Vicky, "princesse"

5 février 2000 (22 ans)

Féminin

Civile

Étudiante en médecine

Akumatisation : [ ] Oui  [X] Non

On t'appelle comment sur la toile ? Titi ou la chiante, ça dépend What a Face
Ton p'tit âge ? 23 ans
Comment nous as-tu connu ? Partenariat
Un commentaire ? J'exige encore plus de cookie ! (et je voudrais aussi de l'amour svp  Embarassed )

Caractère
Victoria, c'est le genre de jeune femme que l'on préfère observer de loin plutôt que de se risquer à se prendre un courant d'air violent en pleine face. Décrite comme une véritable beauté froide par les Parisiens (et bien d'autres), la jeune Durand n'est pas quelqu'un de particulièrement sociable ou même avenante de prime abord ! Elle ne bavarde pas plus que nécessaire, regarde la plupart des gens de haut, semble vite lassée de la pluie et du bon temps, et lui décrocher un sourire - plus particulièrement un sincère - n'est pas chose aisée. Pourtant, son éducation, son instinct et son sens de l'observation - et de l'écoute - la rendent redoutable dans ses échanges avec autrui ! Elle est une habituée des faux-semblants - repérant plus ou moins rapidement les intentions des autres - et maîtrise très bien son langage oral comme corporel.

Jeune femme déterminée, travailleuse,  intelligente et talentueuse, habile de ses mains et dotée d'une excellente mémoire, Victoria se veut indépendante et autonome.
Car elle veut toujours prouver à sa mère qu'elle mérite autant d'éloges que sa sœur...
Car elle est lassée d'être sans cesse comparée à sa sœur et à son frère...
Car elle veut prouver qu'elle n'est pas juste une belle poupée faite pour le régal des yeux...
Car elle ne veut pas devenir un trophée au bras d'un homme, qui devra juste se taire et être belle...
Victoria crée sa route, son monde depuis qu'elle est toute petite, encouragée par l'admiration qu'elle suscite chez les autres. Un vrai cercle vicieux : on nourrit son ego, elle est fière, se perfectionne, se donne à fond. Et en conséquences, on la complimente et nourrit à nouveau son ego et c'est reparti. Au final, ne doit-elle pas sa prétention aux autres ? À tous ces gens qui l'entourent ?

Ce besoin constant de prouver sa valeur combiné au monde dans lequel elle a grandi font d'elle une personne relativement superficielle. On la dit ambitieuse, attentive aux apparences, tournée vers elle-même et ses études, égoïste, capricieuse, caractérielle, polie, ... Mais tout cela est un savant mélange de ce qu'on attend d'elle et de ce qui lui permet de se protéger. Si elle est entourée de faire-valoirs et qu'elle peut aussi bien mettre le doigt sur ce qui fait mal - ou tout le contraire - c'est justement parce que c'est une personne très attentive aux autres et empathique ! Aussi cliché que cela puisse être, Victoria cache une grande sensibilité sous sa carapace de glace ! Ainsi, cette fille franche à la langue de vipère - lorsqu'elle s'y met - se révèle être une fille douce, attentionnée, généreuse, protectrice, tactile et taquine envers ses rares proches, se montrant dynamique et plus bavarde. Au final, elle veut juste être appréciée à sa juste valeur, telle qu'elle est réellement, faire ce qu'elle aime et vivre sa vie avec celui qui parviendra à lui voler son cœur. Mais on lui a toujours appris à ne pas montrer ses faiblesses, à ne pas se lier avec n'importe qui, à ne pas faire honte à sa famille... Alors elle a du mal à s'exprimer et à montrer clairement ce qu'elle ressent une fois qu'on touche à son intimité. Au final, qui la connaît réellement, elle et ses goûts ? Elle est si entourée et pourtant si seule...
Physique
Qu'elle est belle, Victoria ! Ce n'est pas pour rien qu'elle a enchaîné les premières places à tous ses concours de beauté lorsqu'elle était plus jeune. Mesurant 1m63 pour 56 kg, la jeune femme possède un corps fin et élancé dont les formes restent dans la moyenne. C'est qu'elle prend bien soin de son corps, Victoria, souhaitant conserver une parfaite harmonie au niveau de sa silhouette. Elle refuse de consommer des graisses et des sucres inutiles mais ne souhaite pas non plus ressembler à un squelette. D'ailleurs, ça saute aux yeux que mademoiselle est fière de son apparence ; elle sait se mettre en valeur, n'hésitant pas à porter des hauts près du corps, à l'opposé de ses bas qui sont généralement plus larges. Pas qu'elle ait honte de ses hanches - au contraire -  mais elle se sent bien plus à l'aise dans des robes et des jupes que dans des pantalons qu'elle ne porte qu'occasionnellement. Féminine jusqu'au bout de ses ongles bien limés, Victoria prend également grand soin de sa peau. Si elle est aussi lisse et douce, sans imperfections, c'est bien parce qu'elle lui évite tout produit pouvant l'abîmer. Eh oui, la miss est en réalité très naturelle lorsqu'il s'agit de son physique, surtout depuis qu'elle a arrêté les concours de beauté. Le maquillage la dérange fortement désormais ! Et puis elle n'a pas à se plaindre : les traits de son visage sont fins et harmonieux et elle a la chance d'avoir de grands cils qui mettent en valeur ses grands yeux bleus. Ajoutez à tout cela de longs cheveux noirs de jais, légèrement ondulés - et si doux qu'on pourrait passer des heures à passer ses doigts dedans et jouer avec - et vous comprendrez ce qui la rend si attirante. C'est une véritable beauté froide dont le sourire - qui montre rarement sa parfaite dentition - en a séduit plus d'un. Aussi, Victoria aime porter des bijoux, certes discrets mais ça reste un détail qui peut s'avérer notable... Tout comme son parfum qui la caractérise tant : frais, vanillé, sucré. À bon entendeur ...

Histoire
Paris. Dans l'un de ses plus beaux quartiers se trouve ce grand manoir où vit l'une des familles les plus influentes de la ville, des bourgeois dont la réputation n'est plus à faire. Et pour cause ; le père de famille est le PDG d'une grande entreprise de nouvelles technologies qui prospère depuis plus d'une génération, tandis que la mère est une ancienne chirurgienne neurologue qui a fait des merveilles. Mais au-delà de ce couple qui suscite l'intérêt du peuple se trouvent également leurs progénitures, qui contribuent grandement à la fierté familiale ; Étienne, Emma, Victoria, Mahault et Charline.

C'est la petite troisième qui nous intéresse aujourd'hui.

Née au sein de cette grande famille - dans tous les sens du terme - Victoria est et a toujours été une enfant pourrie-gâtée. Jamais elle n'a manqué de quoique ce soit, comme le reste de sa fratrie, notamment de la part de sa mère qui l'a toujours traitée comme une véritable poupée. Celle-ci l'a en effet pas mal choyée en plus de la montrer à la moindre occasion, notamment dans des concours de beauté où Victoria reportait toujours la première place ! Une activité qui lui a longtemps plu, car c'était un lien entre elle et sa mère, un moyen d'avoir un semblant d'éloges. Car si la jeune fille a reçu toute l'affection que sa mère pouvait lui donner, celle-ci se tournait toujours vers sa fille aînée, Emma. Tout Le monde se tournait vers elle, vers Étienne aussi, si bien que la demoiselle a finit par se sentir inférieure à ses deux aînés. Comme si elle n'était qu'une œuvre d'art exposée dans un musée. Un sentiment qui s'est renforcé lorsqu'elle a entendu un homme, lors d'une réception, déclarer qu'elle serait parfaite pour épouser son fils car "magnifique".

Elle était pourtant bien plus que ça, Victoria.

Décrite par certains comme étant la plus intelligente de sa famille, la jeune fille finissait toujours première de classe et ce chaque année de sa scolarité.
Tout comme ses frères et ses sœurs, elle a reçu une éducation relativement stricte, devant honorer les valeurs familiales qu'on lui avait inculquées dès son plus jeune âge. Ainsi était-elle une enfant polie, capable d'échanger avec la société mondaine sans grandes difficultés.
Alors pourquoi n'était-elle pas reconnue pour tous ces petits détails, elle-aussi ?
De ce fait, si elle a fini par admirer son grand-frère, elle a aussi commencé à ne plus supporter sa sœur qui le lui a bien rendu.

La française s'est, au fil des années, peu à peu refermée sur elle-même, abandonnant son statut de petite poupée rieuse et souriante pour devenir la beauté froide qu'elle est aujourd'hui. Solitaire, elle l'est devenue malgré ses nombreux camarades - et autres rencontres - qui n'ont cessé de tourner autour d'elle. Pour obtenir quelque chose. Pour tenter de se mettre en valeur. Pour se vanter de la connaître. Pour avoir de l'aide en cours... Quelles vaines et pathétiques tentatives aux yeux de cette fille habituée à l'hypocrisie de la société mondaine ! Mais si ça leurs faisait plaisir... Autant en profiter pour nourrir son ego, noyée sous les compliments.

Aujourd'hui, Victoria est devenue étudiante en médecine, désirant suivre en grande partie les traces de sa mère sans pour autant s'être décidée sur le type de chirurgie qu'elle souhaite exercer plus tard. Elle semble également n'en avoir rien à faire des ces histoires de super-héros et de vilains. Enfin, de prime abord... La  réalité n'est pas qu'elle s'en moque entièrement : c'est l'impact de leurs agissements sur des personnes innocentes qui n'ont rien demandé à personne qui la préoccupent... Ainsi, si elle évite de se mêler de leurs histoires à l'heure actuelle, allant même jusqu'à hausser lorsque le sujet est abordé, elle serait sans doute prête à faire ce qu'elle peut avec ce qu'elle a selon les circonstances.
Un héro perd son arme ? Autant la lui lancer.
Un civil est blessé ? Quel lâcheté de l'abandonner au milieu d'une zone de conflit.
Un vilain finit en chute libre ? Bon elle ne peut rien faire mais vous avez compris...

Les p'tits plus
Pratique l'équitation depuis plusieurs années et a du niveau. Elle possède d'ailleurs son propre cheval • Parle très bien l'anglais • Fait du footing au moins 2x par semaine • Rafolle de la cannelle. C'est son parfum préféré • Tient toujours ses promesses • Possessive et loyale vis-à-vis de ses rares proches • Team chats • Team thé • Sait très bien dessiner, mais personne ne le sait  (c'est son activité préférée quand elle s'ennuie depuis qu'elle va à l'école ) • N'aime pas qu'on lui parle trop dès son réveil • N'est pas vraiment matinale surtout le dimanche • Passionnée par le ciel, ses couleurs, les orages, ... • Mange peu de viande, en particulier la rouge • Même si c'est une tradition familiale, elle n'aime pas la chasse • Aime les animaux • Froide mais pas plus méchante que d'autres - contrairement à ce qu'on pourrait croire - elle ne supporte pas les méchancetés qui sont clairement là pour blesser, rabaisser voir détruire quelqu'un • Paradoxalement, peut être méchante si elle doit l'être • Voudrait faire de la self-défense • Vous vous doutez bien qu'il lui arrive de "payer" tous ses efforts (études + loisirs + apprentissage, etc). Eh oui, même si elle ne le montre pas, reçevant de nombreux "comment tu fais ?!", elle n'est pas une machine !

Crédit by Alya Césaire

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Multi-compte : Papillon

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Mar 15 Mar - 16:27
Zoé LeeThe world is a stage, and the stage is a world of entertainment

Zoé Lee, Miraculous
Rien pour l'instant sauf si on compte les cinquante noms différents par lesquelles l'appelle sa mère

15 mai (20 ans)

Féminin

Héros

Actrice

Miraculous : [ ] Réservation [X] Aléatoire

Petite préférence pour Roarr, Froggy ou Pollen (si Chloé est ok vu qu'elle l'a demandé avant moi), mais n'importe lequel me va ^-^

Akumatisation : [X] Oui  [ ] Non

On t'appelle comment sur la toile ? Martel
Ton p'tit âge ? 26 ans
Comment nous as-tu connu ? J'ai fait une demande de partenariat, dit que je ne craquerai pas... et craqué. Du coup bonjour xD
Un commentaire ? Je suis très nulle en description physique, ce "ou sous forme de tirets" a refait ma soirée, je vous aime.
Aussi, je pose ça là parce que voilà, mais j'ai un TDA donc il est possible (entre autres choses diverses et variées) que j'oublie parfois de répondre à certains messages et que je m'en rende pas compte (parce que je suis persuadée de l'avoir fait), alors n'hésitez pas à me re-poke si vous m'envoyez un MP et que je vous ai pas répondu au bout de 2-3 jours ^-^

Caractère
Zoé paraît être quelqu'un de difficile à cerner. Après tout, qui peut prétendre vraiment la connaître ? Pour certains, elle est la seconde peste de son pensionnat New-yorkais, pour d'autre la petite ombre silencieuse qui ne dérange personne, le papillon qui vole d'une interaction à l'autre, l'actrice prête à écraser les autres pour se faire un nom, la midinette doucereuse qui bat des cils, bref, Zoé ne paraît pas simple à comprendre. Pourtant, elle n'est aucune de ces choses-là, quand on parvient à s'attirer sa confiance.

Depuis son enfance, surtout à cause de sa mère mais pas uniquement, Zoé vit dans la peur constante du rejet des autres et celle de ne pas être suffisamment bien au naturel pour qu'ils l'acceptent. Pour s'intégrer, quand elle était adolescente, elle a joué des rôles, profitant de son talent inné pour la comédie pour s'associer à ceux qui lui donnaient le plus de chances de vivre sans problèmes, loin des brimades et des moqueries. Elle avait perdu un peu cette habitude au lycée mais depuis qu'elle s'est embrigadée dans l'univers du cinéma, elle a tendance à y replonger malgré elle, et même si ça la fait souffrir.

C'est une jeune femme douce et gentille qui privilégie le bien-être des autres par rapport à à peu près tout. Elle veut autant que possible faire le bien autour d'elle, et se sent terriblement mal dès qu'elle blesse quelqu'un, que ce soit par accident ou en jouant un rôle. Pourtant, elle n'arrive toujours pas à être entièrement elle-même. Arrivée à Paris récemment, elle espère de tout cœur que la "nouvelle Chloé" dont parlent certains parviendra à l'aider à s'affirmer. Elle a cependant peur, au fond, que sa sœur soit comme leur mère, odieuse et prétentieuse.

Zoé est une romantique qui s'ignore. Alors qu'elle n'existerait pas sans ça, elle considère quand même que la tromperie qu'a commise sa mère avec son père était un acte d'une bassesse qu'elle ne parvient ni à digérer, ni à tolérer - elle a bien trop conscience que cette action seule a pu blesser autant son beau-père, le maire de Paris, que sa demi-sœur. De manière générale, elle considère les relations amoureuses de sa mère comme le point de non-retour à ne jamais atteindre. Devenir comme elle, froide et autoritaire, fait partie des choses qui l'effraient le plus, d'autant qu'elle n'a jamais eu de relation amoureuse parce que, au fond, elle craint de ne pas être capable d'aimer quelqu'un de cette manière. Sa famille ne l'a pas trop laissée penser que c'était possible. Pourtant elle aime les choses simples, les sorties au cinéma évidemment mais aussi les après-midis dans un parc, les soirée installés au bord de l'eau, observer les étoiles depuis le toit d'un immeuble, les fleurs, les chocolat, bref tous les trucs parfois un peu clichés qu'on voit dans les comédies romantiques.

Zoé est une grande passionnée de cinéma, du côté acteur bien évidemment mais aussi sur tout ce qui se passe derrière la caméra. Travail de maquillage, de réalisation, de cadrage, de scénarisation, elle aime être au plus près de tout et a fait quelques études dans le domaine avant de décrocher son premier rôle dans une série pour adolescent quand elle avait dix-neuf ans. Son personnage a depuis disparu de la série suite à un désaccord avec de nombreux membres du tournage, mais elle a trouvé un nouveau rôle ici, à Paris, qu'elle compte bien essayer de garder le plus longtemps possible, quitte à changer d'attitude pour plaire au réalisateur.

Gourmande invétérée, la jeune fille est une adepte des boulangeries françaises, que ce soient pour leur pâtisseries ou leur viennoiseries, qu'elle doit lutter pour ne pas dévaliser. Heureusement pour elle, ou pour sa carrière si l'on peut dire, elle a hérité d'un métabolisme rapide qui l'empêche de grossir énormément - à vrai dire, elle fait partie de cette catégorie de personnes qui peut maigrir à une vitesse affolante si elle diminue ses doses de nourriture, et qui ne prend pas un gramme quand bien même elle se trouve parfois trop maigre. Il lui est déjà arrivé de perdre presque une dizaine de kilos parce que son pensionnat avait confisqué ses friandises et ses sucreries, action qu'ils n'ont pas renouvelée par la suite en voyant l'état dans lequel elle se trouvait. Il est donc rare de la voir sans, au minimum, une boisson sucrée à la main.

Elle pourrait être terriblement manipulatrice si elle était malveillante. Heureusement, du moins jusqu'à aujourd'hui, elle n'a encore usé de ses facultés de persuasion que pour aider quelqu'un à se sentir mieux, ou pour être elle-même acceptée, et jamais pour obtenir quelque chose. Et même si cela semble étrange venant d'une fille aussi douée pour cacher son identité, elle est aussi facilement influençable et manipulable, surtout dès qu'on s'attaque à ses faiblesses et ses angoisses. Elle a tendance à un peu trop croire à la gentillesse des autres, et il faut vraiment lui prouver souvent le contraire pour qu'elle change d'avis.
Physique
Yeux : Bleu clair
Cheveux : Blonds, aux épaules devant, milieu des omoplates derrière, avec une mèche rose du côté gauche
Traits du visage : Pommettes hautes, bouille un peu enfantine malgré ses vingt ans, surtout dans la rondeur de ses joues, ses grands yeux et son petit nez
Taille : 1m64
Poids : 54kg (ou moins selon les périodes, rarement plus)
Marques visibles : Elle a plusieurs piercings à l'oreille droite en plus de boucles d'oreilles.
Vêtements et/ou style : Zoé a un style bien à elle, refusant de se plier à la mode et à ce que les gens attendent d'elle. Vestes en cuir ou en jean, bonnets, pantalons et hauts colorés, elle a aussi une toute nouvelle paire de basket multicolores qu'elle porte en permanence

Histoire
Zoé est l'enfant d'un acte qui, à ses yeux, n'aurait dû souffrir aucun pardon. Née un peu plus d'un an avant Chloé, elle est la fille adultère d'Audrey Bourgeois et de Damian Lee. La grande créatrice de mode a rencontré son père pendant l'un de ses longs séjours à New York et de fil en aiguille, sans mauvais jeu de mot, quelque chose s'est formé entre eux. Rien de très sérieux, Zoé reste à ce jour persuadé que sa mère n'est pas capable d'amour, mais suffisamment pour qu'Audrey tombe enceinte, prolonge discrètement son séjour à New York pour cacher sa grossesse à son mari, puis rentre à Paris en laissant la petite blonde entre les mains de son père.

Damian est un homme légèrement plus chaleureux que son amante, mais pas beaucoup moins autoritaire. Très occupé de part sa carrière de réalisateur, il faisait de son mieux pour ne pas délaisser sa fille mais fut de nombreuses fois contraint de la laisser aux mains de nourrices, gardiens et autres employés de maison pendant plusieurs jours pour se rendre sur des tournages. Elle ne lui en a jamais tenu rigueur, ou en tout cas n'en a pas nourri de rancœur, mais la solitude a pesé rapidement sur son cœur d'enfant. Elle était "la fille qui n'a pas de maman", son père ne lui ayant pas tout de suite dévoilé l'identité de sa génitrice, la petite fille qui venait souvent seule aux journées parents d'élèves, qui restait dans son coin pendant les fabrications de cadeaux pour la fête des mères, qui a rapidement appris à garder ses connaissances sous silence par peur du regard de ses camarades. La solitude est devenu un dévorant besoin d'être accepté qui s'est agrandi avec l'âge.

Et puis, elle a fini par rencontrer sa mère. Quand son père lui a révélé qu'elle serait à New York pour une longue période, Zoé n'en a pas cru ses oreilles. Elle était heureuse de rencontrer enfin cette mère mystérieuse, mais elle a rapidement déchanté. Car Audrey ne ressentait que peu d'intérêt pour elle, se souvenait à peine de son prénom, l'ignorait la moitié du temps et demanda de nombreuses fois ce qu'elle "faisait encore ici", alors même qu'elle était simplement chez elle. Pire que ça, du moins aux yeux de la petite fille qu'elle était : elle était mariée, et ce depuis bien avant sa naissance, ce qui faisait de Zoé l'enfant d'une chose que, déjà à son âge, elle détestait de tout son cœur. Mais elle voulait une mère. Elle voulait que cette femme qui s'était faite fantôme une grande partie de sa vie apprenne à la voir, à l'apprécier, elle voulait qu'elle lui sourie et qu'elle paraisse l'apprécier. Alors elle a commencé à l'imiter, en vain.
Par contre, cela sembler marcher dans sa classe.

Au collège, elle s'est vite rendue compte que les gens la regardaient différemment. Pas parce qu'ils connaissaient l'identité de sa mère, résolument tenue secrète, mais parce qu'à force de copier son attitude en sa présence, elle avait fini par le faire également à l'école. Comment mieux se faire accepter qu'en imitant les filles populaires, en les rejoignant et en changeant de côté de la barrière ? Certes, les regards plein de larmes frappés par l'injustice qu'elle laissait parfois derrière elle lui brisaient le cœur, mais c'était mieux que d'en faire partie... non ?

Quand Zoé avait quinze ans, sa mère est repartie. Finies les tentatives de s'attirer le moindre signe de reconnaissance de sa part, les espoirs de la voir sourire, l'apprécier, l'aimer. Elle a fini par comprendre que jamais sa mère ne serait, justement, une mère pour elle. Elle a aussi fini par craquer sous la pression de ses propres mensonges et de son double-jeu, jusqu'à s'effondrer dans les bras de son père qui, perdu, n'a pas su quoi faire à part la retirer du pensionnat où elle étudiait jusqu'alors, pour l'inscrire dans une école certes moins prestigieuse, mais plus proche de la maison. Une école où, du moins l'espérait-il, elle n'aurait plus autant à faire semblant. Elle a essayé, elle a même plutôt bien tenu le choc jusqu'à la fin de ses études. Affirmer son identité n'était pas un tabou dans sa nouvelle école. Elle s'est trouvé quelques amis qui l'appréciaient pour ce qu'elle était et pas pour son image de starlette un peu peste, même s'il lui arrivait encore de jouer les fantômes ou d'exagérer ses réactions par peur de paraître trop banale.

Après le lycée, Zoé s'est lancée dans des études d'arts dramatiques qu'elle a suivi pendant un an, avant de tout abandonner pour une place dans une série, contre l'avis de son père. Elle n'y est au final pas restée très longtemps : son personnage, secondaire, fut rapidement retiré du scénario par un départ dramatique, pas parce qu'elle jouait mal mais à la suite de disputes avec certains acteurs et avec l'un des réalisateurs. Ce vide soudain l'a laissée un peu perdue, désœuvrée, jusqu'à ce que son père recontacte sa mère et lui permette d'obtenir un rôle dans une série française, qu'elle a accepté dans un état un peu mitigé. Elle allait être en France, dans le pays de sa mère mais surtout, dans le pays de cette demi-sœur dont elle n'avait appris l'existence que très récemment et de ce beau-père pour qui, elle en était persuadée, son existence même risquait de rouvrir des blessures.

Elle n'est à Paris que depuis quelques mois, et elle n'a pas encore eu le courage d'aller les rencontrer, mais elle a entendu parler de Chloé par des gens qui l'ont connue et elle craint de plus en plus cette rencontre, quand bien même beaucoup affirment qu'elle a changé depuis le lycée. Elle n'a même pas encore prévenu sa mère de son arrivée, par peur d'être encore rejetée et oubliée. Pour le moment, elle loge chez une de ses collègues de tournage, une situation temporaire qu'elle devra bien changer un jour, une fois ses craintes mises de côté.

Depuis son arrivée, elle a assisté à une des attaques du Papillon de très près, au moins de se mettre extrêmement en danger en se dressant entre un akumatisé et sa cible. Elle fut sauvée à la dernière seconde, mais elle regarde toujours les reportages sur les attaques avec attention, au cas où l'une d'elle se passerait près de chez elle, quand bien même elle ne peut rien faire d'autre qu'aider les gens à s'enfuir.

Crédit by Alya Césaire

Théoxane de Salois
Théoxane de Salois
Invités
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Jeu 17 Mar - 13:15
Calis Eloïse TachibanaSi tu souhaite finir à l'hôpital essaye donc de me voler mes cookies

Causette & takt op destiny
en terme de super héro elle n'en a aucun actuellement et en terme de surnom au quotidien ses parents la surnomme Tao en espérant que cela lui permette de vivre une longue vie.

19 an et fêtera ses 20 ans le 20 mai 2022. Elle et donc né le 20 mai 2002

A moins d'être aveugle il s'agit bel et bien d'une fille

Héros

Étudiante en master en illustration. c'est aussi une jeune romancière écrivant sous le nom de plume "Tao" et fait partie d'une équipe de basket

Miraculous : Réservation [X] Aléatoire [ ]

Innari la bienveillance

Akumatisation : [X] Oui  [ ] Non

On t'appelle comment sur la toile ? Infinita,snow , Hina
Ton p'tit âge ? 22
Comment nous as-tu connu ? Internet et forum
Un commentaire ? J'aime les frites

Caractère
C'est une fille assez gentille , malgré quelques difficulté à être sociable. Doué de se ses mains la jeune fille réussi à rentrer en Master d'illustration, avec deux ans. ce n'était pas en restant à Tokyo dans sa province paumé qu'elle aurait eu une t'elle chance. Arrivée peu de temps après ses 17 ans sur Paris grâce à ses parents qui semblait être d'accord pour s'accorder à dire qu'elle était prête à voler de ses propres ailes et aussi à un concours de dessin l'un de ses rêve fut réalisée.

mais un bonheur n'est jamais complet en partant sur Paris la jeune femme qui ne connaissais personne ni même le dialecte parisien fut perdue et ne pût se montrer sociable. Afin de ne pas inquiéter ses parents la jeune femme se força à pratiquer un sport d'équipe et se trouva un troisième passe temps après le dessin et l'écriture.

Elle n'est pas très violente mais sais se battre lorsque la situation l'exige. avant d'arriver en France ses parents l'ont souvent traîné à la boxe. Elle est aussi empathique que nul en amour. Alors si vous croisez la jeune femme dans la rue elle sera souvent souriante et un poile trop poli avec vous.



Physique
Calis est une jeune fille d'environ 20 ans et qui mesure environ Un mètre soixante-quinze, pour un poids approximatif de 65 kilos.

Son style vestimentaire est assez mitigé, un coup elle suis la mode et le jour suivant elle se fît à son instinct pour choisir sa tenue. une poitrine passant tout juste le C, des bras et des jambes fines et musclé, seul déception par moment pour la jeune femme c'est de ne pas avoir de " tablette de chocolat ". Maquillage quelque peu extravagant mais soulignant à merveille ses yeux azur, un serre-tête rouge et une coupe blonde et vous obtenez Calis.



Histoire
Calis ou Tao comme ses parents la surnommait vit le jour dans la ville de Xi'an dans la Province du Shaanxi en Chine. Du côté de sa mère, Eve Morgana architecte et Xion Tachibana bureaucrate et peintre à ses heures perdu se sont rencontrés durant une exposition dans une galerie d'art en France. Le feeling passa entre eux et ce n'est qu'après deux ans de relation qu'Eve et Xion se jurent amour et fidélité lors d'un mariage ce passant en Chine. Eve fan de l'architecture chinoise décida de rester en chine avec Xion et quelques mois plus tard une nouvelle vie vit le jour, c'était Calis.

Malheureusement pour la petite fille, la vie ne fut pas tendre durant quelques années la petite fille fût si malade qu'elle ne pouvait quitter le domicile familial, l'obligent à suivre des cours avec des professeurs particuliers. Malgré sa maladie et grâce à ses parents, la petite fille ne manqua de rien et seul un sourire pouvait se lire sur son visage chaque jour qui passe. La petite fille tenait bien de ses parents, car en grandissant elle se découvre une passion et un talent pour l'écriture et les illustrations. Au point de faire des études dans ce domaine et à force de s'accrocher à sa grande passion, elle décrocha un prix pour une nouvelle publié dans un journal local. La suite n'en était que plus joyeuse alors qu'elle fêter ses 16 ans elle publia son premier livre ce qui lançait sa carrière d'écrivain officiellement, mais il n'était pas question pour la jeune fille d'abandonner ses études et jongla entre étude et écriture dans diverses rubriques et autre. Alors qu'elle venait d'avoir 18 ans une offre pour des études supérieures lui fut proposé le seul problème, c'est que les études se passent en France.

Après quelques mois de réflexion et de mise en place Calis avec le soutien de ses parents déménagea en France et plus précisément sur Paris, terre Natale d'Eve sa mère. Pars ailleurs, c'était son premier appartement où ell vivrait seul et les choses n'allait certainement pas chez simple au début pour elle. Pourtant en se forçant un peu à sortir et à faire du sport la jeune femme âgée désormais de 19 ans joua dans une petite équipe rien de bien incroyable et à présent elle devait jongler entre études, écriture et entraînements, mais ce n'était pas pour lui déplaire. Vivant en France et sur Paris depuis peu elle n'a aucun réel avis sur les attaques du dénommé papillon mais elle est heureuse de savoir qu'ils existe des gens capable de se battre contre lui.


Crédit by Alya Césaire

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