présentaaaaaation

L'histoire se complètera en fonction de ce que les membres trouveront sur l'identité de Papillon !


Personne ne connaît l'histoire de Papillon. Tout ce qu'on sait sur lui, c'est qu'il est apparu pour la première fois le 10 Janvier 2021 sur Paris en akumatisant une personne afin de récupérer les Miraculous de la coccinelle et du chat noir pour une raison inconnue.

La vie de Gabriel Agreste n'est pas des plus connue également, en effet, le styliste très secret concernant sa vie privée.
Tout le monde sait que c'est un styliste mondialement connu avec sa propre marque de vêtements et de parfum. Gabriel Agreste a épousé Emilie Graham de Vanily, une famille célèbre possédant une immense fortune.

Ensemble, les deux mariés voyagèrent énormément, s'aimèrent énormément et donnèrent naissance à un jeune garçon, Adrien Agreste, à l'âge de 21 ans. Ce jeune garçon devint rapidement l'égérie masculine de la marque Gabriel.

Malheureusement Emilie disparue de la vie de Gabriel et d'Adrien sans laisser de traces, personne ne sait où elle se trouve aujourd'hui, durant la treizième année d'Adrien. C'est depuis ce jour que Gabriel a énormément changé et est devenu encore plus protecteur et strict envers son fils... Il lui avait interdit de faire la fête ou de se rendre dans une école publique ou privée avec d'autres personnes, lui préférant une éducation stricte à la maison avant de céder vers ses 14 ans et l'autoriser à suivre des cours au Collège-Lycée Françoise Dupont

Aujourd'hui Gabriel Agreste ne sort presque plus (sauf en de très rares occasions) et n'a que très peu de contact avec les autres, hormis avec Nathalie et quelques uns avec son fils. Nathalie est toujours l'intermédiaire entre le monde et Gabriel.

Amine est né de parents immigrés à Marseille, dix-neuf ans plus tôt. Il y a grandit avec son petit frère, Sion, né deux ans après lui. Il vit une enfance plutôt normale pour un petit marseillais, allant à l'école comme tous les petits de son âge. Son école à lui, c'était l'école élémentaire Hozier, qui se situait à moins de dix minutes à pieds du Vieux Port, et à peu près le même temps de marche de son domicile. Forcément tous les matins il passait devant le Vieux Port où son père se chargeait de vendre les poissons péchés dans la matinée. L'odeur du poisson frais a donc toujours suivi Amine, en plus de la réputation de son père qui semblait vendre les meilleurs poissons, les plus frais !

A côté de ses études, une fois qu'il atteint l'âge de douze ans, il ira aider son père au marché du poisson pour la vente et la "mise en rayon". Son père se chargeait en retour de lui transmettre la passion du poisson, et comment on pouvait le décliner sous toutes ses coutures dans la cuisine. A la maison, à côté de ses devoirs, sa mère lui a apprit comment cuisiner. Bientôt, il s'est chargé de faire la cuisine à la maison à la place de sa mère, puisqu'il ne pouvait pas aller pêcher avec son père au risque de mettre en péril ses études.

A 15 ans, en 3ème année de collège, il s'engage dans un CAP Cuisine à Marseille, poussé par son intérêt grandissant pour la cuisine. Durant ces trois ans il travaille en alternance dans un petit restaurant trois étoiles, et aide par moment son père au Vieux Port. Une fois ces années validées et le CAP Cuisine en poche, il décide de migrer vers la capitale, Paris, dans le but de faire un CAP Poissonnier. Plutôt contradictoire quand on y pense, mais pour Amine c'est pourtant très clair : une fois qu'il aura terminé son CAP Poissonnier il aura l'embarras du choix. A ses dix-huit ans, le voilà donc sur Paris.

Il se retrouve dans une collocation afin de ne pas payer trop cher, Paris étant vraiment hors de prix pour un pauvre marseillais qu'il est. Actuellement en alternance entre son école et Langousta Passy (oui c'est une vraie poissonnerie), il n'est pas rare qu'il soit témoin d'une akumatisation. D'ailleurs, ça là, les akumatisations... il n'en a jamais vu à Marseille. "C'est sûrement la folie de la capitale" lui dit ses parents, mais Amine y croit vraiment moyen.

Même avec toutes ces akumatisations, Amine continue de faire marcher sa charrette tant bien que mal, même si ça lui est déjà arrivé de se faire renverser une étale de poissons entière à cause d'une poursuite d'akumatisés. Sur le coup ça l'a bien mis en rogne, mais aujourd'hui il sait s'y préparer. Puis il n'y a rien qu'il ne puisse réparer, pour les étalages en tout cas. Il est bien content que les super-héros soient là pour rétablir la situation au plus vite, même si au fond de lui il les envie parfois. Sauver la ville, être vu comme un héros, ça caresserait bien son égo.

Une petite vie peinarde.

Actéon est né un chaud jour d’été, d’un père français, étant historien spécialisé dans l’histoire de la Grèce Antique, et d’une mère aux origines nippones, travaillant comme… Écrivaine de poésie, que ce soit avec l’alphabet européen ou japonais. Grâce à ces deux cultures, le jeune homme a appris vite le français mais aussi la langue maternelle de sa mère ainsi que la calligraphie. Assez vite, il fut reconnu que le jeune homme avait un certain talent né pour les arts : Il fut testé à la calligraphie, la peinture, la sculpture, la musique… Et même s’il était bon dans ces domaines, rien ne sut égaler le talent et la passion pour la littérature.

Son père s’occupait des études scolaire du fiston, s’assurant qu’il ai toujours des notes excellentes, et dans son temps libre, la mère d’Actéon lui apprenait l’art de l’écriture, de manière douce et stricte à la fois, et la femme ne fut pas déçue. Il faisait des prouesses, et elle savait pertinemment qu’il irait loin. Ses parents l’inscrivaient dans divers tournois de poésie et autres, et il ressortait souvent premier, et les seuls fois où ils étaient second, c’est que le tournoi n'était pas sur la poésie, mais sur de longs textes, et il détestait ces moments. C’est depuis ces jours qu’il déteste perdre, il veut être le meilleur.

En grandissant, Actéon était un garçon qui savait se faire sociable quand il en avait besoin, mais il restait simplement le jeune homme classe et élégant du fond de la classe, et préférait se concentrer sur sa passion, sur le sport et ses études. Et il alla alors dans la meilleure école de Paris dans ce domaine, pour alors aller en Master de Lettres Modernes, et envisagea alors de partir en Doctorat même. Il n’avait pas besoin réellement d’avoir un travail puisque ses parents, dans la classe bourgeoisie, lui payaient ses études, tant qu’il restait l’un des meilleurs. Il n’a aucunement besoin de travailler le week-end, se concentrant encore et toujours sur ses écritures, ainsi que la gymnastique et le parcours, puisque la vue depuis les toits de Paris l’inspirait grandement.

Durant ma vie, je n'ai jamais manqué de rien, matériellement. Retiens bien "matériellement", c'est important. Mon père, Gabriel Agreste, LE grand, l'inénarrable, l'indescriptible, le magnifique, le merveilleux, le parfait, l'incomparable Gabriel Agreste est un styliste de renom. Oui, il est friqué. Mais à croire qu'il a acheté le droit d'être une infâme saloperie avec son fils. En l'occurrence, moi, tu vois. Depuis que Mère a disparu, il est comme ça. Alors je sais bien que c'est compliqué de perdre un proche, mais comment dire..? J'ai moi aussi perdu quelqu'un. Pourtant, je me comporte pas comme un connard avec lui. Bon... J'avoue, je me comportais pas, plutôt. Parce que disons que ce soir, il a eu raison de ma patience. J'ai dit oui pour deux séances de photo par semaine, deux de piano et une de chinois. Mais alors quand il est question de me prévenir la veille pour le lendemain de participer à un gala de charité organisé par sa boîte, c'en est trop. J'avais prévu de faire du shopping avec Nino, demain pour l'anniversaire de sa copine. On ne laisse pas tomber ses frères de sang. Alors son gala de charité, il peut se le tarer là où le soleil ne brille jamais, pour paraphraser un grand roi : "M'en fous, j'irai pas !" Deux secondes, j'humidifie un peu mon gosier. Ca fait du bien par où ça passe. Tu te doutes bien que c'est pas un diabolo grenadine, hein... Tu sais que ça fait que depuis deux mois que je m'autorise à boire de l'alcool ? Je sais, je devrais pas. L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération, je connais bien les formalités... Bon, j'en étais où, moi ? Ah oui. Mon connard de père. Je l'aime, mine de rien. Là, je suis énervé, c'est pour ça que je l'insulte. Autrement, tu te doutes bien que j'aurais des propos moins venimeux. J'ai toujours dû batailler avec lui pour avoir ce que je veux. Rien que pour me faire aller à l'école avec d'autres élèves, c'était la croix et la bannière. C'est pour ça qu'avant d'aller au collège, j'avais une seule amie. Chloé Bourgeois. Brrrr... J'ai des fourmis dans la colonne vertébrale, maintenant, quand je dis son nom. Je me rends bien compte qu'à l'époque, j'étais bien trop gentil avec elle, je lui laissais presque tout passer... Mais aujourd'hui, c'est un peu comme Voldemort. Quoi ? C'est pas Voldemort ? Je te garantie qu'avec toutes les rhinoplasties par lesquelles elle a dû passer, y a des chances que si, ce soit Voldemort. Mais sérieusement, tu l'as vue ? Détestable avec les gens, même avec ses amis ! Pauvre Sabrina... J'ai eu beaucoup de chance, moi. Qui sait ce que je serais devenu si mon univers s'était résumé à être la vie que mon père m'a formatée et avec Voldemort pour seule amie ? J'ai d'abord rencontré Nino. Mon voisin de table. Puis, c'est devenu plus tard mon ami, mon frère... Nan, pas mon amant, je t'arrête de suite, je préfère les moules aux frites. Et je te parle pas du plat... Et lui, jusqu'à preuve du contraire, aussi. Après, personne ne sait ce qu'il s'est passé dans la cage quand il était enfermé avec Alya dedans. Peut-être que ça a réveillé un truc chez lui ? Ou chez elle, hein, on sait jamais... Puis... Il y a eu Marinette. Et là, j'ai su quelle vie je voulais mener. Marinette, c'est la première personne que j'ai vue comme une amie. Petite gorgée, pardon... Ah, Marinette. Ma meilleure amie. Pourtant, ça démarrait mal ! Elle croyait que je lui avais fait un sale coup alors que je réparais une connerie de Voldemort. Une vraie vipère, celle-là ! Bref, ce jour-là, il reste gravé dans ma mémoire. C'est le jour où j'ai enfin su qui j'étais. Où j'ai fait deux rencontres... Marinette, tu t'en doutes. Bon. Et Ladybug. Je ressens un truc pour elle. J'ignore son vrai nom, j'ignore qui se cache sous son masque, et pourtant... Je ressens un truc. Un truc fort. Très fort. Bref. La suite, tu la connais. Aventures sur aventures, encore et encore... J'ai appris des choses, j'ai rattrapé mon retard, à lire, à jouer, à regarder, bref, à accéder à la culture comme tous les autres. Et je me suis tourné vers le droit à la fin du lycée, pour ne plus avoir mon père sur le dos. Ca marche bien, hein ? Je larbine toujours... Comme on dit en chinois : << Huāshù zhōng de huāduǒ tuìshǎi, yǒng bù chóngshēng >> Quoi ? Je croyais que tu parlais toutes les langues... Ca peut se traduire par << La fleur en bouquet fane et jamais ne renaît >>... Aujourd'hui, tu sais ce à quoi j'aspire ? Vivre ma vie. Ah..? C'est quoi ce bordel dehors ? On dirait bien que Gotham a besoin de nous... T'es prêt, Plagg ? Transforme moi !

Moi, c’est Alix. Alix Kubdel. Je suis la fille du conservateur du Louvre. Sur le papier, c’est la classe, mais en vrai, je suis pas trop dans le délire de l’art. Bien sûr, ça m’empêche pas d’apprécier de temps en temps ! Mais je suis à des années lumière du goût du reste de ma famille pour l’art et l’histoire… Mon frère est passionné d’Égyptologie, c’est même son métier. C’est pour ça que depuis quelques années, je l’appelle Christian Jacq. Comme l’auteur qui fait que des bouquins sur l’Égypte Antique. Je n’ai pas de souvenir de ma mère, par contre. Mon père ne m’en parle pas, mon frère non plus, d’ailleurs. A croire que la mentionner est un tabou dans la famille... Tout ce que je sais sur elle, c’est que c’est elle qui a voulu que je m’appelle Alix. Parce que je suis née le même jour que Lewis Carroll, l’auteur de Alice au Pays des Merveilles. Et comme elle trouvait apparemment que le prénom Alice était trop courant, elle aurait préféré Alix. Et que c’était son livre préféré. J’ai toujours eu l’esprit vif ! Tellement vite que j’ai sauté une classe, c’est dire...

Ma vie se résume à la vitesse. Courir, faire du roller, les sensations fortes, même mes lunettes d’aviateur que je mets depuis que j’ai perdu ma casquette préférée. Retourner ma casquette façon Sacha dans Pokémon, c’était quand même la méga classe, à l’époque où ça faisait fureur. Mon Pokémon préféré, c’est Arcanin. Parce qu’il va vite et parce qu’il est trop classe. Et un jour, j’ai voulu aller trop vite en rollers et à cause d’un coup de vent ma casquette est tombée dans la Seine. J’étais bien salée, j’ai plus jamais voulu porter une casquette.

J’ai fait mon collège à Françoise Dupont avec mes copines Marinette, Alya, Juleka, Rose et Mylène. Et souvent, je mettais une pâtée à Kim qui voulait lancer des défis à tout le monde dans la classe pour prouver que c’était le meilleur. Que nenni ! C’est MOI, le meilleur. C’est après le brevet que j’ai eu envie de faire des études aux États-Unis. J’en ai parlé à mon père qui n’avait rien contre l’idée, même s’il m’a dit texto que j’allais lui manquer. Pour que je l’oublie pas, il m’a offert une montre à gousset pour mes quinze ans. Comme c’est apparemment la tradition dans la famille, même si je comprends pas vraiment pourquoi mon frère n’en a pas eu une, lui… Bref, je suis parti après l’obtention de mon brevet pour faire des études aux States, à Los Angeles, dans le cadre d’un genre de programme Erasmus. Non, pas comme le groupe. Même si je l’aime bien.

Là-bas, j’ai rencontré Wanda. Une nana super avec qui j’ai sympathisé. C’est la nana de qui je partageais la chambre quand je vivais dans une famille américaine pendant tout mon lycée. Tous les vendredi soir, on faisait du jeu de rôle sur table. Au début, c’était l’horreur, j’aimais pas ça ! Mais en fait, avec le temps, j’ai fini par m’y intéresser vraiment. Et depuis, j’y prends mon pied. Sauf la peinture des figurines, ça, j’aime toujours pas… Grâce, ou à cause du jeu de rôle, j’ai cultivé mon imagination et des histoires ont commencé à poper dans mon esprit. Selon les conseils de Wanda, j’ai décidé de les coucher sur papier (ou du moins… Sur mon PC). Et j’ai même découvert que le jeu de rôle, certains en font carrément en ligne ! J’ai essayé… Et depuis, je suis joueuse de jeux de rôle en ligne. Jeux vidéo comme écrits, d’ailleurs !

Après l’obtention de mon diplôme, j’ai décidé de rentrer à Paris avec Wanda dans mes bagages… Depuis quelques mois, on entend parler du Papillon et de Ladybug et Chat Noir. Comme j’ai vécu aux States, on va dire que voir des super héros dans Paris, ça me choque pas outre mesure, voire ça me botterait carrément de faire partie d’une ligue de justiciers !

Athéna a toujours vécu à Paris d'ailleurs, elle y est même née cependant, ses parents ont tout de même décidé de faire en sorte que leur maison soit dans un endroit très calme. La jeune demoiselle est venue au monde le 8 septembre 2002, il faisait très froid ce jour-là d'ailleurs au point où il avait neigé. Pour se rendre à l’hôpital, il fallait bien le reconnaître, ça n'avait pas été facile du tout heureusement, l'accouchement s'est très bien passé.

Cinq ans plus tard, Athéna eut la chance d'avoir une petite sœur qui s'appela Artémis qu'elle a toujours tendance à protéger d'ailleurs ce qui provoque de temps en temps des disputes, mais les deux sœurs se réconcilient toujours. Comme vous pouvez le voir, elles ont des prénoms peu communs et la raison de cela, c'est parce qu'il aime beaucoup la mythologique Grec.

La jeune Lorist a eu une enfance plutôt joyeuse dans l'ensemble certes bien évidemment comme tous les enfants, elle aimait bien jouer, mais ce qui était assez particulier avec Athéna, c'est que cette dernière s'est toujours sentie bien en compagnie des animaux. Il lui arrivait même souvent d'aider ces petits êtres lorsqu'il était blessé malheureusement lorsqu'il leur arrivait le pire, Athéna était très triste.

Lorsqu'elle commença à rentrer à l'école, elle s'est montré toujours très douée dans la plupart des cours bon, après il y avait des matières qu'elle n'aimait pas trop et où celle-ci avait des difficulté, mais la jeune Lorist essayait toujours de faire de son mieux. D'ailleurs, il ne fut pas très difficile pour la jeune fille de choisir le métier qu'elle voulait faire plus tard, c'était de devenir vétérinaire.

Au jour d'aujourd'hui, elle est âgée de 19 ans et est étudiante pour suivre les études nécessaires pour faire le métier qu'elle veut faire plus tard. Bien sûr, avec tout ce qui se passe à Paris, Athéna aimerait bien aider comme elle le peut lorsqu'il y a des attaques dans la ville, elle ne supporte pas tout cela et si elle peut sauver des gens, cette dernière serait heureuse.

Évidemment, tout le monde à des opinions et notamment en ce qui concerne Athéna, elle pense que les héros sont super géniaux à sauver Paris étant donné qu'elle n'aime pas qu'on s'en prenne au gens, elle souhaite également en plus de devenir vétérinaire, c'est de faire partie de ses héros comme Ladybug et Chat noir. Elle fera tout pour essayer d'en devenir une par un moyen ou un autre, elle est très déterminée sur cet objectif là.

- Augustin, par pitié, calmez-vous !
- N'ose plus jamais prononcer ces mots, tu ne sais rien, tu ignores tout de la guerre !
- Oh mon dieu.
- Ton bonheur est superficiel, tu ne sais rien des horreurs de la guerre, tu es si méprisable !
- ...
- N'ose plus jamais profaner son nom ainsi, tu risquerai fortement de le regretter !

Une réunion de la haute ne pouvait pas aussi mal tourner alors que le fils héritier du Duc du Renard, famille noble depuis plusieurs génération, se sentit offensé quand un misérable riche se mette à dénigrer l'une de ses connaissances, un feu soldat péri à la dernière guerre où ils étaient. Le noble se serait retenu si le riche n'avait pas commencé à le mépriser ouvertement car il était, selon certaines rumeurs, né d'une prostituée et ayant travaillé dans les usines avant d'être recruté par l'armée. Même si la noblesse n'avait plus de valeur en France depuis la révolution française, Augustin était connu pour être plutôt colérique quand on osait bafouer l'honneur d'une personne méritante.

La colère était immense dans le regard du fils du Duc, mais malgré tout il fini par relâcher le col qu'il avait attraper avec colère, relâchant le méprisant avant de lui faire dos, décidant que cette mascarade se porterait mieux sans lui. Voilà bien longtemps qu'il avait détesté ce monde dans lequel il vivait. La richesse et la noblesse était bien méprisante et malheureusement pour lui, il faisait partit des deux camps. Il s'était autrefois engagé par patriotisme, il y avait connu des collègues adorables. Il avait dressé de lui même un faucon fièrement, en faisant son meilleur pour aider l'unité des Maîtres Fauconniers dans l'armée. Mais très vite ses talents lui ont fait monter les échelons. Le précédent bataillon il n'était qu'un exécutif, mais il a pu apprécier son équipe. Il s'était lié d'amitié avec ce jeune soldat inexpérimenté mais plus âgé que lui. C'était un père de famille qui espérait revenir fier chez lui, heureux d'avoir protégé le monde de la tyrannie et du terrorisme...

Il ne rentrera jamais chez lui, allongé dans les bras du fauconnier, un tapis de sang sous son corps, lui implorant de donner une petite chaine de métal à sa bien aimée quand il rentrera en France.

En rentrant en France, Augustin demanda une permission pour tenir sa promesse. Ainsi avait-il déposé à cette veuve le dernier souvenir de son feu mari. Augustin était rentré chez son père, à Versailles, s'isolant dans ses appartements, s'isolant dans sa peine. Son père avait pensé que l'invité à une soirée pour l'aider à penser à autre chose était une bonne idée, c'était sans compter le mépris qui avait mit hors de lui un soldat qui avait vu la guerre. Des blessures sur son visage, l'âme brisée, si seulement Augustin s'était contenté de voir un autre soldat périr sous ses yeux, ce n'était qu'un mardi pour un militaire ce genre d'évènement.

Quand soudain je me suis réveillé,
Dans un hôpital aux murs blancs.
Je ne me souviens pas d’être monté,
Jusqu’au toit mes souvenirs sont absents.

Après cet incident, Augustin décida qu'il était temps pour s'éloigner de la haute, ainsi avait-il acheté un agréable appartement en plein Paris, face à la magnifique Tour Eiffel. Il avait pensé que s'isoler était pour lui un moyen de guérir ses blessures. Il était là allongé dans son lit, il fixait le plafond, puis il eu le malheur de fermer ses yeux, et son esprit lui rappela son traumatisme, cette torture qu'il avait subit aux mains des soldats ennemis. Il se rappela d'avoir vu son camarade se fait exécuter atrocement après des heures et des heures de cries d'agonie, comme si la mort était l'unique délivrance pour lui. On lui coupa le bout de ses lèvres, c'était l'unique cicatrice qu'il ne pouvait pas caché, condamné à affiché ces foutues points de sutures sur son visage défiguré. Il avait perdu connaissance alors que ses alliés étaient arrivés, le trouvant, serrant ce corps inerté contre lui, baigné dans une mare de sang. Augustin ne pouvait cesser de penser à ce traumatisme et fini par se relever, il devait changer son état, il devait aller de l'avant, se morfondre n'était pas ce que ce camarade lui avait demandé.

Toi qui m’as aidé, toi qui m’as tendu la main,
Pour l’attraper, j’ai attendu trop longtemps.
Mon bras engourdi, à présent,
N’est-ce pas la mort qui m’étreint ?

Le temps était passé et il fut rappelé au combat, mais dans une nouvelle unité. Il avait mérité son rôle de chef d'escadron et avait dorénavant des recrues à son service. Il s'entraînait durement avec eux, mais refusait de s'y attacher, du moins c'était sans compter l'obstination d'un des soldats, le plus haut gradé sous lui et plutôt tenace et souriant, Elois de Salois. Tout comme lui il était noble de naissance, descendant de Louis XIV, niveau héritage, il était bien au dessus d'Augustin, mais malgré tout, Augustin était son chef. Il ne voulait pas se lier à eux et subir de nouveau la douleur de les perdre : ils ne voulaient pas qu'ils pleurent sa meurt et subissent cette douleur. Et pourtant, alors qu'il était encore en dépression, Elois se montrait souriant et prêt à l'aider à s'en sortir.

Je veux mourir, veux mourir,
Mais finalement j’ai peur.
Tu es là, ton sourire,
Me transperce le cœur.

Au début, Augustin se montrait très froid envers le prétendant à l'amitié qu'il avait en face de lui, froid et distant. Il le repoussait violemment par des paroles crues et amères. Elois n'abandonnait pas malgré le sale caractère d'Augustin.

Tu me blesse, tu me laisse,
Je souris à contrecœur.
Pas assez, pas assez…

Augustin pensait à l'origine que le comportement d'Elois n'était que pour garder une entente cordiale, voir d'attirer ses bonnes grâces. Parano et méfiances étaient présentes, mais malgré qu'il avait sûrement dû le remarquer, Elois ne cessait d'accepter Augustin, progressivement il passa de simple soldat à connaissance agréable d'Augustin, celui-ci commençait à s'attacher à lui, à lui faire confiance et s'inquiéter pour son bien-être.

Je veux mourir, veux mourir,
Mais finalement j’ai peur.
Car celui qui me fait rire,
Je ne veux pas qu’il pleure.

Leur relation ressemblait un peu à celle d'un vieux renard hostile et d'un jeune loup fougueux. Le rusé fixait le canin avec dépit et lassitude, ne cherchant que la tranquillité en attendant le jour fatidique, mais le jeune bondissait et tentait de convaincre le rusé qu'il retrouverait de la force en acceptant de sourire, qu'il retrouverait ses couleurs s'il daignait y trouver un intérêt.

Tu me blesse, tu me laisse,
Je souris à contrecœur.
Pas assez, pas assez…

La guerre avait débuté et ils étaient repartit face au sang et au souffre. Malgré le sourire de ses compagnons, Augustin n'était pas serein, il avait peur de la guerre, mais arriverait-il un jour à l'avouer ? Ses nouveaux camarades étaient là, lui tendant une main, il n'osait pas la prendre, de peur de les voir mourir sous ses yeux comme il avait pu le faire. Le plus terrifiant des tortures n'étaient pas les séquelles physique, même atrophié un corps continue à se battre. L'esprit est faible, intangible, rapidement soumis. Le traumatisme de ses débuts étaient solidement encré et il s'était convaincu que s'attacher était une souffrance.

Je suis tout seul,
Lorsque je me cache pour ne plus me souvenir de toi.
Le miroir reflète ce passé fictif pour moi,
Des yeux ambrés, quel regard plaisant mais malsain.

Augustin avait de nouveau retrouvé une envie de continuer. Il s'était remit à sourire en regardant celui qu'il pouvait nommer son ami. Il avait honte de ce qu'il ressentait, à vrai dire il n'arrivait pas à se comprendre. Il s'était attaché à Elois, mais il était le mieux placé pour savoir que leur vie ne tenait qu'à un fil. Il craignait de souffrir à nouveau ou de provoquer la souffrance. Pourquoi se sentait-il si bien avec son unité et pourtant pourquoi craignait-il de rester avec eux ? Il avait peur de partir à la guerre et de voir les fils de la vie se briser devant lui, incapable de faire quoi que ce soit.

Dis, je veux vivre, je veux vivre,
Je veux réellement vivre.
Je ne veux pas disparaitre, je ne veux pas seulement survivre.
L’amanite se mêle à mes cheveux, elle est si près,
Peu importe où tu es.

Il a suffit qu'un moment pour qu'une balle leur soit tiré dessus. Augustin l'avait vu mais pas Elois. Il n'avait pas réfléchit, de toutes manières n'était-il pas le premier à se dire qu'il voulait en finir suite à son traumatisme, qu'il mourrait bien très vite dans cet incident ? Il avait froid alors qu'il tombait au sol, il ne pouvait pas bouger et une peur immense l'avait envahit. Il voulait vivre, il avait trouvé ce goût à la vie alors que la mort était si proche de lui, qu'elle ironie de souhaiter sa mort et de regretter la vie quand on obtient ce qu'on désire enfin...

Je veux mourir, veux mourir,
Mais finalement j’ai peur.
Peut-être seras-tu capable d’écouter mon cœur.
J’ai tenté d’effacer plusieurs fois ton sourire.
Pas assez, pas assez…

La blessure perçait le torse du chef d'escadron et la douleur était intense. Elois était là, à ses côtés, tentant de l'aider. L'esprit d'Augustin était embrouillé, comment pouvait réfléchir, comment pouvait-il comprendre la torture dans son cœur. Pourquoi avait-il jeté aussi misérablement sa vie pour le sauver ? En faite, pourquoi continuait-il à se battre pour vivre. Etrangement, sa peur n'était pas de mourir, sa peur, son unique et forte crainte était de ne plus jamais le revoir...

Je veux mourir, veux mourir, veux mourir,
Mais je ne veux pas disparaitre, ce n’est pas mon désir.
Car je sais que ton sourire ne fera que m’adoucir.
La douleur s’amplifie,
Mon souvenir s’amoindrit,
Pourtant cette blessure me fait souffrir jusqu’à l’oubli.

Les souvenirs d'Augustin ensuite étaient très flou, l'obscurité et la brume, des états de semi-conscience. Il se rappel avoir été dans un camp de soin d'urgence, puis un hôpital, il avait la sensation de sauter dans le temps et faire des téléportation. Quand il reprit réellement conscience, il était à Paris, dans une salle de repos d'un hôpital. Il était sain et sauf, mais loin de la guerre. Quelques temps après son réveils, son unité le salua, il apprit qu'ils avaient eu une permission en attendant son rétablissement, qu'ils allaient devoir se reposer avant de combattre à nouveau.

Quelques mois alors qu'ils étaient coincés à Paris, voilà qu'un ennemi atypique fit son apparition, ainsi que des supers héros pour sauver la ville ? Augustin observait toute l'histoire depuis sa chambre d'hôpital, comment la ville a-t-elle pu devenir aussi mystique ? Serait-ce une blague de grande ampleur ? La magie ça n'existe pas, alors un méchant nommé Papillon qui transforme des gens en Akuma et des supers héros qui se trimballent dans la ville... Augustin était agacé, ayant la sensation que l'incohérence de la scène le prenait réellement pour un con.

Quelques temps ont passés, l'hiver était bien installé, et ces scènes comiques d'héroïsmes continuaient. Augustin avait quitté l'hôpital mais devait rester encore un peu sous surveillance d'un proche, que quelqu'un soit présent s'il refait une rechute. Plus le temps passait et plus Augustin était agacé, le Néoptère se montrait de plus en plus présent. Il pouvait voir depuis sa fenêtre, au travers de la télévision et des Ouï-dire les différentes akumatisation, ce n'était plus juste une blague, c'était une attaque contre la France et c'était le rôle d'Augustin de protéger son pays, en tant que chef d'Escadron. Il était encore officiellement en repos avec son unité, mais rien ne les empêchait d'agir.

Ainsi, avait-il commencé à s'intéressés à ces cas, silencieux, n'intervenant jamais plus que pour aider la population à se mettre en sécurité. Il devait découvrir l'identité de cet insecte pour lui arracher les ailes. Augustin se préparait à quitter le manoir familial pour retourner dans son logement, il avait prévenu aussi Elois de cette décision d'agir face au Papillon, de faire leur rôle de militaire. Ils ne devaient pas compter sur des superhéros inconnus, il ne leur faisait pas confiance.

Camille est le troisième enfant d'une famille originaire de Paris et dont les membres n'ont presque jamais habité autre part que dans l'agglomération. C'est un beau bébé vient de naître, et qui fait déjà la fierté de ses parents et de son grand frère, âgé de deux ans de plus que lui. Camille Chevalier, dont la petite tignasse blonde est déjà bien fournie.

Camille, deux ans : il a toujours été heureux dans sa famille, et il a toutes les raisons possibles pour l'être : des parents aimants, un grand frère adorable qui prend soin de lui et à même essayé de lui apprendre à marcher. Maintenant, il gambade partout où il peut (tant pis s'il tombe, il sait se relever et s'il se fait mal le bisou magique de maman arrange tout).

Camille, six ans : un drame est survenu dans la famille, mais le garçonnet ne le comprend pas encore très bien. Pour l'instant, il a surtout remarqué que, depuis, il est très amusant de courir après son grand frère après avoir mis un serre-tête en forme d'oreilles de chat. Il fuit tout le temps !

Camille, dix ans : il a arrêté de poursuivre son frère depuis quelques années déjà (il s'est vite lassé) pour se consacrer à la télévision. Il faut dire que les super-héros sont bien plus intéressants, surtout Mantis, un super-héros justicier équipé d'une armure en forme d'insecte.

Camille, quatorze ans : chaque jour qui passe le mène inexorablement vers l'adulte qu'il va devenir. C'est pas vraiment la joie au collège à cause de tous ces imbéciles qui se moquent de son visage trop féminin pour certains, mais il s'en fiche. Enfin, un peu... A l'époque, c'est un adolescent toujours souriant qui aime cultiver les différences et assembler tout ce qu'il peut pour créer de drôles de mélanges, qu'il s'agisse de ses vêtements ou de la décoration de sa chambre. Il aime également la bonne cuisine, tant la manger que la préparer. Sinon, il passe son temps libre à faire du basket-ball et à pratiquer les arts martiaux pour apprendre à se défendre face à un nouvel élève de sa classe qui a décidé de faire de lui son souffre-douleur.

Malgré cela, cette année est un véritable cauchemar pour lui. Harcelé par l'élève et toute une bande qui s'est formée autour de lui, brimé à cause de son physique "pas assez masculin" à cause de la méprise d'un garçon qui l'avait pris pour une fille en début d'année, il en bave énormément. A cause de ça, il commence à se refermer sur lui-même.

Camille, quinze ans : un nouveau drame est survenu, mais le pire a été évité. Alors que son frère était en voiture avec sa cousine et sa mère, un autre véhicule les a percuté. Tout ce qu'il sait, c'est qu'un passager d'en face est mort et que son frère ne pourra peut-être plus jamais marcher. Il est resté assez protecteur envers les personnes qu'il aime, il adore son frère et sa cousine et a toujours fait en sorte de s'occuper d'eux le plus possible en faisant le maximum (parfois même un peu trop).

Il s'est beaucoup investi depuis, mais a malheureusement fait confiance à la mauvaise personne : son oncle. Il déteste en parler, mais à cause de lui il s'est beaucoup éloigné de sa famille, avec qui il s'est brouillée. Il vit désormais au jour le jour de divers petits boulots plus ou moins reluisants. Ce n’est pas par choix, car il gagne tout juste assez pour ne pas avoir à dormir à la belle étoile. Un de ses collègues lui a bien proposé une « combine », mais il hésite fortement : il s’agirait d’aider de conduire des antiquaires à différentes destinations à toute heure du jour où de la nuit. Il a bien essayé d'en savoir plus, mais ceux-ci restent mutiques dès que Camille tente de leur soutirer les vers du nez. Cela dit, c'est toujours mieux que d'arnaquer les gens dans des parties de bonneteau, de cambrioler ou de mendier dans le métro... Non ?

Déjà que ce n'est pas facile en temps normal, avec les apparitions de ces Super Héros dont il a entendu parler plusieurs fois, c'est devenu encore pire car beaucoup d'employeurs ont refusé sa candidature à cause des dérangements causés par l'intervention de héros (arrivées en retard, entreprises ayant fermé leurs portes, etc). Ce n'est "pas leur faute", certes, mais Camille ne peut s'empêcher de leur reprocher et de penser que ces super-héros ne sont pas si "supers", étant devenu de plus en plus aigri à force de broyer du noir.

Paradoxalement, il les envie presque, ces super-héros : Super rapides, Super forts, Super résistants... Bref, Super super. Alors que lui, il n'a rien. Absolument rien... Décidément, la vie est vraiment injuste.

Lysanna – Pablo « Qu’il est beau notre enfant… »

Célestin est le deuxième fils né de l’amour entre Pablo et Lysanna. Depuis sa naissance, il baigne dans un milieu privilégié où l’art est au centre de tout. En effet, sa mère est une peintre qu'on ne présente plus qui adore par dessus tout collectionner ou exposer ce qu’elle juge beau. Par conséquent, le manoir familial se trouve décoré par de multiples œuvres d’arts sous toutes les formes, rez-de-chaussée accueillant très régulièrement les soirées ou des heures de thés puisqu’elle adore recevoir et montrer ses dernières œuvres ou trouvailles. Le jardin est aussi magnifiquement entretenu pour les beaux jours où il est agréable de s'y reposer.

Pablo « Je suis fier de toi mon garçon.»

Dès qu’il fut en âge de tenir sur des patins à glace, Célestin a découvert la passion que son père entretient depuis sa tendre enfance, le patinage artistique. Anciennement sportif de haut niveau dans ce même sport, il a décidé de transmettre cet héritage à ses deux enfants. L’ainé de la fratrie Keylan s’est tourné finalement vers le hockey sur glace qui lui plaisait plus par l’action et le côté plus brute que gracieux. Célestin, lui, s’est plongé dans cet univers parce qu’il aimait sentir son corps et son esprit glisser sur la glace, plongé dans la musique, ne pensant à rien d’autre qu’aux sensations que ça lui procure. Alors, il a accepté de se plonger corps et âme dans cet art, il a accepté les exigences de son père, ses remarques, ses remontrances, ses soupirs, sa pression et ses lassitudes pour avoir en contrepartie, le niveau qu’il a aujourd’hui, son regard fier, ses accolades lorsqu’il réussit, ses explosions de joie lorsqu’il monte sur le podium et son soutien inconditionnel dans ce parcours. Pablo aime pousser son fils et Célestin aime se pousser dans ses propres retranchements et de partager ces précieux instants avec son père qu'il admire tant.

Edwin  « Tu es décidément plein de surprises mon grand ! »

Au sein du manoir familiale, Célestin n’y vit pas qu’avec ses parents et son frère, il y vit aussi avec son grand-père qui depuis la mort de sa femme peu après la naissance de Keylan n’arrivait pas à s’habituer à ce manoir si vide. Très rapidement, la famille s’y est installé pour y vivre en harmonie. Edwin se trouve être très proche de ses deux petits-fils qu’il gâte sûrement un peu trop, son attitude bisounours contrastant totalement avec sa carrure et le fait qu’il possède un grand cabinet d’avocat sur Paris. Mais cela ne le dérange pas qu’on l’assimile à un papi gâteux tant qu’on ne touche pas à sa famille qui se trouve être son plus beau précieux. Passionné de sciences, il a transmis cet intérêt à Célestin, passant de longues minutes à discuter de différents thèmes que ce soit l’astronomie, les mathématiques, les lois de la physiques ou les débats un peu plus philosophiques parfois au sein de son bureau ou de la bibliothèque.

Lysanna « Tu devrais arrêter de grignoter entre les repas mon chou, tu risques de grossir.»

Du côté de la matriarche, celle-ci est très affective, du moins, c’est ce qu’elle semble être mais derrière chaque marque d’affection se cache de profondes exigences. Lysanna est une femme aimant montrer, exhiber les beautés de ce monde. Les œuvres d’arts qu’elles composent ou arborent sont comme un reflet de son âme, où les semblants et la beauté sont le cœur de sa personnalité. Ses enfants sont comme des pièces de collection pour elle. Elle aime les montrer, les exhiber lors des soirées ou séances de thé. Et dans ces moments-là, il ne faut pas avoir une tenue inadéquate, une mèche de cheveux rebelles ou un langage familier et surtout… Il ne faut pas être disgracieux. Célestin devait être parfait en tout point.

C’est donc suite à une tranchante remarque que Célestin a arrêté tout grignotage entre les repas très jeune et se contente du strict minimum sur ses repas, craignant de grossir, d’être immonde, de ne plus être gracieux. Cependant, malgré ce comportement qu’elle masque très bien devant les invités, c’est une femme qui aime organiser des évènements pour récolter des fonds pour plusieurs associations et fait régulièrement des dons. Elle est, certes, matérielle et superficielle mais elle se soucie aussi des autres.

Une personne âgée « Merci mon petit, tu sais… Il n’y a pas que les héros en costume, il y a ceux de tous les jours aussi.»

La première attaque du Papillon a complètement pétrifié Célestin d’effroi, l’idée qu’on pouvait attaquer à une si grande ampleur sans que les forces de l’ordre ne puisse faire quoi que ce soit le terrifiait. Cependant, l’apparition des héros l’a complètement rassuré, il n’avait plus peur, il était admiratif. Il admirait ces personnes qui semblaient n’avoir peur de rien, si sûrs d’eux comme si rien ne pouvait les atteindre. Il aimerait pouvoir faire pareil, cependant, il ne pouvait prétendre à une telle chose alors il se contente de faciliter au maximum l’intervention des héros s’il se trouve à proximité en aidant les personnes vulnérables à s’éloigner et à se mettre en sécurité telles que les personnes âgées ou les enfants, par exemple. Ce n’était que peu de choses à côté d’eux mais il espérait ainsi les aider un minimum.

Keylan « Célestin, tu es vraiment une des personnes les plus gentilles sur cette Terre, ne change jamais qui tu es. Mais je t'en prie, trouve ta propre voie ! Sois qui tu es vraiment et arrête d'être une marionnette.»

C’est sous ces propos énigmatiques que son grand frère quitta la maison fin février 2022. N’ayant plus aucune nouvelle depuis, Célestin ne comprend pas ce qu’il se passe. Il sait que son frère avait tendance à étouffer dans la maison entre un père qui l’avait laissé de côté après qu'il lui ai dit que le sport n'était qu'un loisir pour lui et non un avenir et une maman avec qui il ne cessait de se disputer car il ne correspondait pas à ses attentes. Il n’était pas parfait et cela le pesait de ne pas correspondre aux attentes de ses parents même s’il cherchait à le cacher. Son grand père, son soutien avait accepté de l’aider à prendre son envol financièrement pour qu’il puisse être qui il voulait vraiment et trouver sa place. Keylan lui manquait, il avait beau essayer de le contacter, celui-ci l’ignorait. Cela faisait mal mais il devait l’accepter et essayer de comprendre ses propos énigmatiques. Bien sûr, il comptait le retrouver et essayer de l'aider à se sentir à sa place.

- Célestin apprécie la majorité des disciplines scolaires, surtout les scientifiques. Il a quelques difficultés à tout retenir en Histoire-Géo et des difficultés en Français, faisant de nombreuses fautes à l'écrit. Cependant, il travaille dur sur ces matières avec l'aide de son grand-père pour continuer à avoir une bonne moyenne générale.
- Il dort encore avec son doudou.
- Célestin s’intéresse beaucoup à l’informatique sous ses multiples aspects.
- Il a tendance à beaucoup se surmener, que ce soit sur la glace, sur ses devoirs ou pousser les limites de son propre corps. Il est à jamais un insatisfait.
- Il a un chat appelé Solarys puisqu’il lui apporte lumière lorsqu’il ne va pas bien.
- Il est actuellement champion de France junior de patinage artistique catégorie individuelle.
- Célestin a concouru pour son premier championnat d’Europe il y a peu où il a terminé 13ème. Encourageant pour son âge ainsi que pour la suite mais il a été véritablement déçu.
- Son père faisant partie du staff de l'équipe de France, il subit les rumeurs de piston.
- Il espère pouvoir participer à son premier championnat du monde cet été.
- Lysanna désespère de voir son fils échouer dans les domaines artistiques (en dehors du patinage) et lui fait tester de nombreuses formes d’art selon elle mais par la pression qu’il se met, il enchaîne les échecs monumentaux au grand désespoir de sa mère qui ne lâche pas le morceau, capable de lui faire essayer plusieurs fois la même activité.
- Célestin a des origines espagnoles et néerlandaises. Entre l’enseignement de ses parents et celui du cursus scolaire, il est donc considéré comme polyglotte.

Notre Miss n'a jamais eu la chance de connaître ses parents. En effet, sa mère a accouché sous X sans même prendre la peine de donner un prénom, un surnom, une couette ou un objet ; elle n'en avait clairement rien à faire de l'enfant qui venait de naître. Si bien que notre petite Dani' fut prise en charge par les services sociaux et commença le très long parcours de l'adoption.

Elle fut adoptée à ses 5 ans par un couple de couleur, pas que ça la dérangeait mais les enfants et les professeurs ont eu tendance à être à côté de leurs pompes quand sa mère allait la chercher à l'école. En soit, Dani' n'avait pas à se plaindre et elle avait eu la chance de tomber dans une famille patiente et aimante ; sa mère était infirmière, son père avocat et cerise sur le gâteau, le couple avait déjà un enfant qui avait un an de plus que notre brune.

Son enfance n'a rien de particulier ; comme dans toutes les fratries, les frangines se sont disputées pour des jouets et des broutilles qui se réglaient après une accolade. Dani' voyait bien le regard de certains de ses camarades, ne comprenant pas comment deux filles de couleur différente pouvaient être de la même famille mais elle les laissait baver. Depuis petite, Dani' possède son caractère "je m'en foutisme" et blasé qui revenait souvent dans ses carnets scolaires... "excellent travail mais caractère compliqué à supporter !" Voilà ce que ses parents pouvaient lire dans toutes les matières.

L'adolescente n'était pas réellement plus simple, elle restait à l'écart tandis que sa sœur était le véritable rayon de soleil de l'école ; des caractères complètement opposés. Pourtant, même si chacune avait pris ses distances avec l'autre, elles étaient toujours là pour aider ou couvrir sa frangine concernant les conneries. A 15 ans, Dani' fit le mur pendant une soirée pour aller s'amuser avec quelques copains d'école, boire, fumer et d'autres conneries de son âge... Autant dire qu'elle s'est prise un sacré savon en arrivant au petit matin.

Bien que beaucoup lui demandent, Dani' ne s'est jamais intéressée à ses parents biologiques. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'elle n'en avait rien à faire. Si sa mère biologique l'avait abandonnée sous X, c'est qu'elle ne voulait pas d'un enfant et Dani' ne tenait pas à débarquer dans la vie d'une inconnue qui n'en avait rien à faire d'elle. Peu susceptible concernant son adoption, Dani' a tendance à simplement hausser les épaules en rajoutant qu'elle n'avait pas à se plaindre de sa famille qui l'avait adoptée.

Une fois le bac obtenu, notre demoiselle décida de se lancer dans des études de psychologie... Pourquoi faire ? Aucune idée mais elle voulait étudier l'esprit humain et ses travers. Sa sœur, quant à elle, se lança dans des études d'Histoire de la Chine et eut l'occasion de voyager au cours de ses stages. Les deux frangines s'envoyaient régulièrement des lettres, parlaient de leurs recherches, de leurs études et autres bla bla.

En rentrant en France, la frangine commença à parler d'objets magiques et autres bêtises relevant du mystique ; elle était obsédée par ça et passait ses nuits et jours à la recherche de ces objets. Dani' était plutôt mitigée et avait passé l'âge de ces enfantillages, préférant se concentrer sur la licence de psy. Néanmoins, quelques semaines après le retour de sa sœur, celle-ci fut renversée par un chauffard, la plongeant dans le coma. Aucune trace de ce fumier.

Sans réelle envie ni motivation, Dani' obtient quand même sa licence de psy mais elle était plus préoccuper par l'accident de sa sœur. Elle avait fait beaucoup de recherches, fouillée dans ses affaires pour obtenir le maximum d'informations ; Dani' était persuadée que son accident n'en était pas un et qu'il y avait un rapport avec ses recherches sur les Miraculous. C'est pour cette raison que Dani' abandonna les études de psy et se lança dans les mêmes études que sa sœur, dans l'espoir d'obtenir des réponses.  

Cela fait maintenant deux ans que cet événement a eu lieu et Dani' continue ses recherches concernant les Miraculous, croyant de plus en plus à ces petits objets... Du moins, si on l'avait renversé, c'était bien pour une raison non ? Elle n'avait malheureusement pas eu la chance de posséder un tel objet mais elle sait déjà qu'ils lui permettront de retrouver le salaud qui avait renversé sa sœur voire la sauver.

Néanmoins, depuis l'arrivée de ce Papillon, son point de vue concernant les Miraculous a totalement changé... Elle avait finalement la preuve que ces objets existaient et que les pouvoirs magiques étaient réels. Il n'était pas question que d'autres personnes souffrent à cause des Miraculous alors elle s'est mise en tête de tous les récupérer pour les détruire. Depuis 2 ans, elle continue d'aller voir sa sœur à l'hôpital, espérant la voir sortir un jour du coma.

Une mère infirmière et un père avocat. Une famille unie, soudée, l’environnement parfait. Rien ne manquait à notre bonheur. La famille s’est même agrandie lorsque j’avais six ans. Mes parents sont revenus de l’orphelinat, un jour. Avec une petite fille : Danitza. Dani’, comme on l’appelle, était devenue ma petite sœur. Peu importe le lien du sang, elle était de notre famille. Auprès d’elle, j’étais très heureuse. On s’entendait toujours bien. A peine quelques engueulades d’enfants pour des jouets comme on en entend des milliers…

Pendant notre adolescence, alors que moi, j’étais populaire et que j’avais des amis, Dani’, elle, était seule. Très solitaire, en somme, ce qui me faisait beaucoup de peine. Après, comme c’était son choix, je me disais qu’après tout, je devais la laisser faire ce qu’elle aime. C’est pourtant pas faute d’avoir voulu la présenter à mes amis histoire de casser un peu sa coquille…

Un jour, je suis partie à la fac. Mon choix ? L’histoire. J’ai choisi l’Histoire de la Chine, comme j’avais déjà appris le chinois simplifié et le mandarin. Dans mon tronc commun avec les autres futurs spécialistes, j’ai rencontré Jalil Kubdel, le fils du conservateur du Louvre. Son truc à lui, c’était l’Égypte. Il était tellement passionné par ses études, ça faisait plaisir à voir, un homme tant curieux de découvrir le passé. Nos chemins se sont séparés quand grâce à la fac, je suis partie en Chine faire mes études.

Là-bas, j’ai appris beaucoup d’informations concernant des bijoux mystiques appelés les Miraculous et qu'il existerait des créatures semblant les occuper. Les histoires autour de ces êtres mystérieux sont fascinantes, au moins autant que les légendes. Plus j’en apprenais, plus je voulais en apprendre. Ce n’était jamais suffisant, je voulais trouver ces fameux objets et les étudier, mes sources devant être vérifiées par tous les moyens… J'ai appris qu'un ancien temple en Chine avait disparu, et je mettrais ma main à couper que cette disparition est liée aux Miraculous. Mais quand on commence à s'intéresser à ces objets millénaires, on se rend compte qu'ils peuvent être n'importe quoi, qu'il en existe un nombre indéterminable avec les données que j'ai pu réunir... Une quête sans fin, en somme.

Cependant, voilà. En rentrant de Chine, le karma a voulu me stopper net dans mes recherches. Alors que je n’ai cessé de les poursuivre, j’ai été renversée par une voiture...

C’est donc ça qui va me tuer. J’ai tant de choses à dire, à apprendre, à transmettre, à savoir. Les Miraculous existent-ils vraiment ? Je dois en avoir la certitude, je dois les trouver, je dois les étudier… Je vais mourir à cause de ma soif de connaissance… Alors que je m’apprête à passer le Styx pour traverser les cercles de l’Enfer, j’ouvre finalement les yeux. Dans un hôpital. On m’a dit que ça faisait deux ans que j’étais dans un coma profond duquel je n'ai jamais réussi jusqu'à maintenant à émerger, même partiellement… Pour moi, ça n'a duré que le temps d'une grosse nuit, mais à en juger par la réaction des médecins, ils ne s'attendaient probablement pas à me voir me réveiller... Mon but reste le même : Élucider le mystère autour des Miraculous… Mais quelque chose me dit que je ne serai pas seule dans ce projet...

D'aussi loin qu'elle se souvienne, Emma a grandi dans une famille bourgeoise, réputée pour être l'une des plus influenceuses de Paris, aux côtés des Luca, des Salois et des Agreste. Née d'un père PDG d'une immense entreprise de marque que sa famille a crée depuis des générations, et d'une mère ex-chirurgienne neurologue, la jeune femme n'a manqué de rien. Elle est le second enfant d'une fratrie de 5 autres : Etienne l'ainé, Victoria la troisième, Mahault le quatrième, Charline, la cadette. Elle s'entend parfaitement bien avec tous les membres de sa famille, excepté avec son frère ainé, et quelques fois avec Victoria où les deux sœurs se disputent souvent.

Son père est véritablement l'être le plus cher à ses yeux. Toujours bienveillant avec elle, il a toujours fait en sorte qu'Emma ait sa place au sein de son manoir. Quant à sa mère, Emma a certains conflits avec celle-ci. Voulant toujours qu'elle soit première en tout, notamment devant les femmes mondaines de la haute société, la jeune femme se doit toujours être sublime dans sa gestuelle et dans sa culture, ce qui a tendance à parfois trop la frustrer puisqu'elle se ment à elle-même. De la même façon, cette habitude a toujours impacté sa vie sociale à cause celle-ci. Mais elle doit honorer les valeurs qui lui ont été données, et donc se retrouve contrainte d'obéir.

Comblée par des tas de choses, mais malheureuse par le manque d'attention suite à la naissance de ces trois autres frères et sœurs, Emma a toujours joué seule aux côtés d'Actéon, le fils des Luca qu'elle considérait à l'époque comme son être aimé. Depuis le jardin d'enfance, les deux ne se sont jamais perdus de vue, ou plutôt, le hasard a bien fait les choses puisqu'ils se retrouvent ensemble en FAC de Lettres, dans la même division et les mêmes cours magistraux. Bien qu'il fut par le passé son amoureux, Emma le déteste toujours autant pour son côté manipulateur et perfide, ce qui semble assez réciproque de son côté. Lorsque leurs regards se croisent, c'est pour toujours se lancer des pics. Pourtant, à partir de leur master, ces deux-là se sont drôlement rapprochés, et pas que dans le bon sens, mais plutôt de manière malsaine.

Emma est en quatrième année de Lettres Modernes, et commence tout juste son master. Etant première de sa promo, celle-ci suscite l'admiration de certains étudiants et professeurs qui la voit comme un modèle à suivre. Elle est très appréciée des gens, et est toujours entourée par ceux-ci. Présidente du BDE, celle-ci a toujours été à la tête des idées de sa faculté. Elle participe également à des concours d'écritures et d'art internationaux qu'elle réussit toujours brillamment.

De plus, Emma sort beaucoup en soirée quand elle en a l'occasion, rencontrer d'autres personnes et oublier le temps qui passe. Elle a également un job partiel dans un petit café du coin, réputé pour sa tranquillité et sa bonne ambiance. Elle peut également compter sur ses collègues de travail comme Maeline ou encore Roméo pour lui donner de la bonne humeur. Lorsqu'elle est au taff, rien que pour servir un cappuccino fait maison, c'est à ce moment précis que celle-ci se sent elle-même, sans trop essayer de se faire passer pour quelqu'un d'autre. La jeune serveuse souhaite pour le moindre que ses journées soient longues pour en profiter, comme les jours de pluie qui semblent alors interminables et si agréables à la fois.

Emma se soucie pas vraiment de ce qu'il se passe sur Paris, et la menace de Papillon lui importe peu. Elle vit au jour le jour, et ne se prend pas la tête. Toutefois, la quête des miraculous lui a, un moment intrigué, à tel point qu'elle en a fait des recherches pour décréter les origines véritables de ces fameux bijoux.

Lise n'a pas toujours vécu dans la Capital qu'est Paris, ho non, avant elle vivait dans la campagne de son enfance à ses 9 ans, dans une Auberge que ses parents tenaient non loin d'une forêt, et qui marchaient très bien, de son point de vue local.

C'était une vie simple, mais qui occupaient beaucoup ses parents, pour du moins ça n'en dérangeait pas tant Lise, qui passait son temps dans la nature non loin du Gîte. Elle allait toujours dans l'orée de la forêt qui était en bas d'une chaîne de montagne un peu plus lointaine. Elle prenait toujours sa peluche chat "Moustache" avec elle.
Elle adorait donc passer des après midi de vacances ou de week-end, quand le temps s'y prêtait de se poser et observer la nature, c'était une sorte de passion pour elle, dont elle voulait tout savoir.

Lise emmener parfois son petit bloc note et un crayon pour retracer ce qu'elle voyait en particulier le nombre varié de fleurs et de couleur qui pouvaient s'y présenter.
Mais vers ses 9 ans, ses parents constatèrent vers le zénith que leur fille n'était toujours pas rentré, ils partirent dans l'orée de la forêt la ou elle se trouvait souvent, et ils la trouvèrent bien à cette endroit, mais par terre et inconsciente.

La thèse qui fut le plus probable à l’Hôpital et qu'elle avait glissé sur une pierre et c'est cogné la tête. Mais ça, on ne le saura jamais vraiment, parce que à son réveille, Lise était devenue complètement amnésique, ne se se souvenant d'absolument rien, ni qui elle était.

Après plusieurs séances et d'intensifs travaux de mémoire, Lise a récupéré une partie de ses souvenirs avec ses parents, et certaines passions, mais pas la fameuse journée ainsi que d'autres souvenirs.

Vers ses 9 ans et demi, ses parents décident d'arrêter la maison Gîte et de la vendre, pour se rendre dans la Capital de France, Paris ! Ils disent que c'est pour un meilleur travail et une meilleur qualité de vie, est-ce la réelle raison ? Personne ne le sait, et nous ne le saurons également jamais.

Pour Lise, ce fut un sacrée coup de passer de la Campagne tranquille, à une ville agitée et bruyante. Elle eut beaucoup de mal à s'y accommoder à ce changement de vie, nouvelle endroit, nouvelle maison, nouveaux amis, ça faisait beaucoup. Elle n'a pas vraiment aimé Paris à ses débuts.
Et Pourtant...

Elle a vue à la télé un jour ces monstres de pierres, tout droit sortie d'un film, difficile d'y croire et de comprendre, jusqu’à ce qu'elle voit la team de super-Héros, LadyBug et Chat Noir. Des Vraies Héros, des vraies pouvoirs. Un rêve devenue un peu réalité pour Lise, qui a des étoiles dans les yeux depuis qu'elle sait qu'ils existent.

Elle aimerait poser un tas de questions, sur tout ce qui entoure la vie de super héros, la curiosité sur le Villain...etc
Elle n'en a pas vraiment peur, enfin du moins c'est encore une gamine, elle ne voit pas que cela pourrait être dangereux.

Depuis, Paris est une ville mystérieuse remplis de surprise à venir !

Ethan étant le fruit d'une union entre un père diplomate japonais et d'une fière femme d'affaires français ont pourrait s'attendre à ce qu'il soit soumis au poids et au attend de ces de parents mais au contraire ces parents ne lui ont jamais accordé une attention particulière le laissant toujours au soins d'une nourrisse ou d'un autre membre de la famille.Au fil des années Ethan grandis pour avoir objectif d'attirer l'attention de ses parents et commença à ce comporté comme un idiot ,à se battre ou à créer n'importe quelle type de problème juste pour attirer leur attention mais cela n'a jamais marché au contraire car ils ne prenaient même pas la peine de le réprimander et balayait juste sous le tapis tout les problèmes.Tout cela empira lors de la naissance de sa petite sœur Nova mais malgré sa jalousie première pour elle,il adorait sa petite sœur et la traité vraiment comme un princesse.Lui et Nova passer presque toute leur journée ensemble, leur parents étant soit trop occupé soit ne prennant la peine que d'accorder de l'intérêt à Nova et ne pouvant pas devenir amis avec d'autres enfants de leur âge,les deux étaient comme des meilleurs amis malgré leur différence d'âge de 4 ans.Ils partager beaucoup de choses comme leur passion,leur hobby et même les rêves de leurs futurs métiers car en effet les deux avaient tout les deux une passion pour le chant et la danse et voulais tout les deux devenir chanteur et chanteuse.Malheuresement les bonnes choses ont toujours une fin et Ethan perdue sa petite sœur adorée lors d'un accident de voiture alors qu'il n'avait que 16 ans et tout ce qu'il garda d'elle et un collier en camelote qu'elle lui avait donné pour son anniversaire, cela détruit Ethan de l'intérieur et il mis beaucoup de temps à avant de ce faire à l'idée qu'elle était parti et même encore il essaye toujours de faire son deuil et avec ces parents l'ignorant plus que l'habitude cela n'arranga rien du tout.Au final Ethan décida de déménager à Paris avec une de ces tantes et celle qu'il préfère, Mélanie, car étant très détendue et ne posé généralement aucune question.Il commença ces études en  chant dans un conservatoire 1 semaine après son arrivée à Paris et il eût la chance de pouvoir apercevoir les deux héros favoris de Paris,Chat noir et Ladybug,et même si les trouvés parfois agacent il ne pouvait pas nié qu'ils faisaient tout les deux du bon travail après tout même si il était fort la chance qu'il batte ces super-vilains était très faible enfin peut-être que ce séjour mouvementé à Paris pourrai finalement ce qu'il a le plus besoin pour enfin passé à autre chose.

Eve Dujardin est née le dix septembre deux-mille-trois en Île de France au sein d’une famille plutôt modeste. Son père jardinier et sa mère vendeuse dans un magasin de prêt-à-porter ont mis de nombreuses années avant d’avoir enfin un enfant. Elle était pour eux un cadeau du ciel qu’il fallait chérir plus que tout au monde. Choyée depuis toujours, elle n’a jamais manqué de rien malgré les bas revenus de la famille.

C’est en se tuant à la tâche que ses parents ont pu lui offrir une bonne éducation, notamment grâce à des écoles de renoms ainsi que des cours de violon. En plus de cela, sa mère trouvant la beauté de sa fille indéniable, la faisait participer à divers concours de beauté. Eve avait tout pour elle et tout pour plaire. C’était une enfant brillante et souriante. Elle croquait la vie à pleines dents dans un cocon familial rassurant et soudé.


C’est au collège que les soucis sont arrivés. Le corps de Eve s’est développé un peu plus rapidement que les autres. Elle était grande et fine ce qui attisait la moquerie de ses camarades. On la surnommait le fil de fer. Cela peu paraitre dérisoire mais ces années furent les plus difficiles à supporter. Cependant, elle pouvait compter sur le soutien de ses parents, et encore une fois de sa maman qui lui montrait que sa différence était sa force et que la moquerie naissait de la jalousie.

Elle continua alors à la pousser vers des concours de beauté, lui apprenant les bonnes manières dignes des plus grandes dames de la haute société. Eve avait cette façon de parler qui agaçait les jeunes, un léger accent de bourgeoise alors qu’elle en était bien loin. Arrivée au lycée, les moqueries se sont atténuées mais l’hypocrisie grandissait. A mesure où ses réseaux sociaux gagnaient en followers dû à son ascension du concours départemental au régional, elle s’isolait ne parvenant pas à se lier d’amitié avec qui que ce soit.

Le fait le plus marquant de sa vie, du haut de ses dix-huit ans, fût tout de même son élection en tant que Miss Île de France. Tant d’années à rêver de ce jour, à se préparer physiquement et mentalement. Car oui, on a beau dire, mais être Miss ne se résume pas à « soit belle et tais-toi ». Il y a une multitude de critères à respecter. Bien qu’elle fût habituée depuis toute petite à ce genre d’évènement, l’écharpe à la clé était beaucoup plus importante que les précédentes. Eve était déjà connue en régional car on ne peut prétendre à ce titre sans bagages.

On peut dire qu’elle faisait partie des favorites, apparemment cela aide énormément… Derrière le sourire de toutes les participantes se cachait rivalité et jalousie. La compétition faisait rage, la tension était à son comble. Bien loin des costumes de super-héros, Eve avait enfilé le sien, la fameuse prestation en maillot de bain. Pour le coup, ce n’était pas la meilleure, mais elle se démarqua de part son discours et son envie de « donner le sourire aux enfants dans les hôpitaux en jouant du violon ». Son élocution parfaite, son léger accent et son naturel, tout y était.

Mais ce n’était qu’une victoire, car la guerre n’était pas terminée, l’an prochain aura lieu l’élection de Miss France et pour cela, Eve vise une nouvelle fois la première place.


Eve avait pris l’habitude qu’on la pointe du doigt, jugeant son physique, lui étiquetant l’image de la jeune fille orgueilleuse. « Elle est jolie mais elle se la pète ! », « Mouais, elle n’est pas si fraiche… », « Mais qu’est-ce qu’ils lui trouvent ? Elle est éclatée ! ». On peut dire qu’elle était rôdée… Cela lui arrivait effectivement d’être touchée personnellement par ces attaques, mais lorsqu’on fait des concours, il faut savoir accepter le jugement, même lorsqu’il se mêle à la méchanceté.

Passionnée par la musique, notamment par le violon, c’est tout naturellement que la jeune fille se dirigea vers le Conservatoire de Paris pour poursuivre ses études dans l’espoir qu’un jour elle puisse vivre de son rêve. Incomprise, elle fuyait la réalité et les propos haineux en jouant de la musique dès qu’elle le pouvait. Elle s’intéressait quelque peu aux héros en ville. Une once de jalousie parcourait son être. Ils étaient admirés sans forcément avoir une trainée de haters. Mais elle se retrouvait en eux. Elle aussi devait porter un masque et faire semblant, sourire à outrance, accepter la critique, le danger en moins.

En revanche, elle ne parvenait pas à se défaire de l’idée que les héros devraient en profiter beaucoup plus. Lorsqu’elle songeait à tout cela, s’imaginant être à leurs places, elle se voyait user et abuser de cette notoriété, ou pire même, de ces pouvoirs grandioses. Les attaques du Papillon lui faisaient tout de même peur car on peut profiter de manière égoïste de quelque chose sans forcément traumatiser une ville entière ou s’attaquer à des innocents. Mais en soit, le Papillon, a certainement ses raisons…

Pendant de longues années, Gabriel s'est interrogé sur son identité, sur sa raison d'exister ou encore ses opinions politiques. Etant le cadet d'un frère du nom de Thomas, plus âgé de quelques années, le jeune homme avait toujours eu l'habitude de vivre dans l'ombre de ce dernier. C'était lui le premier, Thomas passe son bac, il faut l'encourager... ou encore Thomas vient d'avoir son permis, allons lui acheter une bouteille de champagne. Gabriel lui, n'avait ni baccalauréat, ni permis, et encore moins de petite amie à laquelle il s'apprêtait à se fiancer. La vie avait toujours été comme ça, depuis leur tendre enfance. C'était Thomas qui avait reçu les plus beaux cadeaux à son anniversaire, les plus beaux jouets à Noël... mais tout ça, Gabriel s'en moquait. Il n'avait jamais cherché la reconnaissance de ses proches. Il n'était pas intéressé par tous ces regards lourds et pesant sur ses épaules à ses moindres faits et gestes. Il avait préféré créer cette bulle, une bulle où seul lui, et son grand frère parfois pouvait y pénétrer ; car oui, avoir un grand frère qui réussit ne faisait pas de lui un connard, bien au contraire.

Thomas et Gabriel avaient toujours été proches l'un de l'autre. L'aîné partageait ses jouets et le cadet son imagination. Avec le temps, ils prirent des chemins différents. L'aîné était devenu avocat et le cadet, barman dans une boîte de nuit. Pour autant, ils n'avaient jamais perdu contact contrairement avec ses parents qui eux, prenaient seulement la peine de lui envoyer un message tous les mois - et encore. En revanche, lorsqu'il s'agissait de les comparer, comme à leur habitude, le monde affluait. Thomas était toujours meilleur.. et si toutes ces remarques ne lui faisaient pas éprouver la moindre jalousie, il n'arrivait toujours pas à comprendre où était sa place. Gabriel était banal. Il avait un travail banal : servir des boissons fraîches et/ou alcoolisées lorsque l'on lui demandait, vivait dans un appartement banal : le 13e arrondissement - ni trop pauvre, ni trop riche, n'avait que très peu d'amis et encore, c'était à se demander s'ils étaient réellement amis à voir le nombre de fois qu'ils passaient du temps ensemble par semaine. Gabriel était comme une horloge déréglée. Il travaillait de nuit, ses amis le jour, alors que lui se reposait ou rattrapait ses heures de sommeil.

Pourtant, malgré ces heures de solitude ou de travail intensif, il était connu comme étant quelqu'un de chaleureux. Sans doute était-ce là, le seul point commun qu'il avait avec son fraternel. Un sourire aux lèvres, un rire éclatant, des yeux pétillants, et le voilà transformé en un joli garçon au langage poli. Depuis toujours, Gabriel avait aimé rendre service aux autres. Petit, il avait fait de nombreux jobs pour mineurs tel que du baby-sitting (lorsqu'il n'était pas lui même l'enfant à garder), des promenades de chiens ou des petites courses à faire ; si bien qu'aujourd'hui encore, Ethan se levait tous les matins pour aller promener le chien de la voisine, Pearly, un adorable cocker qui appréciait autant que lui sa compagnie visiblement, puisqu'il l'accueillait toujours en remuant la queue et en lui léchouillant le visage.

En bref, il était en général apprécié, et lors de l'apparition du Papillon heurtant le bien-être et le confort des parisiens - tout ce qu'il entretenait dès qu'il le pouvait - , une évidence se présenta à lui. Si Ladybug, Chat Noir ou n'importe quel autre héros avait besoin de lui à quelconque instant, il lui vouerait sa plus généreuse aide, comme toujours ; car pour lui, Paris devait rester une ville paisible agréable et non un terrain mêlant chaos et destruction pour le Papillon, quelque soit sa motivation. Plutôt que de se nourrir du malheur des gens, il fallait les aider et c'était là l'un des travaux des plus admirables que pouvaient faire les héros. Oui, c'était ça. Gabriel ressentait de l'admiration pour eux. Alors à défaut d'avoir un miraculous, il se comportait comme un héros du quotidien en s'inspirant d'eux... pour des problèmes du quotidien.

Hayden est le fils cadet adoptif d'une famille riche et célèbre avec un père réalisateur de film et une mère avocate car en effet Hayden a été adopté à l'âge de 12 ans par la famille Anderson, car c'est parent sont morts assassiné par un tueur en série sévissant entre les années 2000 et 2009 et qui n'a jamais retrouvé par les forces de l'ordre.
Heureusement pour lui il c'était très bien avec sa famille adoptive et avec son grand frère mais depuis lors il s'est juré de trouver un jour le criminel qui à tué ses parents pour lui-même le traduire en justice ce qui le mena à faire des cours en criminologie avec l'approbation de ces parents adoptifs.
Au fils du temps trouvé l'assassin de ces parents n'étaient plus son seul objectif, mais il veut également être certain que personne d'autre ne vivra la mêmes épreuves que lui et il prend donc c'est étude très au sérieux et quand il n'est pas en train de travailler il joue généralement à des jeux-vidéo ou il est dans un bar pour ce détendre.
La situation à Paris l'inquiète beaucoup, car même s'il y a des héros présents pour combattre les akumatisé cela devient pour lui un gros problème quand cela gêne la population et les met en danger et il déteste les personnes qui font du mal au gens innocent alors il lui arrive d'investiguer pour essayer de trouver l'identité de tout c'est vilains pour les enfermé au vite pour les empêcher de troublé l'ordre public et pour tout remettre dans l'ordre et pour aidé les héros dans leur travail car il possède un grand respect pour eux parce qu'ils lutte pour la sécurité de Paris.

D'origine française, on ne peut pas dire que Hélène a eu une vie palpitante. Née en Bretagne, elle a passé toute son enfance à Brest avec ses deux parents ; fille unique, elle a toujours su s'occuper toute seule et ne faisait que très peu attention à ses camarades d'école. Pour être franche, Hélène s'est très vite montrée studieuse et passait plus de temps le nez dans les bouquins qu'avec ses camarades de classe. Profil typique de l'enfant harcelé, Hélène ne garde pas un bon souvenir des périodes scolaires.

Rapidement tournée vers le morbide, elle s'est toujours intéressée à la mort et ce qui pouvait la causer… Autant dire que ses professeurs se sont rapidement inquiétés quand ils l'ont vu jouer avec des cadavres de bestioles ; pourtant, ce n'était que de la curiosité. Bref. Notre petite Hélène a rapidement eu le droit à ses séances chez le psy pour expliquer son intérêt pour le morbide mais… rien de bien glorieux n'en était sortie.

Arrivée à l'adolescence, elle s'était lancée dans un cursus scientifique car sa curiosité pour les cadavres continuaient de la suivre : elle voulait devenir médecin légiste. Encore une fois, Hélène était plus concentrée sur ses études que les sorties et c'est avec brio qu'elle obtient son bac avec la mention très bien. Afin de continuer dans les études supérieures, elle décida d'aller dans une faculté de la capitale et c'est à partir de là que sa vie dégringola assez facilement.

Les soirées étudiantes du jeudi soir, ça vous dit quelque chose ? Et bien c'est dans ce genre de soirée que notre Miss n'arrêtait pas d'aller ; c'était presque 19 ans de bridage qu'elle décidait d'enfin profiter de sa vie, mettant presque de côté ses études. Autant dire que la première année avait été la dégringolades assurée et le redoublement lui avait donné un sacré coup de fouet pour se reprendre en main. D'ailleurs, c'était à l'une de ces soirées étudiantes qu'elle avait rencontré Arthur qui était dans la filière STAPS.

De leur amour naquit une petite Manon, de quoi mettre un joyeux bordel dans les études de chacun. En effet, Hélène n'avait que 22 ans et toujours dans ses études de médecine lorsqu'elle mit au monde sa petite fille ; mais il n'était pas question pour elle de se défiler. Arthur assuma d'ailleurs sa paternité puisque le couple emménagea ensemble pour s'occuper de la petite et tentait de trouver des roulements pour assurer études, boulot, stages et rôles de parents. De quoi faire envoler plusieurs heures de sommeil.

Après plusieurs stages, examens et rencontres, Hélène réussit à obtenir son diplôme de médecin légiste à l'âge de 27 ans. Et ce n'était pas le moment de chômer ! Elle envoya lettres de motivations et CV jusqu'à finalement être prise dans un hôpital de Paris, travaillant de pair avec un Commissariat pour résoudre des affaires criminelles. Néanmoins, elle ne passait pas tout son temps avec les morts puisque la demoiselle travaillait également dans des UMJ auprès de victimes blessées physiquement.

Malheureusement, l'histoire d'amour se stoppa il y a environ un an. Pile au moment où ce Papillon avait commencé ses attaques ; Arthur était devenu obsédé par ce personnage et disait vouloir entrer avec lui pour l'aider dans ses projets. Mais quels projets d'ailleurs ?! Cet homme (?) se permettait de transformer les gens pour les utiliser comme des marionnettes usant de la magie pour donner des pouvoirs. Et pour ne pas arranger les choses, voilà qu'une bande de héros pensait pouvoir régler ces histoires avec de la magie également…

Les disputes s'enchaînant nuits et jours, ils décidèrent de mettre un terme à leur relation. Hélène ne pouvait pas imaginer faire sa vie avec un gamin voulant obtenir des pouvoirs magiques ou travailler pour le compte de ce Papillon ; ils étaient dans la vie réelle et les seuls héros de Paris étaient les policiers, les pompiers et autres personnels hospitaliers qui donnaient de leur temps pour sauver des vies. Bref, la voilà dans la merveilleuse vie de la garde partagée et autres soucis de couples séparés. Quant à ces histoires de Papillon et de héros, elle préférait rester loin d'eux et faire son métier qui aidait réellement les policiers et les familles.

Lorsque sa fille n'est pas chez elle, notre Hélène sait parfaitement s'amuser. Lorsque Manon était avec son père, sa maman prenait le temps de sortir dans les bars, les restaurants et autres lieux conviviaux avec ses collègues de travail également devenus ses amis. Il est vrai qu'elle est déjà arrivée en retard au boulot le lendemain ou trop fatiguée pour n'être qu'un simple manque de sommeil mais heureusement, elle pouvait toujours compter sur Gabriel Leblanc qui la couvrait lorsque le chef de service lui tombait dessus. Ah là là, que ferait-elle sans Gabriel ?

Quand elle n'est pas en train de remplir un rapport, elle a son nez penché sur les copies… Et oui, cette année, Hélène s'est lancée comme professeur à l'Université pour présenter son métier aux étudiants curieux. Malheureusement, son travail et sa vie de famille assez prenants ne lui donne guère l'occasion d'aller sur place pour déblatérer son cours. La plupart du temps, elle préfère envoyer ses diapositives complètes à ses élèves en s'engageant à répondre aux moindres questions tout en leur proposant un stage dans son service… Evidemment, elle ne se fait pas que des copains concernant cette méthode de fonctionnement mais certaines scènes de crime n'attendent pas.

Comme pour tous les êtres humains, l'histoire de Julian commence bien avant sa naissance, car sa seule existence est due à l'histoire de milliers d'ancêtres, dont le cours des actions convergèrent pour lui permettre de voir le jour. Mais rien de cela n'est très intéressant, l'histoire commence donc ainsi : Un jour, Julian est né.

C'était la nuit, trois heures dix-neuf à en croire son acte de naissance mais, même cette partie de l'histoire reste peu intéressante, à ce stade, Julian était chauve, sans dent, il ne mangeait rien de solide, avait besoin de couches et pleurait sans arrêt pour qu'on s'occupe de lui. Il en sera sans doute de même à la fin de son histoire, mais comme il n'en est à présent, il faut l'espérer, pas encore à la moitié, il est préférable de s'attarder à ce qui vient entre ces deux étapes, son développement.

Julian grandit dans un foyer périurbain du bassin liégeois. La campagne mais avec un mode de vie citadin qui aidèrent peut-être à une mentalité hétéroclite. Son père travaillait dans l'immobilier et sa mère s'occupait du ménage, certaines femmes travaillaient déjà à l'époque mais, il faut le dire, elles n'étaient pas une majorité. Dans l'ensemble, Julian n'avait pas tout, mais il ne manquait de rien.

Pour Julian, il n'y a rien de notable à préciser sur son enfance et son adolescence. Études primaires dans une école de village, les secondaires dans la ville la plus proche, pour finir dans à l'Ulg, dans la grande ville qui le permettait. Jusqu'ici, Julian s'était bien débrouillé en sciences. Ce n'était pas une passion, il n'était pas du genre à passé son temps à lire des livres dont les titres ne contenaient aucun mot utilisé dans le langage courant, mais les explications données en cours avait un sens pour lui, et ça lui suffisait pour avoir ses points sans réellement faire d'effort, Julian considérant d'ailleurs qu'il n'apprenait pas, mais il comprenait, ce qui était beaucoup plus fiable à long terme. Quoi qu'il en soit, ce fut le domaine dans lequel il choisit de poursuivre sa formation.

Après ses trois premières années, Julian décidé de profiter du programme Erasmus pour agrémenter son apprentissage. Bien qu'ayant un petit niveau en anglais et en allemand, il s'était toujours considéré comme mauvais en langue et ne considéra pas réellement la possibilité d'aller dans un pays non francophone, ce qui limitait beaucoup les possibilités. Julian passa donc encore deux années à l'université de Paris, y finissant finalement ses études plutôt que de rentrer au pays, recevant enfin le petit bout de papier l'attestant comme prêt à rejoindre la vie active.

Ayant établi ses repères à Paris, raison pour laquelle il n'était pas reparti durant ses études, Julian voulut y rester, réfléchissant, peut-être un peu tard, aux débouchés que lui offriraient un diplôme de physicien. Il aurait pu se renseigner, chercher, réfléchir à la question, mais, au final, l'université faisait partie de ses repères, et employait forcément des personnes ayant les connaissances qu'elle enseigne. Il commença comme simple assistant d'un de ses anciens professeurs quelques années mais, quand celui-ci partit à la retraite, il fut titularisé et pris sa place.

Un appartement, un emploi stable, la vie de Julian avait pris son rythme de croisière. Mais, quand la narration prend ce genre de tournure, c'est signe qu'un changement brutal va bientôt se produire. Et ce changement fut une lutte entre le Bien et le Mal, un Mal qui semait chaos et destruction dans les rues de Paris, pour forcer les Forces du Bien à intervenir. Lors de la première attaque du Papillon, Julian appela deux fois son assureur. La première fut pour savoir si l'assurance de son vélo couvrait la destruction par un monstre, la seconde fut pour prévenir que, finalement, c'était bon, son vélo n'était plus pulvérisé. Et depuis lors, comme une malédiction, que les attaques du Papillon soient éclatantes et destructives ou au contraire discrètes et n'impliquant que des bousculades, Julian fut condamné à voir celui qui l'accompagnait dans ses déplacements depuis dix ans être détruits devant ses yeux, avant de retrouver son état normal, pour que le spectacle lui soit à nouveau infligé. Mais, à force d'arriver, Julian finit par s'y habituer, son coté philosophe un peu résolu prenant le dessus sur le choc répété de cette perte. Cette destruction lui était toujours désagréable, mais il la prenait comme un ciel gris, un détail sur lequel il n'avait aucun contrôle, et qui finira par passer.

Kaya n'est pas née en France, elle est née en Amérique. De part du sol, elle est Américaine, mais elle ne se considère pas comme tous les autres, elle fait partie des premiers peuples se trouvant sur ce grand continent. Elle est née chez les Sioux, un peuple Amérindien, même si elle préfère le terme de native américaine. Elle ne va se prendre la tête si on n'utilise pas le terme politiquement correct, uniquement si on insulte sa culture où là elle risque de s'emporte. Par contre elle n'est pas entièrement Sioux. Sa mère est originaire entièrement de cette culture, elle baigne entièrement dedans. Toutefois, son père est un étranger, non seulement de son peuple, mais également du pays, du continent. Son père est un homme de passage, provenant de Chine. Il ne faut pas croire qu'elle ne le connait pas ou qu'il n'est même pas au courant de l'existence de sa fille. Même s'il ne s'en occupe pas spécialement car Kaya est restée avec sa mère, il vient souvent la voir, afin de prendre des nouvelles d'elle, l'aider et lui apprendre un peu de sa culture et de son pays paternel.

Même si la petite demoiselle eut dû mal à trouver sa place parmi les siens, étant une hybride, elle démontra très rapidement sa détermination et son approche de sa culture. Pour les siens, elle avait beau être différente physiquement, même si pour un non connaisseur, ils diront facilement qu'elle vient des natifs américains ; alors que grâce à ses origines Asiatiques, elle est très différente de ses cousins, de sa famille, ses amis. Les nuances sont très discrètes, mais c'est ce qui fait le charme de la demoiselle, la différence. Déjà toute petite, elle se démarquait des autres petites filles. Il faut dire qu'elle a grandit au sein de son peuple, ne se mélangeant que peu au monde extérieur pendant de longues années. C'est sa mère, ses amis, l'école de son village, qui lui ont apprit son ouverture d'esprit, son intellect, sa connaissance. Néanmoins, très vite elle démontra l'envie d'en apprendre plus, découvrir au-delà de la culture de ses ancêtres.
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Dès qu'elle fut en âge, elle enchaîna l'éducation de ses ancêtres et l'éducation de son pays également car elle enchaînait un double cursus scolaire, ce qui était plutôt compliqué dans un premier temps, mais rien ne pouvait en démordre, il faut dire qu'elle sait ce qu'elle veut et elle fera tout pour réussir. Les années passèrent et elle se découvrit une passion pour la mode, du moins pour le monde des chapeaux. C'est un élément de liaison entre sa culture maternelle, paternelle et aussi celle de son pays. Tout le monde apprécie de porter des chapeaux, mais tout le monde ne sait pas spécialement les porter. C'est ce qu'elle veut faire, qu'il existe un chapeau pour le tout monde, il suffit de le lui faire découvrir.

En participant à des forums dédiés à la mode, elle tomba sur une jeune demoiselle française, et même si au début c'était difficile de se comprendre à cause du problème de la langue. La française ne parlant que le Français tandis que Kaya ne s'exprimait qu'en Américain, en Chinois et dans la langue de son peuple. Kaya apprit donc à s'exprimer, à force de parler avec elle, en français à son tour. Les deux jeunes femmes, même si la différence d'âge pouvait être présente, lorsqu'elles se parlaient, il n'existe plus de différence, elles parlaient d'égale à égale, entre deux passionnées de mode.

Kaya passa ses études, mais prit une grande décision il y a de ça presque un an, c'est de partir de son village afin de se rendre en France grâce à u programme d'échange d'étudiant. Kaya pouvait donc se rendre en France, dans une grande Université, afin d'étudier la mode. Grâce à l'aide de sa correspondante, une certaine Marinette Dupain-Cheng, une franco-chinoise, ce fut plutôt simple. Au début, elle fut accueillie chez les Dupain-Cheng, mais très vite elle se devait de se trouver un chez elle propre. Ce fut très dur, pas spécialement de quitter son amie car elle ne sera jamais très loin, mais surtout de quitter le père, Tom. C'est un véritable artiste dans la boulangerie et tous ses merveilleuses créations... pain au chocolat, croissant, gâteaux... MACARONS !! Kaya s'est trouvé une passion pour cette petite pâtisserie.

Depuis quelques temps, une personne se faisant appeler "Papillon". Elle n'a jamais eu l'occasion de voir réellement un combat entre les super-héros et les super-vilains que cette personne créée grâce à son pouvoir. Toutefois, elle se tient grandement au courant en suivant le blog tenant par une jeune demoiselle qui le tient. Il faut dire que Kaya s'intéresse plutôt à cet histoire de héros, de vilains, des Akumas et tout ça, mais elle n'a jamais eu l'occasion de voir un peu plus en détails tout ceci, mais si l'occasion s'y prête, elle sera toujours là pour aider. En attendant, elle vit sa vie en espérant ne pas être trop déranger par ces histoires car elle compte bien devenir une Chapelière de renom !

Pour commencer, ma mère est suédoise et mon père français, ils se sont rencontrés lorsqu’elle a décidé de visiter le sud de la France. Ils ont eu le coup de foudre et se sont mis rapidement ensemble, au grand désarrois de la famille de ma mère.

Tout allait bien pour eux, ils n’étaient pas riches mais avaient de quoi vivre convenablement. C’est quand les premières années de magies passèrent et ma naissance que tout changea. Vers mes 3 ans, mon père perdit son job de mécanicien suite à une embrouille avec son patron. Il sombra dans l’alcool, gouffre financier, et devint violent. Le salaire de cuisinière de ma mère ne suffit plus à toutes nos dépenses et nous avons due nous résigner à déménager dans un HLM des quartiers nord de Marseille. C’était la goutte de trop.

Mon père devint violent, ma mère se faisait battre sur des excès de colères déjà propre à mon progéniteur. Je n’y ai pas échappé et j’ai grandis dans un milieu violent que ce soit à la maison ou dans la rue. Violence et intimidation, j’ai appris à vivre là-dedans et je me suis forgé un corps et un mental à l’épreuve de tout ça.

Ma mère m’a toujours encouragée malgré notre situation difficile et elle veillais à ce que je ne manque de rien malgré notre misère.
J’ai donc toujours travaillé dur à l’école même si je ne savais pas encore ce que je voulais faire de ma vie et j’enchaînais les petits job pour aider aux besoins de la famille.

C’est à mes 17 ans, le jour de mon anniversaire, que j’ai découvert que ma mère reçu ses derniers bleus. Que je ne reverrais plus mon père qui avait pris la fuite. Ce jour là j’ai compris que j’étais seul. Moi qui ne savait pas quoi faire de ma vie, j’ai décidé de tout faire pour que mon malheur et le chagrin que je ressentais ne se reproduise pas pour d’autres.

Je me suis engagé dans la voie de la justice, moi qui ai évolué dans les eaux troubles de la pauvreté et de l’injustice, de la violence et du sang. J’avais mon BAC et j’ai passé le concours de police, j’ai réussis haut la main. Pendant deux ans j’ai été formé à défendre la population, puis l’année qui suivit je découvrit ma véritable vois en apprenant que mon père avait été retrouvé et arrêté pour de multiples autres homicides. Je savais ce que je voulais faire : retrouver ce genre de personne pour que plus jamais le mal ne se répande.

J’ai passé le concours en interne d’officier de police judiciaire et j’ai ensuite rejoins la brigade criminelle. Dans une ville comme Marseille, j’avais du travail et j’ai même pu en profiter pour glaner mes grades. À 25 ans, j’avais mon grade d’inspecteur, l’équivalent de lieutenant, et je demandais ma mutation à Paris. J’en avais marre du sud et surtout... La capitale avaient des affaires de terrorisme d’un nouveau genre qui nécessitait le meilleur des meilleurs !

J’ai vu de mes yeux ces « attaques de Papillon », un terroriste comme un autre à mon sens. Je me devais donc de l’arrêter, comme n’importe quel autre criminel. C’est mon devoir et je ne reculerais devant rien ! D’ailleurs, les apprentis héros ne devraient pas se mêler de tout cela, ils ne font qu’aggraver la situation. S’ils refusent de se rendre ou de rester dans leur coin, je ne ferrais pas d’exception. Ils ne sont pas les gardiens de la Paix, ils ne sont pas là au quotidien pour empêcher le mal de se répandre, ils s’amusent juste à défié la loi et un terroriste.

Papillon, Super-héros, aucun d’eux ne m’arrêtera, j’ai juré protection à la population et je compte bien remplir ce devoir sans faillir ! Que le Mal se prépare, car je serais sans pitié.

Comprendre ce monde ne m’intéresse pas. Telle une feuille sur un arbre, je me laisse portée par le vent en regardant le monde tourner sans moi. Je peux mourir, ou disparaître, le monde fonctionnerait toujours pareil.  Je ne cherche pas à être une personne importante, je cherche juste à survivre de façon discrète sans attirer l’attention.

C’est bien le mot qu’il faut “survivre”  dans ce monde.

Cadette né d’un père français  et d’une mère italienne, j’ai eu une enfance plutôt banale. Sauf que j’étais bien vite confronté à la terrible jungle de l’école. Mangé ou être mangé, les plus fort dominent la meute, ceux qui sont différent ou qui ne rentrent pas dans le moule, on le pointe et on rit d’eux. Petit génie, première de la classe, qui n’avait que faire de jouer à la poupée que pour faire des expériences bizarres. La tête dans les bouquins, que devant la télé ou sur le portable. Peut être que c’est la faute de ma mère qui était si fière de son génie… Hm, cela serait à voir.
Enfin, j’ai gravi les études comme un simple escalier. M’enfermant dans un monde d’observation et de jugement. Quand vint le terrible choix pour mon avenir :

Médecin ? Chercheur ? Professeur ? Archéologue ? Et bien d'autres…

Cela aurait été une suite sûrement logique oui. Mais rien de tout cela ne plaisait. Un métier où on travail ou recherche pour soi, ou l’on donne gratuitement des savoirs ? Cela n’est pas amusant du tout, ni gratifiant pour ma personne. Ce que j’ai toujours aimé faire: C’est de jouer de façon irrespectueuse. Enfant, j’étais cette collabo qui vendait les mauvais camarades et les tricheurs. Et je prenais plaisir à les voir se faire punir. Les déchets de ce genre ne méritent que d’être frappés, il faut savoir jouer correctement si on veut gagner.. Alors contre toute attente de ma famille, j’ouvre mon site de détective. M’inspirant du japon et leur moult sites internet d'espionnage et détective privé.

Jackpot pour moi. Combien d’hommes et femmes sont terriblement inquiets pour leur famille ou compagnon. Combien de parents ont peur pour leurs enfants de ce qu’ils font. C’est une mine d’or d’être à la capitale actuellement, plus besoin de vivre avec ma soeur mannequin -que j’ai rejoint à la capitale à la fin de mes études-. J’ai préparé mon futur métier avec beaucoup d’attention, apprendre surtout l’anglais ainsi que le savoir d’ hacker. Pour découvrir les plaisirs coupables, les désirs insatiables ,  dont je serais témoin.
Depuis maintenant une année, un “vilian” est apparu, montrant les gens négatifs aux yeux de tous, provoquant le mal. C’est parfait pour moi, les gens vont vouloir encore plus se cacher. Et cela provoque le questionnement chez les bons. Une bénédiction ce Papillon, je lui dois mon appartement et mon frigo plein. “Murmure” peut travailler sans avoir peur du lendemain et surtout mettre du beurre dans les épinards.

Oh? Je pense qu’il est temps de mettre fin à tout cela. Ma Sorella rentre d’une séance photo. Si je ne réponds pas, elle va encore me spammer. Bonne journée, et faites attention à vos secrets.

Marinette Dupain-Cheng est une jeune femme d’environ 18 ans. Sa vie d’adolescente était déjà mouvementée, mais depuis sa rentrée à la FAC, elle ne pense qu’à une chose : Conquérir le cœur de son cher et tendre Adrien. Mais, voyant que ce dernier a relativement changé avec tout le monde, elle n’arrive pas à s’y faire, et commence peu à peu à prendre ses distances envers lui. Sa rentrée était plus au moins chaotique. Entre le fait d’arriver en retard, de se prendre la honte devant plus de milles élèves, et de trébucher dans le couloir, on peut dire qu’elle a eu beaucoup de chance. Lorsqu’elle se retrouve assise, elle n’espère qu’une chose : Sortir de sa vie monotone pour vivre quelque chose de meilleur. C’est un vœu qu’elle espère se réaliser au plus vite.

Toujours vive d’esprit, à l’écoute et extrêmement généreuse, Marinette ne cesse de rependre de la joie partout où elle se trouve. Lorsqu’elle a réellement du temps libre, elle retourne à la boulangerie de ses très chers parents pour leur donner un coup de main.

Cependant, le travail de super héros ne lui facilite pas vraiment la tâche. Entre ses devoirs à Paris, ses études à gérer, elle ne sait plus où donner de la tête. Si le collège et le lycée sont faciles à sécher, ce n’est pas le cas de son très cher amphithéâtre. La jeune femme est obligée de rattraper ses cours de la journée en faisant des heures supplémentaires, ce qui a tendance à quelque peu l’agacer.

Papillon est de plus en plus fourbe, et ne cesse d’akumatiser davantage les citoyens parisiens, ce qui rend la jeune femme épuisée de ses escapades de jour. Heureusement que Tikki lui donne la force de se relever. Grâce à elle, ses pouvoirs augmentent, et grâce à sa force, Ladybug a su développer de nouvelles prouesses pour le vaincre.

Néanmoins, c’est en tant que Ladybug, qu’elle arrive à se sentir mieux dans sa peau.

Par ailleurs, elle peut compter sur le soutien de ses colocataires tel qu’Alya, sa confidente et meilleure amie de toujours, et d’Alix, la redoutable. Au début de l’intrigue, les trois filles se trouvaient à six dans leur studio en compagnie de trois autres étudiantes qui ont fini par déménager. Laissant la place à Nathanael, qui reste la plupart du temps enfermé dans sa chambre à dessiner, Luka, le serveur ténébreux et enfin Nino, l’incomparable DJ de ses soirées qui les rejoindra bien plus tard. Ce groupe est plus soudé comme jamais.

Cela étant, la jeune femme se sent merveilleusement bien avec eux. Qui dit nouveau départ, dit forcément tout autre vie, et nouvelles surprises...

Lorsqu’elle est en cours, Marinette se retrouve près de Nathanael. Il faut dire que ces deux-là n’hésitent pas à mettre leur créativité en œuvre. Lors des TP, c’est toujours lui qui prend des initiatives, ce qui fait beaucoup plaisir à cette dernière. La jeune femme le trouve davantage ouvert au monde.

Alya et Alix sont restés depuis tout ce temps en contact avec Marinette. Si bien, qu’elles se sont pris une colocation toutes ensembles. En fait ; les jeunes filles ne savaient en aucun cas qu’elles allaient se rapprocher autant d’Alix. Bien qu’elles se côtoyassent peu au lycée, c’est seulement quand Alix était en Erasmus qu'elles n'ont pas perdu contacte avec celle-ci. De plus, les jeunes filles ont continué à se parler nuit et jour à distance. C'est durant son retour d’Erasmus qu’elles aient développé une relation spéciale. Pendant qu'Alix vivait chez son père, c'est là que l'idée du studio leur ai venu en tête. Ainsi, elles ne sont plus jamais lâchées de vu après ça.

Alya est moins proche de Marinette, de part la différente section qui les sépare. Ce qui fait que les deux filles ne se voient que très peu. De plus, celles-ci n’hésitent pas à se faire des soirées pyjama rien qu’entre elles, et se raconter tous les potins croustillants et inimaginables qu’il puisse exister. Quand elles ont du temps à tuer, Alya l’entraine toujours en soirée ou encore, dans le bar de leur très cher ami aux cheveux turquoises.

Luka, ayant trouvé un poste fixe dans un bar, a tendance à les inviter. C’est dans ce lieu qu’ils peuvent parfois décompresser. De ce fait, le jeune homme les emmène toujours faire la fête lorsqu’ils ont l’occasion. En principe, Marinette a tendance à avoir de longues discussions avec lui, tout en sirotant son cocktail préféré à la fraise. Elle ne sait pas pourquoi le jeune homme devient si irrité quand elle lui parle de garçons. Peut-être était-ce la fatigue qui lui avait pris le dessus depuis qu’il a commencé sa carrière de serveur. Dans tous les cas, elle n’y prêtait pas vraiment attention. Ceci dit, elle le trouvait incroyablement courageux de s’initier directement dans le monde du travail sans bac.

Kaya est sa correspondante Américaine. Toutes deux partagent une très grande passion pour la mode. Celles-ci s’entendent relativement bien car elles se ressemblent beaucoup dans le fond. Depuis son déménagement non loin de chez elle, Marinette l’invite souvent à confectionner des habits ou accessoires.. Marinette a une confiance inouïe envers son amie, et la considère comme sa sœur.

Toutes deux, participent à des concours pour espérer un jour, être embauchés dans une grande agence de mode.

De plus, Marinette a trouvé bien plus tard, un petit job d’assistante pour l’une des plus grandes stylistes de sa ville.

Marinette s’éloigne peu à peu d’Adrien, car elle le trouve différent, bien qu’elle ait essayé de le faire raisonner. Ce n’est plus le même garçon qu’elle a connu, alors elle préfère l’esquiver. Ce dernier ne comprend absolument pas pourquoi elle le fuit, et tente alors de le lui parler aux moments des pauses, comme à la cafétéria ou à la fin des cours. Il y a juste quelques échanges mais rien de plus, ce qui les attriste davantage. Quelques fois, la jeune femme trouve son attitude étrange. – Elle a l’impression qu’il se soucie plus d’elle qu’auparavant, comme si tous deux avaient mixé les rôles.

‘’ Rendez-vous au Champ de Mars, 5 Avenue Anatole France, 75007 Paris, sous les pieds de la tour Eiffel illuminé. ‘’  C’était leur promesse depuis la fin du collège.

Lorsqu’il fait déjà sombre, Ladybug parcourt Paris en compagnie de son coéquipier, Chat Noir, n’hésitant pas à faire des randonnées avec ce dernier. C’est là qu’elle arrive mieux à se confier et à extérioriser tout ce qu’elle ne peut exprimer la journée. Il la fait rire, sans trop qu’elle s’y attende. Elle apprécie énormément ces petites balades en sa compagnie qui lui font un bien fou. Celle-ci apprend ainsi à connaitre davantage celui qui sauve Paris à ses côtés, et même, à développer un tout autre sentiment auquel cette dernière n’imaginait pas. Et si c’était de l’amour ?... Depuis qu’ils se connaissent, la jeune héroïne l’avait si repoussé tellement de fois, et pourtant, un nouveau tournant prend les devants. Il n’est plus question du cher blondinet divinement parfait dans sa tête, mais du valeureux séducteur masqué qui, en même pas une rose et quelques mots, arrive à troubler ses douces pensées.  Elle tente tant bien que mal de dissiper ses nouveaux sentiments, mais rien ne fait, et elle a constamment besoin de le voir chaque semaine, à la même heure, devant le plus célèbre monument de France.

Commençons par le commencement. Il y a vingt-quatre ans, Rachelle mit au monde un adorable bébé avec une touffe de cheveux sombre parsemée de deux mèches claires sur le sommet du crâne. De ses grands yeux bleus, il l'observa en ouvrant la bouche.
Deux heures plus tard, il était blotti dans les bras de Rose, sa grand-mère, couvé par le regard aimant de Patrick, le grand-père. Rachelle, quant à elle, avait réussi à quitter la maternité pour retourner à sa vie de danseuse au Moulin Rouge, loin de son fils. Et le père ? Inconnu au bataillon. Ça peut aussi bien être un client du cabaret que le directeur en personne.

Dit comme ça, c'est triste. Et ça l'est. Marius a été élevé par ses grands parents, qui l'ont aimé comme si c'était leur propre fils. Sa mère, il ne la voyait qu'à de rares occasions, lorsqu'elle venait rendre visite à ses parents et s'enquérir vaguement de sa santé, à lui. Il aurait mieux supporté la situation s'il n'avait plus du tout eu de contact avec cette femme mais le fait étant qu'il était amené à la croisée rendait la chose compliquée. Jamais il ne lui fit la moindre remarque sur son abandon, jamais il ne lui reprocha son regard dégoûté. Elle avait fait son choix et le petit garçon avait décidé de ne pas laisser paraitre son désespoir.

Plus les années passèrent et plus ce sentiment se transforma en rancoeur. Lorsqu'il était de cet âge où chaque personne se construit, se forge sa personnalité et commence à façonner le futur adulte, il côtoyait des enfants avec un modèle familial sain. Il les voyait épanouis, avec des parents aimants, tandis que lui sombrait dans un état d'esprit sombre. Le garçon turbulent qui cassait les lunettes, c'était lui. Celui qui volait les bonbons et tirait les cheveux, c'était lui.  Rose et Patrick firent leur possible pour rendre Marius heureux, il ne manqua jamais de rien. Mais, malgré tout leurs efforts, ils ne réussirent jamais à le détourner complètement de ce ressentiment.
Chez certains, cette situation aurait pu provoquer un mal-être comme de la déprime, avec la sensation d'être un moins que rien qui mérite d'être abandonné. Marius, lui, n'avait pas l'impression d'être un moins que rien. Il avait, et a toujours soit disant passant, une forte opinion de lui-même. Si sa mère n'était pas capable de le remarquer, c'était son problème.

Quand il arriva au lycée, moment où la puberté fait des ravages, il réalisa ses premières expériences en tout genre : cigarette, drogue, alcool, sexe. Sans grand étonnement, il se complut dans ces vices et y trouva une raison d'être. Mais, les grands-parents, après avoir tant insisté pour le protéger lors de son enfance, n'étaient pas prêts d'abandonner pendant l'adolescence. Ils ne l'empêchèrent jamais de faire quoique ce soit. Mais, ils insistaient pour qu'en contrepartie, il soit suivi par un psychologue. Il était évident, pour eux, que Marius était mal dans sa peau et cherchait un refuge dans des actes immoraux. Ils avaient bien sûr raison et ce suivi fit beaucoup de bien à Marius. De plus, sa drôle de jeunesse lui a permis de grandir mentalement plus vite. Il a toujours eu une maturité différentes des jeunes de son âge. C'est cette maturité qui lui fit prendre conscience que sombrer dans la drogue, ce n'était définitivement pas une bonne idée. Mais, le mal était déjà fait car en côtoyant les mauvaises personnes, il se fit remarquer par Hector, le chef d'un petit gang de quartier, Le Black King. Faute d'autre solution, Marius intégra le groupe et cela fait maintenant huit ans que ça dure. Mais, grâce à son ambition et sa faculté à rebondir, il gravit les échelons hiérarchiques jusqu'à devenir le bras droit de Hector, ce qui lui valu le surnom de King Jr.

La fin a toujours justifié les moyens. Il n'y a pas de bon ou de mauvais choix, il y a les décisions qu'il prend pour avancer. La justice, il la façonne à son image. Mais, pour ajouter une touche de  lumière à ce sombre tableau, on peut toujours compter sur Rose et Patrick qui essayent encore et toujours de le ramener sur le droit chemin. Ils ne loupèrent pas complètement son éducation car ils réussirent à lui inculquer les valeurs de famille et du travail.

En parallèle de ces activités illégales, il a intégré la faculté de droit de Paris. Paradoxale, pourrait-on penser. Mais, Marius voulait avoir la sensation d'avoir choisi au moins une chose dans sa vie. Et puisqu'il n'était pas satisfait de la justice actuelle, il allait la défaire et la reconstruire à sa façon. Cela prendrait le temps qu'il faudrait.

Et puis, il y a le Papillon. Cet homme si puissant capable de faire trembler la ville a chacune de ses attaques. En son fort intérieur, Marius l'admire et le jalouse. Il aimerait avoir son pouvoir. Il aimerait que son nom soit aussi menaçant que le sien. Ce Papillon, s'il lui proposait, il ferait bien équipe avec lui. Oui, il serait capable de lui obéir pour obtenir de la force, beaucoup de force. Et lorsque viendrait son heure, Marius le renverserait et aurait le plein pouvoir. Car il est dévoré par l'ambition. Il veut refaçonner la ville, voir le monde. Il a connu la noirceur des ruelles, il a vu la brillance du bonheur chez les autres. Marius ne veut que justice. Rééquilibrer la balance. Mais plus que tout, Marius veut prouver qu'il existe. Ey si pour cela il doit conquérir Paris, alors il fera. Et ce ne sont pas ces prétendus héros qui prônent des valeurs obsolètes qui l'en empêchera.

Tout cela peut bien arriver. Cependant, pour l'heure, Marius a un autre objectif : retrouver sa demi-soeur, Danitza. Lors des dernières fêtes de noël qu'il a passé chez ses grands-parents, Marius a mis la main sur un lourd secret de sa mère, caché dans un journal intime oublié. En le feuilletant, il a découvert que Rachelle a été enceinte une première fois mais qu'elle a accouché sous X, deux ans avant sa propre naissance. Cette information a ébranlé le jeune homme. Un autre rejeton de cette femme incapable d'assumer ses erreurs. Etait-elle comme lui ? Avait-elle autant souffert ? Pour la première fois de sa vie, Marius a ressenti de l'empathie pour une personne qu'il ne connaissait pas. Il voulait rencontrer sa soeur, le même sang que lui. C'était sa famille ! Il s'était trouvé un but. Grâce à ses études, il savait qu'elles démarches entreprendre pour la retrouver. A la maternité, il obtient le nom et le prénom ainsi que l'information de son adoption. Mais depuis quelques semaines, ses recherches firent choux blanc. Il n'a pas réussi à trouver le nom de la famille d'accueil. Il ne sait plus où aller. Il n'avait plus qu'à s'en remettre au destin. Bien qu'il n'y croyait pas.

L'histoire de la jeune Nathalie commence il y a de ça 33 ans. Elle est née un jour particulier, le jour de la fête de l'amour, le 14 Février. On pourrait penser qu'avec une telle naissance, elle était destinée à ne se vouer qu'à l'amour, et d'un côté, s'est effectivement le cas, même si cela ne se présente pas d'une manière très habituelle. Nathalie est née dans une famille modeste, mais aimante. Son père était fromager, tandis que sa mère fut crémière. La petite demoiselle grandit au milieu de ce milieu particulier qu'est celui du lait, du fromage, mais elle ne s'y intéressait que très peu. Du moins, le fromage, la crème, le lait, tout ça ne l'intéressait pas, par contre elle développa une passion sans faille pour les étiquettes des fromages. Il faut dire qu'elle prenait un grand plaisir à réaliser elle-même des étiquettes pour son père afin qu'il puisse vendre ses fromages.

La petite Nathalie grandit normalement, allant à l'école. Il faut dire qu'elle fut une très grande étudiante, une très bonne élève. Les études furent une chose très aisée pour elle au point d'avoir toujours les meilleures notes sur presque toutes les matières. Néanmoins, ce fut en histoire où elle arborait les meilleures notes, quasiment imbattable. Tout la destinait à devenir une historienne hors pair. C'est d'ailleurs vers cette voie où elle allait, sur ce qu'elle voulait faire. Préparant même une faculté d'histoire. Les années passèrent, elle continuait d'aider ses parents, surtout son père, et elle étudiait encore et encore. On pourrait penser qu'elle pourrait s'ennuyer dans cette vie, mais c'est tout le contraire, elle s'amusait et surtout elle souriait toujours. C'était une jeune femme pleine de joie, d'amour, qu'elle n'hésitait pas à exprimer pour le grand plaisir de ses parents.

Malheureusement, sa vie changea lors de ses 16 ans. Durant un voyage de ses parents à l'étranger, où Nathalie devait rester à la maison pour l'école, elle perdit ses parents. Sa mère avait prévu l'intégralité du trajet, mais son père a décidé de faire un détour à la dernière minute, histoire de voir du paysage. Malheureusement, dans le train qu'ils ont utilisé pour ce détour, celui-ci dérailla. Il eut un grand nombre de mort ce moment là, dont ses parents. Depuis ce jour, la jeune demoiselle est orpheline. Ce fut un véritable choc pour elle, quelque chose se brisa en elle. Désormais, elle devait subvenir à ses besoins elle-même. Nathalie commença à travailler, abandonnant ses études, elle devait bien gagner de l'argent car ce n'est pas l'héritage reçu qui lui permettrait de vivre. Surtout qu'elle décida de couper tous les ponts avec ses parents, la fromagerie, tout ceci lui rappelant de trop lourd souvenir. Elle devait donc s'occuper d'elle-même. C'est d'ailleurs à cette époque qu'elle se tourna vers la rue, n'ayant plus spécialement d'endroit pour vivre, elle se payait simplement des chambres d'hôtel avec son héritage, mais elle traînait avec des gens peut fréquentable et elle fit des choses dont elle n'est pas très fière. Toutefois, grâce à ceci, elle se fit un grand nombre de contact parmi les gens de la rue, des gens peu fréquentable, ce qui sans le savoir, lui sera d'une grande aide à l'avenir.

C'est durant cette période que Nathalie rencontra une femme qu'elle apprécia grandement. Elle n'a jamais cherché à connaître son nom de famille, elle possède juste son prénom, Lisbeth, rien de plus, mais en même temps cela lui suffit amplement. Même si elles se côtoyaient, vu qu'elles traînaient dans la même bande, c'est une épreuve commune qui les a rapproché grandement à cette époque. Les deux femmes eurent quasiment le même problème. L'une donna naissance un petit être, mais celui-ci ne réussit pas à vivre en dehors du ventre de sa mère, tandis que l'autre, suite à un accident tout bête, fit une fausse couche et perdit donc son bébé à venir. D'un côté, cela arrangeait bien Nathalie car elle ne pouvait pas subvenir aux besoins d'une autre personne, sachant qu'elle n'arrivait pas énormément à subvenir à les siens. En tout cas, cela fut une épreuve douloureuse pour elle, heureusement qu'elle avait une amie qui endurait la même chose pour pouvoir se réconforter l'une l'autre. Malheureusement les deux femmes se séparèrent par la force des choses, chacune voulant s'en sortir de cette situation, chacune optèrent pour un chemin différent.

Après une année et demi, presque deux ans à galérer avec des petits jobs ridicules, secrétaire, caissière, et plein d'autres jobs dont elle préfère taire car cela pourrait sûrement nuire à son image, elle osa répondre à une demande de travail pour changer de vie. Ce fut une période très compliqué pour Nathalie, période qu'elle préfère enfouir dans son esprit et ne plus y repenser. C'est pour ça qu'elle décida de répondre à l'offre de Gabriel Agreste qui recherchait une secrétaire. Ce n'était pas spécialement bien payé, mais elle vit un lui un potentiel immense et surtout il commençait à se faire un jolie nom dans le milieu, mais ce n'est pas spécialement pour ça qu'elle s'intéressait à ce travail, mais plus pour l'homme en question. Puis, malgré le fait qu'elle soit jeune, à peine majeur, elle possède un CV assez agréable et surtout un grand nombre de lettres de recommandations. Parmi toutes les candidates, à sa plus grande surprise, Nathalie fut accepté pour le travail. Dès le premier coup d'œil, dès que ses yeux se sont posés sur Gabriel Agreste, elle est tombée amoureuse. Même s'il est déjà marié, ce n'est pas grave. Après tout, elle se disait que tant qu'elle pouvait être à ses côtés, elle serait heureuse.

Même si au début, son travail consistait à répondre au téléphone, elle réussi à gagner la confiance de Gabriel Agreste, ainsi que de sa femme. Elle fut même une très bonne amie pour Emilie. Grâce à sa ténacité, son travail, et sa relation avec les Agreste, Nathalie grimpa les échelons très rapidement au point de devenir l'assistante personnelle de Gabriel Agreste. Beaucoup de responsabilité, c'est un fait, mais elle aime cela. Grâce à son travail, elle organisait l'intégralité de la vie des Agreste, s'occupant même de l'éducation du petit Adrien. Grâce à Emilie, Nathalie découvrit un peu plus sur le passé de Gabriel, sur ses anciens projets, comme quoi avant d'être marié avec elle, que c'est qu'à partir de ce moment là où Gabriel commença à vraiment se faire connaître et qu'il commença les beaux projets, là où Nathalie commence à travailler.

Durant un voyage en Chine, Nathalie accompagna les mariés Agreste là-bas afin de tout organisé. C'est d'ailleurs durant ce voyage qu'ils découvrirent un vieux grimoire, ainsi que deux objets. D'après le livre, ces objets se trouvent être des Miraculous confiant des pouvoirs magiques. Les deux amoureux décidèrent d'utiliser les pouvoirs. Gabriel utilisa celui qui semblait être celui du Papillon, tandis que Emilie utilisa celui du Paon. Malheureusement, il eut un problème. Il semblerait qu'il y avait un dysfonctionnement dans celui du Paon car à force d'utilisation, la jeune femme perdit connaissance, à la limite de la mort. Tous les trois organisèrent un retour au Pays rapide et Gabriel Agreste organisa tout pour permettre à sa femme de rester en vie, sous leur domicile dans le plus grand des secrets. Une pièce secrète dont seul Nathalie et Gabriel sont au courant afin de permettre de la laisser en vie. C'est à partir de ce moment là où Gabriel Agreste changea entièrement de personnalité. Lui qui était si gentil, si heureux, même s'il a toujours été professionnel et strict, est devenu froid et distant avec tout le monde. Tout ceci ne changea rien pour Nathalie, toujours autant amoureuse de lui. Cela remonte à environ 7 ans désormais, et pourtant ce souvenir est toujours traumatisants pour Gabriel et Nathalie, y compris pour Adrien qui a perdu sa mère sans pouvoir lui dire adieu.

Après de longues recherches, et mettant le Miraculous du Paon sous clef, il décida enfin d'utiliser le pouvoir qu'il a obtenu grâce au Miraculous du Papillon pour accomplir son rêve après tout ce temps. Après une longue recherche pour traduire le grimoire, heureusement que Nathalie est une très grande historienne car elle possède des connaissances, des personnes, qui pouvait l'aider dans ses recherches. Ce fut long et fastidieux, mais ils arrivèrent a traduire une partie. D'après ce livre, si une personne arrive à unir le Miraculous de la coccinelle ainsi que celui du Chat Noir, la création et la destruction, cette personne peut accomplir ses plus grands rêves. De cette manière, Gabriel sera capable de faire revenir à la vie Emilie et donc retrouver son grand amour. Ce fut compliqué, mais les deux réussirent à mettre en place ce qu'il fallait. Même si les deux Miraculous nécessaire ne sont pas là, il se disait qu'en créant des super-vilains avec ses akumas, ils finiraient par se montrer car seul la coccinelle est capable de purifier les akumas. Grimoire incomplet, mais c'est avec cette base qu'ils travaillèrent.

Depuis lors, Gabriel Agreste est devenu le grand Papillon, l'ennemi numéro un de Paris. Nathalie l'accompagne dans toutes ses actions, l'aidant au mieux à son niveau. Le plan de Monsieur Agreste se passa comme prévu, à peine qu'il fit son apparition que deux héros firent surface, Ladybug et Chat Noir, deux porteurs des Miraculous tant désirés par son patron. Même si toutes les attaques de Papillon furent des échecs, il continua encore et encore. Nathalie quant à elle, fit tout pour s'occuper du travail de Gabriel afin de lui permettre de dégager un maximum de temps, lui permettant de rester chez lui. Plus aucun contact avec l'extérieur, plus rien. Nathalie est devenue la seule qui permet un contact entre le monde extérieur et Gabriel Agreste, même envers son fils.. Adrien doit quasiment toujours passer par Nathalie pour s'adresser à lui, ce qui peut être étrange, mais c'est malheureusement pour le bien de son père. Même s'il doit s'éloigner un temps de son fils, c'est pour mieux reformer la famille par la suite.

Depuis quelques temps, les plans ont légèrement changés. Après tout, le grimoire est perdu, mais ce n'est pas grave car il n'est plus aussi important qu'il en a l'air, il est incomplet. Il ne mentionnait qu'un seul Miraculous capable de purifier les Akumas, mais celui du Phénix peut le faire, le Miraculous de la résurrection ! Il existe des pouvoirs, des miraculous, que le grimoire ne mentionne pas, donc le plan pouvait changer, s'adapter. Ladybug et Chat Noir ne sont plus le seul objectif de Gabriel, mais l'objectif est de récupérer tous les Miraculous, principalement ceux capable de purifier ses Akumas pour éviter qu'on l'interrompre de nouveau. Gabriel est prêt à tout pour accomplir son rêve et Nathalie également pour qu'il le réalise.